Myanmar
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U Lun Gywe est peintre birman né 1930. Il est l'un des artistes les plus connus et les plus respectés du Myanmar. Ses sensibilités esthétiques combinent l'impressionnisme français, les racines orientales et son propre héritage birman. Diplômé de l'Institut d'Art de la Formation des Enseignants en 1954, il poursuit ses études auprès d'artistes célèbres de son pays.
Il est instructeur à l'École nationale des beaux-arts de Yangon de 1958 à 1977, directeur deux ans et enseigne à l'association des beaux-arts de l'Université de Rangoon de 1960 à 1979. Il étudie en Chine en 1964 et obtient une bourse d'études en restauration d'art en Allemagne de l'Est en 1971.
Le travail des peintres chinois l’influence beaucoup et il incorpore leurs techniques de pinceau et d'encre dans ses huiles et aquarelles.
"Je peins selon mes émotions", dit-il, s'inspirant de l'odorat, des textures, de la lumière, de l'ombre, de la forme féminine, de la beauté des femmes qui dansent, prennent un bain ou préparent leur maquillage thanaka traditionnel du Myanmar. Bien qu’il ait d'autres sujets, il revient toujours à la beauté féminine.
Il expose régulièrement au Myanmar et participe à plusieurs expositions d'art à l'étranger, comme au Japon, en Corée, en Australie, aux États-Unis, à Singapour et en Thaïlande. Ses œuvres se trouvent au Musée national du Myanmar et aux Galeries nationale des arts de Malaisie et Singapour.
Il est instructeur à l'École nationale des beaux-arts de Yangon de 1958 à 1977, directeur deux ans et enseigne à l'association des beaux-arts de l'Université de Rangoon de 1960 à 1979. Il étudie en Chine en 1964 et obtient une bourse d'études en restauration d'art en Allemagne de l'Est en 1971.
Le travail des peintres chinois l’influence beaucoup et il incorpore leurs techniques de pinceau et d'encre dans ses huiles et aquarelles.
"Je peins selon mes émotions", dit-il, s'inspirant de l'odorat, des textures, de la lumière, de l'ombre, de la forme féminine, de la beauté des femmes qui dansent, prennent un bain ou préparent leur maquillage thanaka traditionnel du Myanmar. Bien qu’il ait d'autres sujets, il revient toujours à la beauté féminine.
Il expose régulièrement au Myanmar et participe à plusieurs expositions d'art à l'étranger, comme au Japon, en Corée, en Australie, aux États-Unis, à Singapour et en Thaïlande. Ses œuvres se trouvent au Musée national du Myanmar et aux Galeries nationale des arts de Malaisie et Singapour.
Le peintre birman Maung Aw naît en 1945 en Birmanie (aujourd’hui Myanmar), au sud-est asiatique. Il passe 7 ans à apprendre son métier sous la tutelle experte d'un maître artiste - Saya U Thein Han, professeur à l'École publique des beaux-arts.
Jeune artiste, il aime le style réaliste, mais il découvre plus tard la philosophie de la peinture de Matisse et change radicalement de style. Il simplifie son travail et bannit les détails.
Il se considère comme un coloriste, par-dessus tout. Il dépouille ses toiles des éléments des plus basiques et peint un personnage central; baigné d'ombre ou de lumière. Pour lui, ses œuvres sont des formes de couleurs.
Il se lance d'abord dans la série « Woman Dressing ». Ces œuvres représentent une femme birmane dans une activité quotidienne, ré-attachant sa jupe semblable à un sarong, appelée longyi. Bien que commun, ce geste est rarement vu en public. Modeste, elle essaie d'éviter les yeux des étrangers tout en effectuant cette tâche intime. Maung Aw, inspiré par la beauté tranquille de ce geste, l'utilise comme un motif central dans son arrangement de couleurs et de formes.
La genèse de sa série «Turban Kid» est venue d'un voyage dans l'État Shan où il rencontre un groupe d'enfants Pa-O, vêtus de leurs plus beaux habits, observant une procession religieuse. Il est ému par leurs visages innocents et brillants et le jeu du soleil sur leurs turbans colorés.
Ses œuvres de paysages, les scènes de marché, et ses séries intimes se sont révélées immensément populaires dans le monde. Il expose à Yangon et à l'international depuis plus de 30 ans. Aujourd'hui, il travaille rarement et est essentiellement à la retraite rendant ses œuvres de plus en plus rares. Elles sont devenurs un must pour tout collectionneur d'art asiatique.
Jeune artiste, il aime le style réaliste, mais il découvre plus tard la philosophie de la peinture de Matisse et change radicalement de style. Il simplifie son travail et bannit les détails.
Il se considère comme un coloriste, par-dessus tout. Il dépouille ses toiles des éléments des plus basiques et peint un personnage central; baigné d'ombre ou de lumière. Pour lui, ses œuvres sont des formes de couleurs.
Il se lance d'abord dans la série « Woman Dressing ». Ces œuvres représentent une femme birmane dans une activité quotidienne, ré-attachant sa jupe semblable à un sarong, appelée longyi. Bien que commun, ce geste est rarement vu en public. Modeste, elle essaie d'éviter les yeux des étrangers tout en effectuant cette tâche intime. Maung Aw, inspiré par la beauté tranquille de ce geste, l'utilise comme un motif central dans son arrangement de couleurs et de formes.
La genèse de sa série «Turban Kid» est venue d'un voyage dans l'État Shan où il rencontre un groupe d'enfants Pa-O, vêtus de leurs plus beaux habits, observant une procession religieuse. Il est ému par leurs visages innocents et brillants et le jeu du soleil sur leurs turbans colorés.
Ses œuvres de paysages, les scènes de marché, et ses séries intimes se sont révélées immensément populaires dans le monde. Il expose à Yangon et à l'international depuis plus de 30 ans. Aujourd'hui, il travaille rarement et est essentiellement à la retraite rendant ses œuvres de plus en plus rares. Elles sont devenurs un must pour tout collectionneur d'art asiatique.