Vanity Fair le place parmi les hommes plus élégants du monde. Il fait président. Pourtant, certains intellectuels français le méprisent parce qu’il «jogge» et n’aiment pas son air délabré lorsqu’il pratique ce sport. Il ne fait pas président.
Après une campagne électorale parfaite, après avoir résisté à la tornade «anti-Sarko», après une victoire éclatante, après avoir montré qu’il veut remplir ses promesses électorales, après avoir démontré sa capacité à bien se positionner sur l’échiquier politique mondial, 68% des Français l’appuient. Pourtant, la gauche continue ses petitesses.
Libération, entre autres, le journal de la gauche, l’accuse de «générer des images hypnotiques qui sont loin d’être innocentes. En comparaison de la séquence jogging, tout le reste semble statique, poussiéreux, grisâtre et comme désincarné».
Qu’il soit élégant ou hypnotiseur, ce qui compte c’est l’action, les politiques, les résultats. On ne peut qu’être estomaqué par le travail intense et l’effort gigantesque que Nicolas Sarkozy fait, depuis son élection, pour dépoussiérer la France afin qu’elle redevienne active, colorée et collée à la réalité.
Les électeurs français ont cru aux promesses de leur nouveau président, il veut les remplir. Ils ont cru qu’elles contenaient la vision d’un avenir meilleur pour eux et leur pays. Sarkozy sait qu’il doit livrer la marchandise. Non pas seulement parce qu’il a fait tant de promesses mais parce qu’il a été celui qui a créé ces espoirs et est le premier qui y croit.
Les députés français tombent en vacances après une session extraordinaire de leur parlement, en juillet, durant laquelle ils ont voté des lois importantes, inédites, novatrices et modernes qui correspondent aux promesses de leur chef.
Aujourd’hui, Sarkozy peut dire qu’il a tenu dix de ses86 promesses, soient: la création du ministère de l’identité nationale, un nombre limité de ministres, la parité dans le gouvernement, des consultations préalables avec les partenaires sociaux, la création du ministère du développement durable, l’ouverture vers les autres partis, le rôle de l’opposition au parlement, la décision qu’il n’y aura pas de référendum sur l’Europe, la création d’un ministère commun sports et santé, et le service commun (on dit essentiel au Québec) pour le transport lors de grèves.
Il a encore beaucoup de chemin à faire mais on ne peut qu’être impressionné par les résultats si rapides que le président a obtenus. Cela augure très bien pour l’avenir.
Après tant de succès, que l’on continue à salir Sarkozy me surprend. Pris par la petite politique, que je qualifie de «potilique», certains hommes de gauche critiquent pour critiquer et sont incapables d’être positifs. Tans pis pour eux, car ils ne s’aident pas.
Je dis «Bravo !» à Sarkozy, à ses députés, à son parti UMP et aux millions de Français qui l’ont élu. J’aime un homme politique qui agit, qui a du succès et de bons résultats. J’aimerais bien qu’au Canada et au Québec, nous ayons notre Sarkozy.
Claude Dupras
Ps. Un site internet français, indépendant, suit de près la réalisation des86 promesses sarkoziennes. Il est intéressant et voici son lien:
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