Conclusion


La Troisième Guerre mondiale est une revanche de la nature sur l’homme. L’homme fait partie de la nature, il est dans la nature. A partir du XVIIIième siècle, la pensée occidentale a mis l’accent sur un volontarisme extrayant l’homme de la nature et lui assignant la mission de s’en rendre maître. La Troisième Guerre mondiale consacrera la défaite du volontarisme.

Les forces de l’inconscient, précipitant les masses les unes contre les autres, auront organisé des hécatombes d’une ampleur sans précédent. Les problèmes de surpopulation qui, en bien des endroits, interdisaient tout essor économique et occasionnaient de dégâts écologiques importants, seront résolus.

L’humanité, à l’évidence en surnombre sur la planète, aura connue le phénomène d’ivresse guerrière régulatrice.

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