Les Vignau


Chronique familiale de l’ancêtre Bertrand Vignau et de sa descendance basque

Cette généalogie qui contient 9 générations a été préparée en collaboration avec le Généalogiste Jean Jacques LEBEAU et Liliane Vignau.

La maison Basque

La maison au Pays Basque est un symbole très fort de l’organisation sociale et d’une activité rurale. Quel que soit son style, « Etxea » (etchéa), la maison est au centre de la société basque et représente l’importance des liens qui unissent les familles autour de ce patrimoine précieux. Souvent, les habitants se connaissent mieux sous le nom de leur maison que sous leur réel patronyme.

Effectuée lors de voyages en France, cette généalogie est celle de mon mari, né au Pays Basque dans le Sud-Ouest de la France. La famille habitait la maison Harguinania dont le nom signifie: la maison du maçon. (Ci-dessus)

J’ai interrogé plusieurs personnes afin de savoir ce que signifiait exactement ce nom et on m’a donné comme réponse: le frère du maçon. Par la suite, elle a été habitée par des tisserands. Cette ancienne maison convenait à ceux-ci parce qu’elle se composait à l’origine de deux pièces en terre battue. Celle réservée au métier à tisser n’était pas chauffée, afin de conserver un certain niveau d’humidité et d’empêcher que le bois du métier à tisser ne se détériore. L’autre servait de logement à la famille et comportait une cheminée. Les chambres à coucher étaient à l’étage.

Harguinania fut achetée du voisin, Bertrand Joannateguy en 1818 et elle parvint avec les années à la famille Sorçaburu et Vignau à qui elle appartient toujours. En 1666, il y avait des Joannateguy qui habitaient la maison Joannategia à Orègue. J’ai pu faire le lien généalogique qui menait les Joannateguy aux Vignau grâce aux mariages. À force d’y réfléchir, je suis parvenue à la conclusion qu’elle date à peu près du temps de la maison des Joannateguy ou quelques années plus tard. Tous les bâtiments qui font parties de cette enceinte se touchent et elle a dû être érigée pour servir d’abri à un de ses membres qui était maçon, pour plus tard devenir une maison de tisserands. Nous possédons des nappes tissées sur ces métiers.

Souvent, après le mariage, le mari, cultivateur, allait vivre dans la famille de son épouse.

La langue parlée de cette région est le basque (Euskara).

Le sport national est la Pelotte basque (Euskal pilota) qui se joue à main nue ou avec un chistera.

Sauf quelques exceptions, tous les mariages qui suivent sont inscrits dans les archives des Pyrénées-Atlantiques, en Aquitaine, France.

L‘histoire Bertrand Vignau et de ses descendants a été établie, ci-après, sur 9 générations.

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1 Commentaire

  • Charlotte Eardly

    10 juillet 2019 at 11:55 Répondre

    Bonjour et merci pour ce bel arbre généalogique!
    Je vous écris car ma meilleure amie d’enfance, Cécile, a trouvé par hazard, l’acte de naissance de sa maman qui avait été adoptée en 1946.
    Sur cet acte est inscrit le nom de sa maman, Marie France Belleret, et le nom de la maman de Marie-France, Germaine Belleret. Nous pensons avoir trouvé la bonne Germaine, mais nous n’avons trouvé aucune autre information sur Germaine et Cécile ( qui habite maintenant avec Marie-France à Tenerife) n’a pas d’ordinateur, ce qui rendent les recherches difficiles sur le petit écran de son portable.
    Cécile voudrait avoir quelques informations sur sa grand mėre, s’est elle mariée, avec qui, et a-t-elle eu d’autres enfants? Nous soupçonnons que Marie France était un secret. Nous avons l’acte et nous aimerions vous l’envoyer.
    Merci pour votre aide,
    Charlotte et Cécile.

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