Le peuple Maasaï, les tribus


Le peuple Maasaï

Les Maasaïs sont une population d’éleveurs et de guerriers semi-nomades d’Afrique de l’Est, vivant principalement dans le centre et le sud-ouest du Kenya ainsi qu’au nord de la Tanzanie. Ils occupent de nombreux parcs animaliers d’Afrique de l’Est et sont l’un des peuples les plus connus du grand public occidental. Les Maasaïs maintiennent leurs traditions culturelles tout en prenant part aux forces économiques, sociales, et politiques contemporaines, dans la région et au-delà.

Le pays maasaï s’étend de chaque côté de la frontière qui sépare le Kenya de la Tanzanie, entre les monts Kenya et Kilimandjaro. Le climat y est chaud et sec. Il compte différentes réserves naturelles et de grands territoires où les animaux sont protégés : rhinocéros, lions, buffles, éléphants, girafes, gnous, gazelles, zèbres…

La tradition orale maasaï et les données archéologiques indiquent qu’ils ont migré depuis le nord du lac Turkana, à savoir la vallée du Nil en Égypte et au Soudan vers le XVe siècle, accompagnés de leur bétail domestique.

Une partie importante des terres maasaïs a été conquise par les colons britanniques et allemands à la fin du XIXe siècle, aidés par la peste bovine et la variole, puis par les ethnies africaines dominantes avec l’aide du gouvernement lors de l’indépendance. Une partie des terres a également été transformée en réserves et parcs nationaux, dont: Amboseli, Nairobi, Maasai Mara, Samburu, Nakuru, Manyara, Ngorongoro, Serengeti et Tsavo.

Les Maasaïs sont semi-nomades et ont une économie pastorale exclusive. Ils ont résisté aux incitations des gouvernements kényan et tanzanien visant à leur faire adopter un mode de vie plus sédentaire et à adopter l’agriculture. Ils ont acquis le droit de faire pâturer leur bétail dans de nombreux parcs des deux pays et ignorent régulièrement les frontières lorsqu’ils déplacent leurs grands troupeaux de bétail à travers la savane lors des changements de saison.

Leur résistance a contribué à générer une vision romantique du mode de vie maasaï, considéré comme un exemple d’harmonie avec la nature.

Les Maasaïs vivent encore dans les réserves de faune dont ils sont les premiers organisateurs. Ne chassant pas, sinon le lion pour des rites d’initiation, ils ont préservé les animaux sauvages et leurs feux ont transformé une brousse peu pénétrable en un tapis régulier d’herbes basses.

Les estimations des populations maasaï du Kenya et de Tanzanie varient d’une source à l’autre. Elles sont rendues délicates par le nomadisme et le fait que les groupes puissent circuler très librement à travers la frontière. Selon les estimations, la population maasaï serait comprise entre 300 000 et 880 000 personnes.

Les Maasaïs se répartissent en cinq groupes : les Arusha, les Baraguyu, les Kisongo, les Purko et les Samburu. Une population maasaï importante s’est établie dans les districts de Narok, Trans Mara et Kajiado, dans la province de la vallée du Rift au Kenya.

Les Maasaïs construisent de petites maisons circulaires temporaires en utilisant des branchages entrecroisés, recouverts de bouse de vache et de boue. Ce mélange sèche rapidement au soleil pour devenir suffisamment dur.

Les maisons sont toutes construites de la même manière : une pièce où les invités peuvent discuter, une pièce pour les animaux, la pièce principale où il y a le feu pour cuire les aliments et les nattes pour dormir, posées par terre. Il n’y a pas de meubles.

Un groupe de maison en cercle, ceint par une clôture formée de branches épineuses, forme un enkang. Les troupeaux sont regroupés au centre de ce cercle durant la nuit afin de les protéger des prédateurs. Un ensemble d’habitation formant un village est nommé boma. Quand les Maasaïs doivent migrer, ils détruisent complètement par le feu leur ancien village.

Les femmes construisent les maisons et s’occupent de la vie du village (entretien des maisons, repas, vêtements, …). Les hommes veillent à la sécurité du campement et s’occupent du bétail.

La vie traditionnelle des Maasaïs s’organise autour du bétail, qui constitue leur principale source de nourriture. La richesse d’un Maasaï est déterminée par le nombre de vaches que possède sa famille.

Chaque famille maasaï possède une dizaine de bœufs, de chèvres et de moutons. Chaque bête est marquée d’un signe qui indique à qui elle appartient. Les hommes emmènent leurs troupeaux paître dans la réserve des animaux, pour plusieurs jours. C’est le plus ancien guerrier maasaï qui guide le troupeau à travers la savane. Les Maasaïs occupent un territoire aussi longtemps que le bétail peut s’y nourrir.

Les Maasaïs se nourrissent surtout de laitages et de sang. Ils peuvent en effet prélever le sang des jeunes bovins sans les tuer, en les incisant au niveau du cou d’une flèche tirée dans la veine jugulaire. Un bol de sang mélangé à du lait constitue l’aliment de base. La viande est consommée plus rarement et ne doit jamais être mêlée à du lait ; elle est réservée à certaines cérémonies ou occasions particulières.

L’« idéal pastoral » maasaï les conduit à rejeter toute alimentation d’origine animale et toute activité agricole ou cynégétique à vocation alimentaire. Ils ne consomment ni poisson, ni oiseau, ni gibier sauvage à l’exception du buffle et de l’éland, ressemblant à leur propre bétail.

D’autres sources indiquent que les Maasaïs consomment d’importantes quantités de plantes. Selon une étude menée par Timothy Johns, « Pour apprêter le lait, les Maasaïs y ajoutent plantes, racines, écorces, un tas de végétaux. Et ils disposent toujours d’un bouillon d’herbages et d’écorces, qu’ils mélangent à la viande. Il leur arrive aussi de se curer les dents avec des morceaux de bois, de sucer des racines pour en extraire le jus ou de mâcher de la gomme d’arbres, telle la myrrhe fournie par le balsamier. Or beaucoup de ces plantes sont médicinales. Les autres peuplades de la région les utilisent uniquement pour se soigner, tandis que Les Maasaïs en font un usage presque quotidien. »

La société maasaï est patriarcale. Les anciens prenant les décisions pour l’ensemble du groupe. Le chef spirituel, oloiboni, agit comme un intermédiaire entre les Maasaïs et leur dieu Enkai. Il est le détenteur des connaissances traditionnelles concernant les plantes médicinales et peut pratiquer la divination et la magie.

Les Maasaïs sont divisés en clans patrilinéaires et en classes d’âge. Les hommes passent successivement dans cinq classes d’âge : enfants, jeunes guerriers, guerriers adultes, jeunes aînés puis aînés. Le passage d’une classe à l’autre est accompagné de rites initiatiques.

Les anciens délivrent aux enfants des connaissances concernant les plantes, les animaux, mais aussi les usages et l’histoire de leur peuple.

Les garçons maasaï deviennent de jeunes guerriers ou morane vers l’âge de quinze ans. Un ancien leur apprendra le maniement des armes, les chants de guerre, les danses traditionnelles. Différentes initiations accompagnent le passage des jeunes Maasais mâles à l’âge adulte. Le plus important est la circoncision, qui peut être pratiquée au même moment pour de nombreux individus. Ces personnes appartiennent dès lors à une même classe d’âge. Les jeunes garçons ne doivent ni faire de bruit, ni bouger durant la cérémonie.

Il a été dit que chaque jeune devait tuer un lion avant sa circoncision : il s’agit d’un mythe véhiculé notamment dans le cadre de l’industrie touristique. Il est vrai toutefois que tuer un lion permet d’acquérir célébrité et prestige au sein de la communauté.

Après le rite de circoncision, les jeunes guerriers partent vivre en groupe dans un village spécialement construit pour eux manyatta, loin de l’univers féminin. Ils ne pourront se marier qu’une fois qu’ils seront devenus des guerriers adultes.

L’accès à la puberté des jeunes filles est marqué par une cérémonie durant laquelle les femmes âgées pratiquent l’excision de celles-ci. La pratique existe toujours malgré que les gouvernements aient tentés de l’éradiquer.

Les mariages des filles sont souvent organisés par les pères avant leur naissance. Les relations hors mariage des filles avant la puberté sont considérées comme naturelles. Pour déclarer son amour à un guerrier, la femme maasaï l’invite chez elle pour boire du lait. La nouvelle structure familiale est fondée lors de la naissance du premier enfant. Les femmes ne peuvent se marier qu’une fois au cours de leur vie. Les hommes peuvent se marier plusieurs fois et même avoir plusieurs épouses s’ils possèdent suffisamment de bétail. Les femmes ne peuvent pas avoir plus de dix enfants.

Les Maasaïs ont un dieu unique et bienveillant, Enkai ou Ngai, dieu créateur se manifestant à travers la pluie et le ciel. Son épouse, Olapa, est la lune.

Ils croient que Enkai a donné tout le bétail aux Maasaïs, et donc que quiconque possède des troupeaux doit les avoir volés autrefois aux Maasaïs. Cette croyance a conduit à quelques conflits mortels avec d’autres tribus voisines au cours des siècles passés, lors de tentatives destinées à récupérer ce qu’ils considéraient comme leur propriété.

Les Maasaïs parlent le maa, le swahili, langue véhiculaire de l’Afrique de l’Est, et parfois de nos jours l’anglais.

Outre la circoncision ou l’excision, les enfants des deux sexes subissaient autrefois une ablation de l’une ou de deux incisives inférieures.

Les hommes et les femmes ont également les lobes des oreilles percés et souvent distendus par des disques. Les femmes réalisent des bijoux en perles qui jouent un rôle essentiel dans l’ornementation corporelle maasaï. Dès l’âge de 12 ans, les jeunes filles apprennent à broder les vêtements multicolores de cérémonie.

Le goût pour les vêtements rouges des Maasaïs contemporains fait écho à l’utilisation plus traditionnelle d’ocre de cette même couleur. Les morane se tressent les cheveux et les teignent en rouge. Les Maasaïs aiment porter des bijoux (colliers, bracelets,…).

Il existe différentes formes de danses maasaïs ; l’une des plus connues est une forme de compétition opposant les hommes, ceux-ci devant sauter le plus haut possible en conservant les pieds joints.

Le En Gehé est un jeu traditionnel qui occupe une place importante dans la société maasaï du nord de la Tanzanie. Il est réservé aux hommes, c’est le jeu des guerriers.

Bien qu’ils soient très attachés à leurs origines et à leur culture, de nombreux Maasaï ont abandonné leur mode de vie traditionnel pour le style de vie occidental. Certains jeunes ont émigré en Europe ou en Amérique du Nord, afin notamment de poursuivre des études supérieures.

Depuis l’ère coloniale, les Maasaïs ont été dépossédés d’une partie importante de leurs terres traditionnelles, soit par des fermiers privés, soit dans le cadre de plans gouvernementaux ou de création de parcs nationaux. Les gouvernements tanzanien et kényan ont en effet tenté de mettre en place des projets de développement visant à modifier les modes de vie traditionnels des Maasaï et à les sédentariser afin qu’ils respectent les frontières. Ces tentatives se sont soldées par un appauvrissement généralisé des populations maasaï, qui jusque là géraient efficacement leur bétail.

Depuis 1993, des mouvements s’organisent pour faire cesser les ventes ou les saisies de terre au Kenya, ou pour participer à l’administration du Conservatoire régional de Ngorongoro et à la campagne de défense de la montagne sacrée Endoinyo Ormoruwak en Tanzanie.

Les « Bushmen »

Les tribus Hazda et les Datoga sont des peuples d’Afrique de l’Est établis en Tanzanie centrale autour du lac Eyasi, dans la Rift Valley, près du plateau du Serengeti. Il sont les originaux “Bushmen” qui chassent encore avec leurs arcs et leurs flèches, et qui parlent en faisant un bruit similaire à « click » ou « toc » dans leurs phrases pour signifier et souligner ce qu’ils disent.

Les Hazdas

Les Hazdas sont les premiers habitants connus de Tanzanie. Leur présence remonte à près de quarante mille ans. Leur population s’élève à environ mille individus, dont 300 à 400 vivent comme , comme leurs ancêtres il y a des dizaines de milliers d’années, avant l’invention de l’agriculture. Ils vivent sans règles ni calendrier, ils n’ont ni cultures, ni bétail, ni abris permanents. Ils n’organisent ni funérailles ni cérémonie d’aucune sorte. Ce sont les derniers chasseurs-cueilleurs d’Afrique. Les fruits, les baies et les racines rapportés par les femmes prévalent sur le gibier dans le régime alimentaire des Hadzas. Les hommes, eux, récoltent du miel et chassent à l’arc.

En dehors de la division sexuelle du travail, la société hadza est strictement égalitaire : pas de propriété privée, pas de chef, pas de règles religieuses. Les notions de possession et de contrôle des terres sont dénuées de sens. Si un conflit surgit et persiste entre deux personnes, l’une d’elles choisit simplement de rejoindre un autre camp. Il en va de même pour les mariages : ils se font et se défont librement.

Les Hadzas occupent plus de 10 000 km² au sein de la .

L’avancée des pasteurs Datogas, originaires d’ et du , menace l’environnement des Hadzas toujours à la recherche de nouveaux pâturages, mènent leurs troupeaux sur les collines reculées où vivent les Hazdas. Ces derniers, au cours des cinquante dernières années, ont perdu 75 % de leur territoire alors que la population dans le bassin du lac Eyasi aurait, elle, augmenté de 300 % au cours des deux dernières décennies.

Pour certains Tanzaniens, les Hadzas n’ont plus de place dans un pays qui se modernise. Un ministre tanzanien a déclaré que les Hadzas étaient « arriérés ». Les autorités veulent les scolariser, qu’ils habitent des maisons et occupent des emplois dignes de ce nom. Mais pour l’heure, c’est dans la douleur que les Hazdas se familiarisent avec le monde d’aujourd’hui. Beaucoup, parmi ceux qui se font embaucher comme ouvriers agricoles, développent une addiction à l’. Ce fléau frappe également les groupes qui gravitent autour des villages, pour se montrer aux touristes. En échange de quelques shillings, les Hadzas acceptent de « théâtraliser » leur vie de chasseurs-cueilleurs.

Les Datogas

Les Datogas sont des fermiers et des artisans habiles. Leur histoire de migration a été reconstruite par la comparaison linguistique et l’étude des traditions orales du Datoga et de leurs voisins. Les Datogas sont classifiés linguistiquement et culturellement en tant que Nilotes (méridional) des montagnes.

Les Datogas eux-mêmes s’adaptent bien avec leur environnement, leur robe étant la couleur du sol brun-rougeâtre. Ils portent aussi un tatouage circulaire autour des yeux. Ces personnes font partie de la grande migration de Nilotic du Soudan, le long du fleuve du Nil, il y a 3000 ans. Ils ont été séparés de l’autre Nilotes des montagnes par des migrations postérieures de Bantou et raffinent des peuples de Nilotic comme le Maasai. Ils étaient des bergers, mais ont diversifié pour inclure l’agriculture ces derniers temps.

Les Datogas sont les personnes fières, avec une réputation en tant que guerriers féroces. Traditionnellement, les jeunes hommes ont dû se prouver en tuant un ennemi des personnes, tel: un être humain qui n’est pas un Datoga, ou l’éléphant, le lion ou le buffle. Ils résistent à l’éducation et au développement et vivent dans des normes d’hygiène basses.

La langue de Datoga, avec ses dialectes, est une langue méridionale de Nilote, liée lointainement aux langues de Kalenjin du Kenya. Environ 20% parlent également la langue de leurs voisins méridionaux de Cushitic, Iraq. Seulement environ 5% parlent SwahiliLe dialecte de Barabaig est parlé par près plus de la moitié du peuple Datoga. Leur taux d’alphabétisation est seulement environ 1%.

Les chèvres, les moutons, les ânes et les poulets fournissent la subsistance principale des Datoga. Ils ressemblent au Maasai dans la culture. La viande, la graisse, le sang, le lait, la peau, les klaxons, les tendons et la bouse de vache de chaque animal ont des buts pratiques ou rituels. Ils étaient autrefois nomades, dépendant en grande partie des produits laitiers pour leur régime. Maintenant, cependant, beaucoup cultivent une parcelle de terrain de maïs et parfois d’haricots et de millet. Ils vivent une vie très difficile, dans les secteurs semi arides, où il est difficile d’obtenir l’eau, souvent malpropre.

La situation idéale de famille est polygame, avec des épouses rangées par ordre de mariage. Le mariage doit être en dehors du clan. Les enterrements sont des cérémonies étendues, durant jusqu’à une année. La pression de groupe est la commande sociale primaire, mais les aînés peuvent imposer des amendes et des malédictions. Les hommes boivent de la bière de miel comme boisson sacrée aux occasions rituelles.

Aide du Canada

Le Canada aide la Tanzanie à atteindre ses objectifs de développement: à accélérer la croissance économique et à réduire la pauvreté; à améliorer la qualité de vie et le bien-être social des Tanzaniens; à favoriser une saine gouvernance et la responsabilisation.

Le Canada est résolu à concentrer ses efforts et à accroître son incidence dans trois sphères : la santé, la gouvernance et le développement du secteur privé. Tant la Tanzanie que le Canada considèrent que ces sphères sont cruciales pour réduire la pauvreté. Il continuera aussi à consolider les acquis dans le secteur de l’éducation. Il accorde une attention à la santé des enfants et des mères afin d’améliorer la qualité de vie et le bien-être des Tanzaniens. Le Canada soutient donc la prestation de soins de santé aux enfants et aux femmes enceintes. Plus particulièrement, il appuie les régimes de soins de santé du pays et il améliore l’accès de la population à des fournisseurs de soins de santé qualifiés. Enfin, le Canada fait la promotion de mesures pour prévenir la propagation du VIH/sida chez les jeunes, tout en atténuant les répercussions de cette maladie chez les enfants et leurs familles. De plus, le Canada aide le gouvernement tanzanien à respecter son engagement renouvelé en matière de sécurité alimentaire et de croissance économique et à prendre des mesures pour régler les priorités actuelles et nouvelles (comme la crise économique mondiale), à l’échelle nationale et locale.

La Tanzanie est un chef de file sur le plan de l’efficacité de l’aide.

Sa prise en charge à l’échelle nationale est solide. Elle joue un rôle de haut niveau dans les principaux domaines de réforme. Elle est aussi au premier plan de la coordination des efforts de développement qui s’inscrivent dans sa stratégie de réduction de la pauvreté. L’adhésion du gouvernement et des donateurs assure une meilleure concordance des activités et des priorités nationales et une meilleure harmonisation de l’aide des donateurs.

D’importants progrès ont été réalisés au chapitre de la répartition du travail, un exercice par lequel le gouvernement et les donateurs se sont entendus pour répartir les secteurs de mobilisation par donateur, en fonction des priorités de la Tanzanie. Le Canada est donateur principal pour l’éducation, les ressources humaines en santé et le combat contre VIH/sida, et la réforme de la justice.

Photos de haut en bas: le village Maasaï, les maasaïs et leurs vêtements rouge, danse maasaï (celui qui saute le plus haut), une femme maasaï et ses colliers, hutte maasaï, autour du feu intérieur de la hutte, lobe d’oreille typique, les jeunes nouveaux circoncis, l’école vue de l’arbre, les élèves maasaïs, femmes maasaïs et leur boucles d’oreilles, hommes maasaïs, les Hazda alumant un feu, les chasseurs Hazda, un maison des Datogas, les Datogas au repas, la mère maasaï et son enfant, guerriers maasaïs

Sources de tous les textes: Internet; Wikipedia; guide du Routard; bouquins sur la Tanzanie, ses animaux et ses parcs Serengeti, Tarangire, Ngorongoro et lac Manyara;ACDI; notes personnelles suite à deux safaris en Tanzanie. Sources de toutes les photos: Alexia et Claude Dupras. Sauf celles (4) des Hazda et des Datogas sont d’Internet.