test
Pour voir les tableaux, cliquez sur l’image ou sur le nom du peintre
Vous trouverez une liste de peintre canadien avec des centaines de photo de leur oeurvres
Vous trouverez une liste de peintre canadien avec des centaines de photo de leur oeurvres
(English version hollows)
La peintre inuite Germaine Arnaktauyok, originaire du Nunavut, est une des plus aimées et les mieux connues des arts visuels. Aussi graveuse et dessinatrice, elle est originaire de la région d’Iglulik. Sa sérigraphie The Drummer a été choisie par la Monnaie royale canadienne pour orner la pièce de deux dollars commémorant la création du Nunavut, en 1999. Ses images représentent des cérémonies, coutumes, légendes et la réalité vécue de la culture inuite. Ses dessins représentent son patrimoine, de l’astronomie à la mythologie, via les temps oubliés. Des dessins abordent le thème du rôle des femmes, les traditions de la culture inuite et représentent des tatouages traditionnels, des outils féminins et plusieurs aspects de la maternité et de la création. Elle nous transporte dans le monde froid et venteux de l’Arctique.
------
Inuit painter Germaine Arnaktauyok, originally from Nunavut, is one of the most beloved and best known of the visual arts. An engraver and designer, she is originally from the Iglulik region. Her screen print The Drummer was chosen by the Royal Canadian Mint to adorn the two dollar coin commemorating the creation of Nunavut in 1999. Its images represent ceremonies, customs, legends and the lived reality of Inuit culture. Her drawings represent her heritage, from astronomy to mythology, through forgotten times. Her images interpret oral histories of shamans and curiosities surrounding the beginning of life, the importance of strong harmony, and respect for all forms of life on Earth. Her designs address the theme of the role of women, the traditions of Inuit culture and depict traditional tattoos, female tools and many aspects of motherhood and creation. She transports us to the cold and windy arctic world.
La peintre inuite Germaine Arnaktauyok, originaire du Nunavut, est une des plus aimées et les mieux connues des arts visuels. Aussi graveuse et dessinatrice, elle est originaire de la région d’Iglulik. Sa sérigraphie The Drummer a été choisie par la Monnaie royale canadienne pour orner la pièce de deux dollars commémorant la création du Nunavut, en 1999. Ses images représentent des cérémonies, coutumes, légendes et la réalité vécue de la culture inuite. Ses dessins représentent son patrimoine, de l’astronomie à la mythologie, via les temps oubliés. Des dessins abordent le thème du rôle des femmes, les traditions de la culture inuite et représentent des tatouages traditionnels, des outils féminins et plusieurs aspects de la maternité et de la création. Elle nous transporte dans le monde froid et venteux de l’Arctique.
------
Inuit painter Germaine Arnaktauyok, originally from Nunavut, is one of the most beloved and best known of the visual arts. An engraver and designer, she is originally from the Iglulik region. Her screen print The Drummer was chosen by the Royal Canadian Mint to adorn the two dollar coin commemorating the creation of Nunavut in 1999. Its images represent ceremonies, customs, legends and the lived reality of Inuit culture. Her drawings represent her heritage, from astronomy to mythology, through forgotten times. Her images interpret oral histories of shamans and curiosities surrounding the beginning of life, the importance of strong harmony, and respect for all forms of life on Earth. Her designs address the theme of the role of women, the traditions of Inuit culture and depict traditional tattoos, female tools and many aspects of motherhood and creation. She transports us to the cold and windy arctic world.
La peintre canadienne Molly Lamb Bobak naît le 25 février 1919 à Vancouver. Elle est exposée à l'art en tant que jeune fille à travers des cours pour enfants et par des associations familiales avec des peintres comme A.Y. Jackson et Emily Carr. Plus tard, à la fin de ses études secondaires, elle s'inscrit à la Vancouver School of Art et y étudie pendant quatre ans avec Jack Shadbolt et Charles Hepburn Scott.
Après une année supplémentaire d'études supérieures, elle s'engagé dans le Corps de l'armée canadienne des femmes en 1942 et lorsque V-E Day a été déclarée, elle est envoyée en Angleterre en tant qu'artiste de guerre officielle - la première Canadienne à le faire. Là et dans le nord-ouest de l'Europe, elle travaille pour documenter les unités de communication, les scènes de foule et les célébrations de la fin de la guerre. Il y a plus de 400 de ses œuvres dans la collection des mémoriaux de guerre.
À son retour à Vancouver, elle enseigne la peinture jusqu'en 1950. À cette époque, elle épouse son compagnon de guerre Bruno Bobak et ils ont un fils, Alexander. Elle porte une attention particulière sur les plages et la ville, et est intéressée par les défilés, les fêtes et les scènes de vie joyeuse et commune de la ville.
En 1960, les Bobaks déménagent à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. Elle enseigne à l'Université et dans de nombreuses autres institutions au Canada tout au long de sa vie. Ses étudiants notent son respect pour leurs idées. Bobak explore Fredericton en bus et à pied, se sentant plus engagé avec les gens de cette façon. Elle aime particulièrement les pubs, les événements sportifs, les défilés et les marches, où elle trouve des sujets pour ses tablesux. Elle produit des lithographies, après avoir maîtrisé cette technique pendant son séjour à Londres. Elle devient également connue pour ses natures mortes florales, ses restitutions délicates de fleurs sauvages et de graminées qui sont manipulées avec sensibilité et qui, pour elle, ont beaucoup en commun avec ses représentations de grands groupes de personnes.
En plus de ses nombreux prix, adhésions et réalisations, le travail de Bobak se trouve dans de nombreuses collections publiques, dont le Musée des beaux-arts du Canada, le Musée canadien de la grande guerre...
Elle continue à peindre et à dessiner tous les jours jusqu'à l'âge de 84 ans, alors que sa mauvaise vue l'oblige à réduire son travail. Elle décède à Fredericton en 2014 à l'âge de 94 ans.
Après une année supplémentaire d'études supérieures, elle s'engagé dans le Corps de l'armée canadienne des femmes en 1942 et lorsque V-E Day a été déclarée, elle est envoyée en Angleterre en tant qu'artiste de guerre officielle - la première Canadienne à le faire. Là et dans le nord-ouest de l'Europe, elle travaille pour documenter les unités de communication, les scènes de foule et les célébrations de la fin de la guerre. Il y a plus de 400 de ses œuvres dans la collection des mémoriaux de guerre.
À son retour à Vancouver, elle enseigne la peinture jusqu'en 1950. À cette époque, elle épouse son compagnon de guerre Bruno Bobak et ils ont un fils, Alexander. Elle porte une attention particulière sur les plages et la ville, et est intéressée par les défilés, les fêtes et les scènes de vie joyeuse et commune de la ville.
En 1960, les Bobaks déménagent à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. Elle enseigne à l'Université et dans de nombreuses autres institutions au Canada tout au long de sa vie. Ses étudiants notent son respect pour leurs idées. Bobak explore Fredericton en bus et à pied, se sentant plus engagé avec les gens de cette façon. Elle aime particulièrement les pubs, les événements sportifs, les défilés et les marches, où elle trouve des sujets pour ses tablesux. Elle produit des lithographies, après avoir maîtrisé cette technique pendant son séjour à Londres. Elle devient également connue pour ses natures mortes florales, ses restitutions délicates de fleurs sauvages et de graminées qui sont manipulées avec sensibilité et qui, pour elle, ont beaucoup en commun avec ses représentations de grands groupes de personnes.
En plus de ses nombreux prix, adhésions et réalisations, le travail de Bobak se trouve dans de nombreuses collections publiques, dont le Musée des beaux-arts du Canada, le Musée canadien de la grande guerre...
Elle continue à peindre et à dessiner tous les jours jusqu'à l'âge de 84 ans, alors que sa mauvaise vue l'oblige à réduire son travail. Elle décède à Fredericton en 2014 à l'âge de 94 ans.
(English version follows)
Le peintre canadien William Roy Brownridge nait en 1932 au cœur des prairies de l'Ouest canadien en Saskatchewan. Atteint du Spina-bifida, il est fasciné par le hockey et crée l’art qui reflète sa passion, échappant ainsi à son immobilité. Il obtient un diplôme en art publicitaire et une bourse du Conseil des Arts du Canada pour peindre et dessiner l'architecture ferroviaire en voie de disparition des Prairies. En 1981, il produit une série de sérigraphies sur les Sports d'hiver et, en 1988, Calgary s’en sert pour obtenir les Jeux Olympiques du CIO. « J'ai étudié le mouvement toute ma vie », dit-il. Il écrit le livre pour enfants « The Moccasin Goalie » et peint. En 1995, il écrit et illustre sa série de livres pour enfants.
-----
Canadian painter William Roy Brownridge was born in 1932 in the heart of the western prairies in Saskatchewan. Living with Spina-bifida, he is fascinated by hockey and creates art that reflects his passion, thus escaping his paralysis. He obtained a diploma in advertising art and a grant from the Canada Council for the Arts to paint and draw the endangered railway architecture of the Prairies. In 1981 he produced a series of Winter Sports serigraphs, and in 1988 Calgary used them to secure the IOC Olympic Games. “I've studied movement all my life,” he says. He wrote the children's book “The Moccasin Goalie” and painted. In 1995, he wrote and illustrated a series of children's books.
Le peintre canadien William Roy Brownridge nait en 1932 au cœur des prairies de l'Ouest canadien en Saskatchewan. Atteint du Spina-bifida, il est fasciné par le hockey et crée l’art qui reflète sa passion, échappant ainsi à son immobilité. Il obtient un diplôme en art publicitaire et une bourse du Conseil des Arts du Canada pour peindre et dessiner l'architecture ferroviaire en voie de disparition des Prairies. En 1981, il produit une série de sérigraphies sur les Sports d'hiver et, en 1988, Calgary s’en sert pour obtenir les Jeux Olympiques du CIO. « J'ai étudié le mouvement toute ma vie », dit-il. Il écrit le livre pour enfants « The Moccasin Goalie » et peint. En 1995, il écrit et illustre sa série de livres pour enfants.
-----
Canadian painter William Roy Brownridge was born in 1932 in the heart of the western prairies in Saskatchewan. Living with Spina-bifida, he is fascinated by hockey and creates art that reflects his passion, thus escaping his paralysis. He obtained a diploma in advertising art and a grant from the Canada Council for the Arts to paint and draw the endangered railway architecture of the Prairies. In 1981 he produced a series of Winter Sports serigraphs, and in 1988 Calgary used them to secure the IOC Olympic Games. “I've studied movement all my life,” he says. He wrote the children's book “The Moccasin Goalie” and painted. In 1995, he wrote and illustrated a series of children's books.
(English version follows)
« BRETON FLATS » OTTAWA
Le peintre canadien Ralph Wallace Burton vécu la plus grande partie de sa vie à Ottawa. Un jour un commerçant nommé Harold Veil l’a appelé pour lui demandé de peindre un tableau du bâtiment de sa boutique, car «ils allaient la démolir». Finalement, Burton en a peint plus de 30 représentant un paysage urbain en rapide disparition. Le 14 avril 1962, le Cabinet Diefenbaker a exproprié, par décret, tous les bâtiments de « Breton Flats ». Ils ont tous été démolis. Le ministère canadien de la défense et le Musée de la guerre sont installés sur le site. L’œuvre de Burton est la mémoire de ce vieux quartier résidentiel.
------
The Canadian painter Ralph Burton lived most of his life in Ottawa. One day, a business owner named Harold Veil called him to ask him to paint a picture of his shop because "they were going to be demolished ". Finally, Burton painted more than 30 buildings of the businesses representing a rapidly disappearing cityscape. On April 14, 1962, the Diefenbaker Cabinet expropriated, by decree, all the « Breton flats » buildings. They were all destroyed. The ministry of the Department of Defence and the War Museum are installed on the site. Burton's work is the memory of this old neighborhood.
« BRETON FLATS » OTTAWA
Le peintre canadien Ralph Wallace Burton vécu la plus grande partie de sa vie à Ottawa. Un jour un commerçant nommé Harold Veil l’a appelé pour lui demandé de peindre un tableau du bâtiment de sa boutique, car «ils allaient la démolir». Finalement, Burton en a peint plus de 30 représentant un paysage urbain en rapide disparition. Le 14 avril 1962, le Cabinet Diefenbaker a exproprié, par décret, tous les bâtiments de « Breton Flats ». Ils ont tous été démolis. Le ministère canadien de la défense et le Musée de la guerre sont installés sur le site. L’œuvre de Burton est la mémoire de ce vieux quartier résidentiel.
------
The Canadian painter Ralph Burton lived most of his life in Ottawa. One day, a business owner named Harold Veil called him to ask him to paint a picture of his shop because "they were going to be demolished ". Finally, Burton painted more than 30 buildings of the businesses representing a rapidly disappearing cityscape. On April 14, 1962, the Diefenbaker Cabinet expropriated, by decree, all the « Breton flats » buildings. They were all destroyed. The ministry of the Department of Defence and the War Museum are installed on the site. Burton's work is the memory of this old neighborhood.
Le peintre canadien William Brymner nait à Greenock en Écosse. Sa famille émigre au Canada en 1857 et s'installe à Montréal en 1864. Il poursuit ses études dans une école privée et au petit séminaire de Sainte-Thérèse.
En 1870, il est, un moment, apprenti chez l’architecte montréalais Richard Cunningham Windeyer. Il suit aussi des cours du soir à l’Institut national des beaux-arts, sciences, arts et métiers et industrie, fondé en 1871 par Joseph Chabert. En mai 1872, son père est nommé commis aux archives au département fédéral de l’Agriculture. Les Brymner s’installent alors à Ottawa,
Dès 1874, William est dessinateur aux Travaux publics, attaché au bureau de l’architecte en chef, Thomas Scott. Puis, il part étudier l’architecture à Paris, en 1878, où il travaille d’abord comme concepteur auprès du commissaire canadien à l’exposition universelle. L’été suivant, il prend des leçons de dessin avec Charles-François Pinot. En octobre, il s’inscrit à l’académie Julian, où il a pour maîtres Jules-Joseph Lefebvre et Gustave Boulanger. Pris de passion pour la peinture, il continue à l’académie Julian jusqu’en 1880 avec Tony Robert-Fleury et Adolphe-William Bouguereau.
De retour à Montréal, il devient enseignant à l'"Art Association of Montreal" de 1886 à 1921. Ses cours forment plusieurs artistes dont Clarence Gagnon, Edwin Holgate, Anne Savage et Prudence Heward et tellement d'autres. Il s'occupe également de l'"Art Gallery" qui prend de l'expansion et devient le Musée des beaux-arts de Montréal.
Brymner favorise également l'éclosion d'une peinture canadienne. Lui-même continue de peindre et se spécialise dans les scènes domestiques.
En 1883, il est membre de l'Académie royale des arts du Canada dont il est vice-président en 1907 puis président en 1909.
Il passe les dernières années de sa vie à voyager, surtout en France et en Italie, en compagnie de sa femme. Il meurt au cours d’une visite à la famille de celle-ci à Wallasey, en Angleterre.
En 1870, il est, un moment, apprenti chez l’architecte montréalais Richard Cunningham Windeyer. Il suit aussi des cours du soir à l’Institut national des beaux-arts, sciences, arts et métiers et industrie, fondé en 1871 par Joseph Chabert. En mai 1872, son père est nommé commis aux archives au département fédéral de l’Agriculture. Les Brymner s’installent alors à Ottawa,
Dès 1874, William est dessinateur aux Travaux publics, attaché au bureau de l’architecte en chef, Thomas Scott. Puis, il part étudier l’architecture à Paris, en 1878, où il travaille d’abord comme concepteur auprès du commissaire canadien à l’exposition universelle. L’été suivant, il prend des leçons de dessin avec Charles-François Pinot. En octobre, il s’inscrit à l’académie Julian, où il a pour maîtres Jules-Joseph Lefebvre et Gustave Boulanger. Pris de passion pour la peinture, il continue à l’académie Julian jusqu’en 1880 avec Tony Robert-Fleury et Adolphe-William Bouguereau.
De retour à Montréal, il devient enseignant à l'"Art Association of Montreal" de 1886 à 1921. Ses cours forment plusieurs artistes dont Clarence Gagnon, Edwin Holgate, Anne Savage et Prudence Heward et tellement d'autres. Il s'occupe également de l'"Art Gallery" qui prend de l'expansion et devient le Musée des beaux-arts de Montréal.
Brymner favorise également l'éclosion d'une peinture canadienne. Lui-même continue de peindre et se spécialise dans les scènes domestiques.
En 1883, il est membre de l'Académie royale des arts du Canada dont il est vice-président en 1907 puis président en 1909.
Il passe les dernières années de sa vie à voyager, surtout en France et en Italie, en compagnie de sa femme. Il meurt au cours d’une visite à la famille de celle-ci à Wallasey, en Angleterre.
Franklin Carmichael, né le 4 mai 1890 et mort le 24 octobre 1945, est un artiste peintre canadien et le plus jeune des membres du "Groupe des Sept".
Né en 1890 à Orillia, en Ontario. Carmichael arriva à Toronto à 20 ans, s'inscrivit à l'Ontario College of Art et se joignit à Tom Thomson. Il partit en Belgique en 1913 pour étudier la peinture, mais revint vite à cause du début de la guerre.
Réputé pour ses aquarelles, il représenta beaucoup de paysages ontariens dans nombre de ses peintures.
À Toronto en mai 2012, "Le Lac Lone", aquarelle de 44 cm sur 55 que Carmichael avait peinte en 1929, atteignit la somme de 330 400 $. Il représente un petit lac baptisé Carmichael en hommage à l'artiste, du parc provincial Killarney, Ontario dans les montagnes La Cloche
Carmichael mourut à Toronto le 24 octobre 1945.
Né en 1890 à Orillia, en Ontario. Carmichael arriva à Toronto à 20 ans, s'inscrivit à l'Ontario College of Art et se joignit à Tom Thomson. Il partit en Belgique en 1913 pour étudier la peinture, mais revint vite à cause du début de la guerre.
Réputé pour ses aquarelles, il représenta beaucoup de paysages ontariens dans nombre de ses peintures.
À Toronto en mai 2012, "Le Lac Lone", aquarelle de 44 cm sur 55 que Carmichael avait peinte en 1929, atteignit la somme de 330 400 $. Il représente un petit lac baptisé Carmichael en hommage à l'artiste, du parc provincial Killarney, Ontario dans les montagnes La Cloche
Carmichael mourut à Toronto le 24 octobre 1945.
La peintre canadienne Emily Carr naît le 13 décembre 1871 à Victoria en Colombie Britannique. Elle fait partie des artistes les plus reconnues du Canada. Ses peintures ont pour thèmes principaux les forêts de sa région et l'art totémique des Premières Nations.
Emily Carr part en France en 1910 avec sa sœur Alice afin d'y apprendre la peinture. Elle s'inscrit à l'académie Colarossi à Paris. Durant l'été 1911, elle s'inscrit à ses cours de Phelan Gibb et s'installe à Crécy en Brie, auprès de lui. Elle y réalisera de nombreuses toiles, aujourd'hui dispersées dans des collections particulières et des musées canadiens.
De retour au Canada en 1912, elle conçoit un projet ambitieux : faire une collection de peintures et de mâts totémiques de la côte nord-ouest dont les territoires ont été occupés par des colons en 1886 suite à la construction du chemin de fer. En 1912, elle fait un grand voyage parmi les Kwakwaka'wakw, les Haida et les Tsimshian et réalise deux cents toiles et esquisses pour faire connaitre l'héritage et les traditions des Autochtones. Avant-gardiste, elle n'a que très peu de succès, et gagne sa vie autrement.
Sa carrière reprend en 1927, alors que la Galerie nationale du Canada s'intéressait à l'art traditionnel des Autochtones. Emily Carr participe alors à une exposition présentée à Ottawa, Toronto, et Montréal.
Elle fait apparaitre des liens entre l'art autochtone et celui des peintres modernes du Canada, menés par le groupe des Sept, pour établir un patrimoine national.
Après 1932, elle s'ouvre à la stylisation de l'art autochtone et au pinceau fluide de l'art chinois. Elle reste fidèle, néanmoins, à la vision de Lawren Harris, chef du groupe des Sept : la peinture de paysage est destinée à donner un sens d'identité nationale aux Canadiens, et que ce sens comprend une certaine spiritualité.
Elle décède le 2 mars 1945 à Victoria, Colombie-Britannique
Emily Carr part en France en 1910 avec sa sœur Alice afin d'y apprendre la peinture. Elle s'inscrit à l'académie Colarossi à Paris. Durant l'été 1911, elle s'inscrit à ses cours de Phelan Gibb et s'installe à Crécy en Brie, auprès de lui. Elle y réalisera de nombreuses toiles, aujourd'hui dispersées dans des collections particulières et des musées canadiens.
De retour au Canada en 1912, elle conçoit un projet ambitieux : faire une collection de peintures et de mâts totémiques de la côte nord-ouest dont les territoires ont été occupés par des colons en 1886 suite à la construction du chemin de fer. En 1912, elle fait un grand voyage parmi les Kwakwaka'wakw, les Haida et les Tsimshian et réalise deux cents toiles et esquisses pour faire connaitre l'héritage et les traditions des Autochtones. Avant-gardiste, elle n'a que très peu de succès, et gagne sa vie autrement.
Sa carrière reprend en 1927, alors que la Galerie nationale du Canada s'intéressait à l'art traditionnel des Autochtones. Emily Carr participe alors à une exposition présentée à Ottawa, Toronto, et Montréal.
Elle fait apparaitre des liens entre l'art autochtone et celui des peintres modernes du Canada, menés par le groupe des Sept, pour établir un patrimoine national.
Après 1932, elle s'ouvre à la stylisation de l'art autochtone et au pinceau fluide de l'art chinois. Elle reste fidèle, néanmoins, à la vision de Lawren Harris, chef du groupe des Sept : la peinture de paysage est destinée à donner un sens d'identité nationale aux Canadiens, et que ce sens comprend une certaine spiritualité.
Elle décède le 2 mars 1945 à Victoria, Colombie-Britannique
(English version follows)
ALFRED JOSEPH CASSON, (Groupe des sept, en remplacement de Franz Johnston)
Le peintre canadien Alfred Joseph Casson naît à Toronto en 1898. À 15 ans, apprenti-lithographe à Hamilton, il étudie l'art à la « Central Technical School de Toronto ». À 17 ans, Casson tient sa 1ère expo à la « Canadian National Exposition ». Carmichael, du Groupe des Sept, l’incite à peindre. Ensemble, ils fondent la Société canadienne des aquarellistes. Connu pour ses représentations de forêts, de paysages et de fermes du sud de l'Ontario, son style comporte des couleurs claires et des motifs d'arrière-plan. Lorsque Franz Johnston quitte le Groupe des Sept en 1924, c’est Casson qui le remplace en 1926. En 1929, Il épouse Margaret. Alfred Joseph Casson meurt en 1992 et est enterré dans l'enceinte de la Collection McMichael d'art canadien, avec six autres membres du Groupe des Sept.
The Canadian painter Alfred Joseph Casson was born in Toronto in 1898. At age 15, apprentice-lithographer in Hamilton, he studied art at Central Technical School in Toronto. At age 17, Casson has his first exhibition at the Canadian National Exposition. Carmichael, from the Group of Seven, encourages him to paint. Together, they founded the Canadian Society of Watercolourists. Known for his portrayals of Southern Ontario's forests, landscapes and farms, his style features bright colors and background patterns. When Johnston left the Group of Seven in 1926, Casson replaced him. In 1929, he married Margaret. Alfred Joseph Casson died in 1992 and is buried in the grounds oh the McMichael Canadian Art Gallery, along with six other members of the Group of Seven.
ALFRED JOSEPH CASSON, (Groupe des sept, en remplacement de Franz Johnston)
Le peintre canadien Alfred Joseph Casson naît à Toronto en 1898. À 15 ans, apprenti-lithographe à Hamilton, il étudie l'art à la « Central Technical School de Toronto ». À 17 ans, Casson tient sa 1ère expo à la « Canadian National Exposition ». Carmichael, du Groupe des Sept, l’incite à peindre. Ensemble, ils fondent la Société canadienne des aquarellistes. Connu pour ses représentations de forêts, de paysages et de fermes du sud de l'Ontario, son style comporte des couleurs claires et des motifs d'arrière-plan. Lorsque Franz Johnston quitte le Groupe des Sept en 1924, c’est Casson qui le remplace en 1926. En 1929, Il épouse Margaret. Alfred Joseph Casson meurt en 1992 et est enterré dans l'enceinte de la Collection McMichael d'art canadien, avec six autres membres du Groupe des Sept.
The Canadian painter Alfred Joseph Casson was born in Toronto in 1898. At age 15, apprentice-lithographer in Hamilton, he studied art at Central Technical School in Toronto. At age 17, Casson has his first exhibition at the Canadian National Exposition. Carmichael, from the Group of Seven, encourages him to paint. Together, they founded the Canadian Society of Watercolourists. Known for his portrayals of Southern Ontario's forests, landscapes and farms, his style features bright colors and background patterns. When Johnston left the Group of Seven in 1926, Casson replaced him. In 1929, he married Margaret. Alfred Joseph Casson died in 1992 and is buried in the grounds oh the McMichael Canadian Art Gallery, along with six other members of the Group of Seven.
(English version follows)
Le peintre acadien Herménégilde Chiasson est né à Saint-Simon au Nouveau-Brunswick, en 1946. Il est titulaire d’un bac ès arts, d’une maîtrise en esthétique, d’une maîtrise en beaux-arts et d’un doctorat de la Sorbonne (1983). Resté en Acadie, il s’implique dans divers domaines culturels. Ses créations artistiques sont considérables. Il a participé à plus de 100 expositions et à la réalisation de 14 films. Il est l'auteur de plusieurs livres qui regroupe ses textes publiés ou inédits. Il a aussi à son actif une vingtaine de pièces de théâtre et publié une dizaine de textes dans des revues de toutes diètes. Il a reçu le Prix France-Acadie, le grade de Chevalier de l’Ordre français des Arts et des Lettres, l’Ordre des francophones d’Amérique, le Grand Prix de la francophonie canadienne, un doctorat honorifique en littérature de l’Université de Moncton et le Prix quinquennal Antonine-Maillet-Acadie Vie.
-----
Acadia painter Herménégilde Chiasson was born in Saint-Simon, New Brunswick, in 1946. He holds a bachelor's degree in arts, a master's degree in aesthetics, a master's degree in fine arts and a doctorate from the Sorbonne (1983). While in Acadia, he became involved in various cultural fields. His artistic creations are considerable. He has participated in more than 100 exhibitions and in the making of 14 films. He is the author of several books which brings together his published or unpublished texts. He has also to his credit twenty plays and published ten texts in magazines of all diets. He received the Prix France-Acadie, the rank of Chevalier de l'Ordre français des Arts et des Lettres, the Ordre des francophones d'Amérique, the Grand Prix de la francophonie canadienne, an honorary doctorate in literature from the University. de Moncton and the five-year Antonine-Maillet-Acadie Vie Prize.
Le peintre acadien Herménégilde Chiasson est né à Saint-Simon au Nouveau-Brunswick, en 1946. Il est titulaire d’un bac ès arts, d’une maîtrise en esthétique, d’une maîtrise en beaux-arts et d’un doctorat de la Sorbonne (1983). Resté en Acadie, il s’implique dans divers domaines culturels. Ses créations artistiques sont considérables. Il a participé à plus de 100 expositions et à la réalisation de 14 films. Il est l'auteur de plusieurs livres qui regroupe ses textes publiés ou inédits. Il a aussi à son actif une vingtaine de pièces de théâtre et publié une dizaine de textes dans des revues de toutes diètes. Il a reçu le Prix France-Acadie, le grade de Chevalier de l’Ordre français des Arts et des Lettres, l’Ordre des francophones d’Amérique, le Grand Prix de la francophonie canadienne, un doctorat honorifique en littérature de l’Université de Moncton et le Prix quinquennal Antonine-Maillet-Acadie Vie.
-----
Acadia painter Herménégilde Chiasson was born in Saint-Simon, New Brunswick, in 1946. He holds a bachelor's degree in arts, a master's degree in aesthetics, a master's degree in fine arts and a doctorate from the Sorbonne (1983). While in Acadia, he became involved in various cultural fields. His artistic creations are considerable. He has participated in more than 100 exhibitions and in the making of 14 films. He is the author of several books which brings together his published or unpublished texts. He has also to his credit twenty plays and published ten texts in magazines of all diets. He received the Prix France-Acadie, the rank of Chevalier de l'Ordre français des Arts et des Lettres, the Ordre des francophones d'Amérique, the Grand Prix de la francophonie canadienne, an honorary doctorate in literature from the University. de Moncton and the five-year Antonine-Maillet-Acadie Vie Prize.
Alex Colville était un des grands peintres canadiens de la Nouvelle Ecosse. J’ai eu le plaisir de le connaître au conseil d’administration de Canada125 que j’ai eu l’honneur de co-présider. A la fin de cette année de grandes manifestations, Colville accepta qu’une reproduction de grande qualité et de même grandeur (60.9 x 91.4 cm) de son fameux tableau « To Prince Edward Island 1965 », de la collection du Musée des Beaux-Arts du Canada, soit remis à chacun des membres du conseil en reconnaissance des services rendus pour l’organisation de ce grand événement. J’ai vu l’original au Musée à l’expo Canada 150, il y a deux ans, et j’ai constaté la grande qualité de la reproduction que je possède précieusement. C’est à s’y méprendre.
(English version follows)
Le peintre canadien Toller Cranston nait à Hamilton, en Ontario. Après ses études secondaires à Montréal, il fréquente l'École des BA à Toronto et il s'entraîne avec la légendaire Ellen Burka de patinage artistique. Il tient sa 1ère expo solo à 20 ans. Après des années de patinage – JO, monde, Ice Capades… il quitte pour San Miguel de Allende au Mexique. En plus de ses milliers de peintures à l'huile et des dessins.. Toller expérimente avec des matériaux tels; œufs d'autruche, statues en bois, meubles. Il a garanti son héritage au Canada et dans le monde. Artiste prolifique, Toller a présenté plus de 250 expositions d'art solo. Il devient Membre de l'Ordre du Canada, des Temples de la renommée olympique du Canada, de l'Ontario, des sports canadiens et du World Figure, Il meurt le 23 janvier 2015.
-----
Canadian painter Toller Cranston was born in Hamilton, Ontario. After graduating from high school in Montreal, he attended BA School in Toronto where he trained with the legendary skating Ellen Burka. He held his first solo exhibition at the age of 20. After years of skating - Olympic Games, World, Ice Capades… he left for San Miguel de Allende in Mexico. In addition to his thousands of oil paintings and drawings .. Toller experimented with materials such; ostrich eggs, wooden statues, furniture. He guaranteed his legacy in Canada and around the world. Prolific artist, Toller held over 250 solo art exhibitions. He became Member of the Order of Canada, Olympic Halls of Fame for Canada, Ontario, Canadian Sports and the World Figure Temple. He died on January 23, 2015.
Le peintre canadien Toller Cranston nait à Hamilton, en Ontario. Après ses études secondaires à Montréal, il fréquente l'École des BA à Toronto et il s'entraîne avec la légendaire Ellen Burka de patinage artistique. Il tient sa 1ère expo solo à 20 ans. Après des années de patinage – JO, monde, Ice Capades… il quitte pour San Miguel de Allende au Mexique. En plus de ses milliers de peintures à l'huile et des dessins.. Toller expérimente avec des matériaux tels; œufs d'autruche, statues en bois, meubles. Il a garanti son héritage au Canada et dans le monde. Artiste prolifique, Toller a présenté plus de 250 expositions d'art solo. Il devient Membre de l'Ordre du Canada, des Temples de la renommée olympique du Canada, de l'Ontario, des sports canadiens et du World Figure, Il meurt le 23 janvier 2015.
-----
Canadian painter Toller Cranston was born in Hamilton, Ontario. After graduating from high school in Montreal, he attended BA School in Toronto where he trained with the legendary skating Ellen Burka. He held his first solo exhibition at the age of 20. After years of skating - Olympic Games, World, Ice Capades… he left for San Miguel de Allende in Mexico. In addition to his thousands of oil paintings and drawings .. Toller experimented with materials such; ostrich eggs, wooden statues, furniture. He guaranteed his legacy in Canada and around the world. Prolific artist, Toller held over 250 solo art exhibitions. He became Member of the Order of Canada, Olympic Halls of Fame for Canada, Ontario, Canadian Sports and the World Figure Temple. He died on January 23, 2015.
(English version follows)
JAMES BISSET CROCKART, (Groupe de Beaver Hall)
Le peintre canadien James Bisset Crockart naît le 19 juillet 1885 à Stirling, en Écosse. Il étudie à la Glasgow School of Art. Apprenti chez un architecte de 1902 à 1909, il devient assistant de l'un des principaux architectes du secteur des arts et de l'artisanat en Angleterre. Il émigre au Canada en 1911 et vit à Montréal où il travaille pendant 8 mois chez Saxe & Archibald. Puis, à Saskatoon, il forme un partenariat avec Robert M. Thompson. En 1914, il sert outre-mer pendant la 1ère guerre mondiale. Après 1920, il travaille à Montréal comme artiste commercial et designer industriel jusqu'en 1940. Il devient membre du groupe Beaver Hall en 1921. Il meurt à Huntington, au Québec, le 19 avril 1974.
--------------------
The Canadian painter James Bisset Crockart was born on July 19, 1885 in Stirling, Scotland, and studied at the Glasgow School of Art. Apprentice to an architect from 1902 to 1909, he became assistant to one of the leading architects of the arts and crafts sector in England. He emigrated to Canada in 1911 and lived in Montreal where he worked for 8 months at Saxe & Archibald. Then, in Saskatoon, he formed a partnership with Robert M. Thompson. In 1914, he served overseas during the 1st World War. After 1920, he worked in Montreal as a commercial artist and industrial designer until 1940. He became a member of the Beaver Hall Group in 1921. He died in Huntington, Quebec on April 19, 1974.
JAMES BISSET CROCKART, (Groupe de Beaver Hall)
Le peintre canadien James Bisset Crockart naît le 19 juillet 1885 à Stirling, en Écosse. Il étudie à la Glasgow School of Art. Apprenti chez un architecte de 1902 à 1909, il devient assistant de l'un des principaux architectes du secteur des arts et de l'artisanat en Angleterre. Il émigre au Canada en 1911 et vit à Montréal où il travaille pendant 8 mois chez Saxe & Archibald. Puis, à Saskatoon, il forme un partenariat avec Robert M. Thompson. En 1914, il sert outre-mer pendant la 1ère guerre mondiale. Après 1920, il travaille à Montréal comme artiste commercial et designer industriel jusqu'en 1940. Il devient membre du groupe Beaver Hall en 1921. Il meurt à Huntington, au Québec, le 19 avril 1974.
--------------------
The Canadian painter James Bisset Crockart was born on July 19, 1885 in Stirling, Scotland, and studied at the Glasgow School of Art. Apprentice to an architect from 1902 to 1909, he became assistant to one of the leading architects of the arts and crafts sector in England. He emigrated to Canada in 1911 and lived in Montreal where he worked for 8 months at Saxe & Archibald. Then, in Saskatoon, he formed a partnership with Robert M. Thompson. In 1914, he served overseas during the 1st World War. After 1920, he worked in Montreal as a commercial artist and industrial designer until 1940. He became a member of the Beaver Hall Group in 1921. He died in Huntington, Quebec on April 19, 1974.
Le peintre canadien Georges Marie-Joseph Delfosse naît à Saint-Henri de Mascouche au Québec, dans un foyer de musiciens, en 1869.
Dès son jeune âge, Georges Delfosse apprend la musique comme ses frères et sœurs mais il troque rapidement le piano pour la palette et le pinceau. En 1881, les Delfosse quittent Mascouche pour s'établir à Montréal. Georges y fréquente d'abord l'école Saint-Jacques, puis le collège Saint-Laurent. Dès lors, il couvre les marges de ses cahiers d'images qui émerveillent ses camarades.
A l'âge de treize ans, il exécute son propre portrait. Devant son talent qui est évident, son oncle, le docteur Edmond Mount, le confie à l'abbé Chabert, fondateur de l'Institut national des Beaux-Arts de Montréal, qui l'initie à la peinture.
En 1885, Georges Delfosse expose pour la première fois et quelques années plus tard, en 1888, la Galerie des arts située au square Philips accepte d'exposer ses œuvres. Tout en poursuivant ses études avec ses professeurs aussi prestigieux que les peintres Dyonnet et, plus tard à Paris, Bonnat et Harlamoff, Delfosse se passionne pour un projet d'urbanisme. Il trace les plans d'un boulevard qui devait relier la rue Saint-Denis au boulevard Saint-Laurent. À cette époque, il s'essaye aussi à l'illustration.
En 1890, Georges Delfosse entame son impressionnante carrière de peintre religieux. Il est infatigable. Maintes églises du Québec, du Canada, et même des Etats-Unis, en témoignent encore par les chef-d'œuvres qu'il leur a laissés. Certains ouvrages sont particulièrement réussis: qu'on pense à la série des sept tableaux réalisés en partie lors
de son long séjour à Paris, en 1908, qui décorent les bas-côtés de la cathédrale de Montréal. Lors d'un second séjour à Paris, écourté celui-là par la guerre de 1914, il fréquente les musées, les salons et les
artistes, et visite de vieilles villes et de vieilles églises afin d'enrichir sa palette et de développer un goût de la couleur.
A l'exposition provinciale de 1893, qui se tient sur l'avenue du Mont-Royal, trois peintures de
Delfosse sont primées: une Eglise Bonsecours, un Fort Chambly et un portrait du Docteur Mount. Ce dernier tableau fait naître chez lui l'engouement pour les portraits? Des notables de la province lui en commandent. Il dessine en 1897, le portrait de Sir Wilfrid Laurier, premier ministre du Canada qui est vu par des milliers de visiteurs, tant la
ressemblance est saisissante. Il fonde en 1900 la Société canadienne de portraits et de tableaux à l'huile et continue de peindre jusqu'en 1937, deux ans avant sa mort. Il réalise près de 3 000 tableaux, dont un grand nombre sur commande.
Même si ces portraits et ces peintures religieuses lui valent la faveur de ses compatriotes, ce sont ses nombreux tableaux historiques sur des sites ou des maisons et bâtiments du Montréal d'autrefois qui forment la troisième partie de son oeuvre.
Ce patrimoine souvent disparu est là sous nos yeux, comme si le peintre s'était précipité avec son chevalet et ses pinceaux un peu avant la démolition ou l'incendie des bâtiments, afin d'immobiliser sur sa toile les vieilles pierres. Il parcourt la province de Québec, séjourne dans les Laurentides, l'île d'Orléans, la région de Montréal. Georges Delfosse était "notre peintre de la lumière".
Il meurt le 22 décembre 1939 à l'aube de la 2e guerre mondiale.
Dès son jeune âge, Georges Delfosse apprend la musique comme ses frères et sœurs mais il troque rapidement le piano pour la palette et le pinceau. En 1881, les Delfosse quittent Mascouche pour s'établir à Montréal. Georges y fréquente d'abord l'école Saint-Jacques, puis le collège Saint-Laurent. Dès lors, il couvre les marges de ses cahiers d'images qui émerveillent ses camarades.
A l'âge de treize ans, il exécute son propre portrait. Devant son talent qui est évident, son oncle, le docteur Edmond Mount, le confie à l'abbé Chabert, fondateur de l'Institut national des Beaux-Arts de Montréal, qui l'initie à la peinture.
En 1885, Georges Delfosse expose pour la première fois et quelques années plus tard, en 1888, la Galerie des arts située au square Philips accepte d'exposer ses œuvres. Tout en poursuivant ses études avec ses professeurs aussi prestigieux que les peintres Dyonnet et, plus tard à Paris, Bonnat et Harlamoff, Delfosse se passionne pour un projet d'urbanisme. Il trace les plans d'un boulevard qui devait relier la rue Saint-Denis au boulevard Saint-Laurent. À cette époque, il s'essaye aussi à l'illustration.
En 1890, Georges Delfosse entame son impressionnante carrière de peintre religieux. Il est infatigable. Maintes églises du Québec, du Canada, et même des Etats-Unis, en témoignent encore par les chef-d'œuvres qu'il leur a laissés. Certains ouvrages sont particulièrement réussis: qu'on pense à la série des sept tableaux réalisés en partie lors
de son long séjour à Paris, en 1908, qui décorent les bas-côtés de la cathédrale de Montréal. Lors d'un second séjour à Paris, écourté celui-là par la guerre de 1914, il fréquente les musées, les salons et les
artistes, et visite de vieilles villes et de vieilles églises afin d'enrichir sa palette et de développer un goût de la couleur.
A l'exposition provinciale de 1893, qui se tient sur l'avenue du Mont-Royal, trois peintures de
Delfosse sont primées: une Eglise Bonsecours, un Fort Chambly et un portrait du Docteur Mount. Ce dernier tableau fait naître chez lui l'engouement pour les portraits? Des notables de la province lui en commandent. Il dessine en 1897, le portrait de Sir Wilfrid Laurier, premier ministre du Canada qui est vu par des milliers de visiteurs, tant la
ressemblance est saisissante. Il fonde en 1900 la Société canadienne de portraits et de tableaux à l'huile et continue de peindre jusqu'en 1937, deux ans avant sa mort. Il réalise près de 3 000 tableaux, dont un grand nombre sur commande.
Même si ces portraits et ces peintures religieuses lui valent la faveur de ses compatriotes, ce sont ses nombreux tableaux historiques sur des sites ou des maisons et bâtiments du Montréal d'autrefois qui forment la troisième partie de son oeuvre.
Ce patrimoine souvent disparu est là sous nos yeux, comme si le peintre s'était précipité avec son chevalet et ses pinceaux un peu avant la démolition ou l'incendie des bâtiments, afin d'immobiliser sur sa toile les vieilles pierres. Il parcourt la province de Québec, séjourne dans les Laurentides, l'île d'Orléans, la région de Montréal. Georges Delfosse était "notre peintre de la lumière".
Il meurt le 22 décembre 1939 à l'aube de la 2e guerre mondiale.
(English version follows)
La peintre canadienne de la Colombie-Britannique Elyse Dodge, est surtout connue pour ses paysages géométriques aux couleurs vives. Son langage visuel distinctif explore le contraste entre l'abstrait et son contraire tant dans la forme que dans la couleur. À Los Angeles, dans son atelier, Elyse allie la liberté de l'impressionnisme à la précision de l'abstraction géométrique en présentant des souvenirs de lieu dans un état surréaliste et onirique qui entraînent le spectateur dans un monde alternatif et simplifié. Sa mère artiste et son père bâtisseur lui ont appris à voir le monde comme une forme et une couleur. Elyse applique maintenant cette perspective à son travail, créant des paysages contemporains frais et inattendus.
-----
The British Columbia Canadian painter Elyse Dodge is best known for her brightly colored geometric landscapes. Her distinctive visual language explores the contrast between the abstract and its opposite both in form and in color. In Los Angeles, in her studio, Elyse combines the freedom of impressionism with the precision of geometric abstraction by presenting memories of a place in a surreal and dreamlike state that draws the viewer into an alternative and simplified world. Her artist mother and builder father taught her to see the world as a form and a color. Elyse now applies this perspective to her work, rendering fresh and unexpected contemporary landscapes.
La peintre canadienne de la Colombie-Britannique Elyse Dodge, est surtout connue pour ses paysages géométriques aux couleurs vives. Son langage visuel distinctif explore le contraste entre l'abstrait et son contraire tant dans la forme que dans la couleur. À Los Angeles, dans son atelier, Elyse allie la liberté de l'impressionnisme à la précision de l'abstraction géométrique en présentant des souvenirs de lieu dans un état surréaliste et onirique qui entraînent le spectateur dans un monde alternatif et simplifié. Sa mère artiste et son père bâtisseur lui ont appris à voir le monde comme une forme et une couleur. Elyse applique maintenant cette perspective à son travail, créant des paysages contemporains frais et inattendus.
-----
The British Columbia Canadian painter Elyse Dodge is best known for her brightly colored geometric landscapes. Her distinctive visual language explores the contrast between the abstract and its opposite both in form and in color. In Los Angeles, in her studio, Elyse combines the freedom of impressionism with the precision of geometric abstraction by presenting memories of a place in a surreal and dreamlike state that draws the viewer into an alternative and simplified world. Her artist mother and builder father taught her to see the world as a form and a color. Elyse now applies this perspective to her work, rendering fresh and unexpected contemporary landscapes.
Les peuples autochtones du Canada sont les Premières Nations, les Inuits et les Métis.
Plusieurs centaines de nations autochtones sont présentes au Canada depuis plusieurs milliers d'années, faisant vivre autant de sociétés, cultures, langues, spiritualités. La culture métis est issue des rencontres au XVIIe siècle entre les Premières Nations et les Inuits avec des colons européens.
Différents traités et lois fixent les statuts des Autochtones et leurs relations avec les gouvernements du Canada. Le droit à l'autonomie gouvernementale permet à des groupes autochtones de disposer de leurs propres gouvernements afin d'exercer certaines compétences et protéger leurs cultures et modes de vie.
Selon le recensement de 2011, il y aurait plus d'un million de Canadiens autochtones, soit 4 % de la population. Parmi eux, 64 % font partie des Premières Nations, 30 % sont métis et 4 % inuits.
Plusieurs centaines de nations autochtones sont présentes au Canada depuis plusieurs milliers d'années, faisant vivre autant de sociétés, cultures, langues, spiritualités. La culture métis est issue des rencontres au XVIIe siècle entre les Premières Nations et les Inuits avec des colons européens.
Différents traités et lois fixent les statuts des Autochtones et leurs relations avec les gouvernements du Canada. Le droit à l'autonomie gouvernementale permet à des groupes autochtones de disposer de leurs propres gouvernements afin d'exercer certaines compétences et protéger leurs cultures et modes de vie.
Selon le recensement de 2011, il y aurait plus d'un million de Canadiens autochtones, soit 4 % de la population. Parmi eux, 64 % font partie des Premières Nations, 30 % sont métis et 4 % inuits.
La peintre Jennifer F. Walden est une artiste visuelle qui vit et travaille à Yellowknife, dans le Territoire du Nord-Ouest canadien. Son style distinctif explore la vie canadienne et nordique à travers les gens, la faune et la topographie. Son travail est profondément influencé par l'environnement naturel et humain, en particulier la géographie et la culture de son environnement immédiat.
Ses peintures expressionnistes contemporaines capturent l'esprit du lieu, et utilisent souvent de la ficelle et de la corde mélangées à divers médias acryliques pour créer le relief sculptural profond qui est sa signature.
Le travail de Walden a été largement acclamé dans le nord et l'ouest du Canada et a été acheté par des collectionneurs du monde entier. En 2008, elle a reçu le prix du meilleur artiste émergeant dans un média en deux dimensions du Great Northern Arts Festival.
Walden est membre fondateur du Borderless Arts Movement (B.A.M.), une collaboration de performance d'artistes visuels, de musiciens et de conteurs traditionnels à Yellowknife.
Ses peintures expressionnistes contemporaines capturent l'esprit du lieu, et utilisent souvent de la ficelle et de la corde mélangées à divers médias acryliques pour créer le relief sculptural profond qui est sa signature.
Le travail de Walden a été largement acclamé dans le nord et l'ouest du Canada et a été acheté par des collectionneurs du monde entier. En 2008, elle a reçu le prix du meilleur artiste émergeant dans un média en deux dimensions du Great Northern Arts Festival.
Walden est membre fondateur du Borderless Arts Movement (B.A.M.), une collaboration de performance d'artistes visuels, de musiciens et de conteurs traditionnels à Yellowknife.
(English version follows)
FREDERICK GRANT BANTING
Le peintre canadien Frederick Grant Banting nait en 1891 à Alliston, en Ontario. Co-découvreur de l'insuline, Banting remporte le prix Nobel de médecine en 1923. Sa carrière artistique est remarquable. Il peint déjà en 1920 et expose ses premières esquisses en 1925. Blessé en Angleterre, il rentre au Canada et cherche le peintre A.Y. Jackson. Forts de leurs expériences en matière de guerre et de leur enthousiasme pour l'art et les paysages, ils peignent partout au Canada. Banting trouve un répit de sa vie de médecin dans la peinture. Voulant prendre sa retraite de la recherche médicale et peindre à plein temps, Banting a 49 ans quand il est tragiquement tué dans un accident d’avion.
----------------
The Canadian painter Frederick Grant Banting was born in 1891 in Alliston, Ontario. Co-discoverer of insulin, Banting won the Nobel Prize in Medicine in 1923. His artistic career is remarkable. He painted in 1920 and exhibited his first sketches in 1925. Wounded in England, he returns to Canada and finds painter A.Y. Jackson. With their common wartime experiences and enthusiasm for art and landscape, they form a strong friendship and paint throughout Canada. Banting finds a respite from his life as a doctor in painting. Wanting to retire from medical research and paint full-time, Banting is 49 when he is tragically killed in a plane crash.
FREDERICK GRANT BANTING
Le peintre canadien Frederick Grant Banting nait en 1891 à Alliston, en Ontario. Co-découvreur de l'insuline, Banting remporte le prix Nobel de médecine en 1923. Sa carrière artistique est remarquable. Il peint déjà en 1920 et expose ses premières esquisses en 1925. Blessé en Angleterre, il rentre au Canada et cherche le peintre A.Y. Jackson. Forts de leurs expériences en matière de guerre et de leur enthousiasme pour l'art et les paysages, ils peignent partout au Canada. Banting trouve un répit de sa vie de médecin dans la peinture. Voulant prendre sa retraite de la recherche médicale et peindre à plein temps, Banting a 49 ans quand il est tragiquement tué dans un accident d’avion.
----------------
The Canadian painter Frederick Grant Banting was born in 1891 in Alliston, Ontario. Co-discoverer of insulin, Banting won the Nobel Prize in Medicine in 1923. His artistic career is remarkable. He painted in 1920 and exhibited his first sketches in 1925. Wounded in England, he returns to Canada and finds painter A.Y. Jackson. With their common wartime experiences and enthusiasm for art and landscape, they form a strong friendship and paint throughout Canada. Banting finds a respite from his life as a doctor in painting. Wanting to retire from medical research and paint full-time, Banting is 49 when he is tragically killed in a plane crash.
Le peintre canadien Albert Henry Robinson naît à Hamilton en Ontario en 1881. Il est le cadet de cinq garçons et une fille.
Lorsqu'il quitte l’école secondaire, le Times perd son illustrateur en chef et il invite Albert à postuler l’emploi. Muni d’un lot de dessins, Robinson obtient le poste – payé 5 $ par semaine. Robinson a pour tâche d’illustrer des scènes d’accident, de meurtres et tout autre grand événement du jour.
Deux années après, Robinson s'inscrit à l’atelier de modèle vivant de John S. Gordon à la Hamilton Art School, alors que salaire est à 9 $/ semaine. Il économise suffisamment d’argent pour aller étudier le dessin à Paris en 1903.
La première année, Robinson étudie à l’académie Julian, puis Il entre à l’École des beaux-arts, sous la direction de Gabriel Ferrier. Robinson prend des cours de dessin, mais est éventuellement initié à la peinture à l’huile tout en perfectionnant ses talents d’aquarelliste. Son frère médecin, E.H. lui présente un peintre anglais, Thomas William Marshall et il passe deux étés avec sa famille et peint.
De retour à Hamilton, John S. Gordon, lui donne du travail dans son studio. Puis , Gordon dirige la Hamilton Art School et Robinson le suit pour donner des cours.
Robinson expose pour la première fois en 1906. Il s’agit d’une exposition conjointe avec MM. Neyland et Gordon et vend sa toute première toile. Le tableau représente une scène d’hiver avec une église.
Le talent de pianiste de Robinson est le point tournant de sa carrière et de sa vie entière. Les Truesdale reçoivent chez eux M. et Mme William L. Davis. Ils demandent à Albert de se joindre à eux pour divertir leurs invités. M. Davis s’y connait en art. Il suggère à Albert de retourner avec lui à Montréal. Il lui trouve un studio, garantit son loyer et le présente aux grands noms de la peinture canadienne ainsi qu’aux amateurs d’art susceptibles d’apprécier son travail.
À Montréal, il vit chez les Davis comme un membre de la famille. Ces derniers lui trouve à la Place Phillips un studio qu’il partage avec Robert Findlay, architecte. M. Davis lui a présenté William Brymner, Edmond Dyonnet, et Maurice Cullen, qui prennent Robinson sous leur aile protectrice. Il présente trois toiles à l'exposition de l’Académie royale des arts du Canada qui sont acceptées. Peu de temps après, en 1911, Robinson devient associé de l’Académie et membre fondateur du Canadian Group of Painters (1933) issu du Groupe des sept.
En 1912, le Musée des beaux-arts du Canada achète son premier Robinson : « Lumières du soir », une scène d’hiver.
Lorsque la guerre est déclarée en 1914, Robinson ne touche pas à ses pinceaux. Le Musée achète da première toile peinte après la guerre. Le gouvernement du Québec se porte acquéreur de son deuxième tableau « Vieille église, Longue Pointe ». Puis, dans le cadre du programme "Souvenirs de guerre" Robinson contribue avec Cullen, J.W. Morrice, C.W. Simpson, F.H. Varleyet Jackson, à peindre l’histoire de la guerre en immortalisant sur la toile la construction navale en temps de guerre aux chantiers de la Vickers.
Le voyage à Cacouna est la première d’une série d’excursions des plus productives que Robinson fait avec Jackson, Gagnon, Randolph S. Hewton et Edwin Holgate à des endroits pittoresques comme La Malbaie, Saint-Tite-des-Caps, Baie-Saint-Paul, Les Éboulements et Québec. Il y réalise sa plus célèbre toile « La messe de Pâques : sur le chemin du retour », qui appartient maintenant à l’Art Gallery of Toronto. Pour Arthur Lismer cette toile démontre qu'Albert Robinson est un coloriste de tout premier ordre.
Robinson compte parmi les trois seuls Canadiens dont des toiles sont exposées au Luxembourg, à Paris. Son tableau « Le dégel », est acheté en 1932 par le gouvernement français
Puis, le malheur de la maladie frappe et Robinson est incapable de manier ses pinceaux. Il meurt en 1956.
Lorsqu'il quitte l’école secondaire, le Times perd son illustrateur en chef et il invite Albert à postuler l’emploi. Muni d’un lot de dessins, Robinson obtient le poste – payé 5 $ par semaine. Robinson a pour tâche d’illustrer des scènes d’accident, de meurtres et tout autre grand événement du jour.
Deux années après, Robinson s'inscrit à l’atelier de modèle vivant de John S. Gordon à la Hamilton Art School, alors que salaire est à 9 $/ semaine. Il économise suffisamment d’argent pour aller étudier le dessin à Paris en 1903.
La première année, Robinson étudie à l’académie Julian, puis Il entre à l’École des beaux-arts, sous la direction de Gabriel Ferrier. Robinson prend des cours de dessin, mais est éventuellement initié à la peinture à l’huile tout en perfectionnant ses talents d’aquarelliste. Son frère médecin, E.H. lui présente un peintre anglais, Thomas William Marshall et il passe deux étés avec sa famille et peint.
De retour à Hamilton, John S. Gordon, lui donne du travail dans son studio. Puis , Gordon dirige la Hamilton Art School et Robinson le suit pour donner des cours.
Robinson expose pour la première fois en 1906. Il s’agit d’une exposition conjointe avec MM. Neyland et Gordon et vend sa toute première toile. Le tableau représente une scène d’hiver avec une église.
Le talent de pianiste de Robinson est le point tournant de sa carrière et de sa vie entière. Les Truesdale reçoivent chez eux M. et Mme William L. Davis. Ils demandent à Albert de se joindre à eux pour divertir leurs invités. M. Davis s’y connait en art. Il suggère à Albert de retourner avec lui à Montréal. Il lui trouve un studio, garantit son loyer et le présente aux grands noms de la peinture canadienne ainsi qu’aux amateurs d’art susceptibles d’apprécier son travail.
À Montréal, il vit chez les Davis comme un membre de la famille. Ces derniers lui trouve à la Place Phillips un studio qu’il partage avec Robert Findlay, architecte. M. Davis lui a présenté William Brymner, Edmond Dyonnet, et Maurice Cullen, qui prennent Robinson sous leur aile protectrice. Il présente trois toiles à l'exposition de l’Académie royale des arts du Canada qui sont acceptées. Peu de temps après, en 1911, Robinson devient associé de l’Académie et membre fondateur du Canadian Group of Painters (1933) issu du Groupe des sept.
En 1912, le Musée des beaux-arts du Canada achète son premier Robinson : « Lumières du soir », une scène d’hiver.
Lorsque la guerre est déclarée en 1914, Robinson ne touche pas à ses pinceaux. Le Musée achète da première toile peinte après la guerre. Le gouvernement du Québec se porte acquéreur de son deuxième tableau « Vieille église, Longue Pointe ». Puis, dans le cadre du programme "Souvenirs de guerre" Robinson contribue avec Cullen, J.W. Morrice, C.W. Simpson, F.H. Varleyet Jackson, à peindre l’histoire de la guerre en immortalisant sur la toile la construction navale en temps de guerre aux chantiers de la Vickers.
Le voyage à Cacouna est la première d’une série d’excursions des plus productives que Robinson fait avec Jackson, Gagnon, Randolph S. Hewton et Edwin Holgate à des endroits pittoresques comme La Malbaie, Saint-Tite-des-Caps, Baie-Saint-Paul, Les Éboulements et Québec. Il y réalise sa plus célèbre toile « La messe de Pâques : sur le chemin du retour », qui appartient maintenant à l’Art Gallery of Toronto. Pour Arthur Lismer cette toile démontre qu'Albert Robinson est un coloriste de tout premier ordre.
Robinson compte parmi les trois seuls Canadiens dont des toiles sont exposées au Luxembourg, à Paris. Son tableau « Le dégel », est acheté en 1932 par le gouvernement français
Puis, le malheur de la maladie frappe et Robinson est incapable de manier ses pinceaux. Il meurt en 1956.
ohn Hamilton Bush dit Jack Bush est un peintre canadien, né à Toronto le 20 mars 1909. Il représente l'expressionnisme abstrait et la peinture « Color Field painting » (la couleur est libérée du contexte objectif et devient le sujet lui-même).
Bush passe son enfance à Montréal et travaille comme graphiste de 1926 à 1928. Vers 1929, il reçoit de Charles Comfort des leçons de modèle vivant dans un studio de Toronto. Il étudie le soir au Collège des Beaux-Arts de l'Ontario et est initié à l'art moderne.
Suite à la dissolution du « Groupe des Sept » en 1932, Bush se joint au « Groupe des Peintres canadiens » qui lui succède en 1933. Durant la Seconde Guerre mondiale, il est graphiste dans son entreprise et le sera jusqu'en 1968. En 1949, il organise sa première exposition à Toronto.
Après avoir découvert l'expressionnisme abstrait à New York, il change radicalement sa façon de faire. Il développe son nouveau style à la fin des années 1950, après son adhésion à « Painters Eleven » fondée par William Ronald en 1954 afin de promouvoir la peinture abstraite au Canada. Il commence à rencontrer le succès. Adoptant le procédé du « all-over », il rehausse de couleurs vives, inspirées de ses aquarelles, toute la surface de ses toiles.
« Painters Eleven » est dissout en 1959. En 1964, les œuvres de Bush font partie d’une exposition présentée à Los Angeles. Avec Jacques Hurtubise, il représente le Canada à la Biennale de São Paulo de 1967 et rencontre un succès grandissant à New York. Les musées des beaux-arts du Canada et de Boston, la Tate Gallery de Londres acquièrent ses œuvres.
En 1976, il est fait officier de l'ordre du Canada. En 1979, l'Office national du film du Canada produit un film documentaire Jack Bush.
Il meurt le 24 janvier 1977.
Il était avant tout un maître de la couleur dans la lignée de Matisse qu'il admirait particulièrement et se servait d’elle pour structurer le tableau.
Bush passe son enfance à Montréal et travaille comme graphiste de 1926 à 1928. Vers 1929, il reçoit de Charles Comfort des leçons de modèle vivant dans un studio de Toronto. Il étudie le soir au Collège des Beaux-Arts de l'Ontario et est initié à l'art moderne.
Suite à la dissolution du « Groupe des Sept » en 1932, Bush se joint au « Groupe des Peintres canadiens » qui lui succède en 1933. Durant la Seconde Guerre mondiale, il est graphiste dans son entreprise et le sera jusqu'en 1968. En 1949, il organise sa première exposition à Toronto.
Après avoir découvert l'expressionnisme abstrait à New York, il change radicalement sa façon de faire. Il développe son nouveau style à la fin des années 1950, après son adhésion à « Painters Eleven » fondée par William Ronald en 1954 afin de promouvoir la peinture abstraite au Canada. Il commence à rencontrer le succès. Adoptant le procédé du « all-over », il rehausse de couleurs vives, inspirées de ses aquarelles, toute la surface de ses toiles.
« Painters Eleven » est dissout en 1959. En 1964, les œuvres de Bush font partie d’une exposition présentée à Los Angeles. Avec Jacques Hurtubise, il représente le Canada à la Biennale de São Paulo de 1967 et rencontre un succès grandissant à New York. Les musées des beaux-arts du Canada et de Boston, la Tate Gallery de Londres acquièrent ses œuvres.
En 1976, il est fait officier de l'ordre du Canada. En 1979, l'Office national du film du Canada produit un film documentaire Jack Bush.
Il meurt le 24 janvier 1977.
Il était avant tout un maître de la couleur dans la lignée de Matisse qu'il admirait particulièrement et se servait d’elle pour structurer le tableau.
La peintre canadienne Emily Carr naît le 13 décembre 1871 à Victoria en Colombie Britannique. Elle fait partie des artistes les plus reconnues du Canada. Ses peintures ont pour thèmes principaux les forêts de sa région et l'art totémique des Premières Nations.
Emily Carr part en France en 1910 avec sa sœur Alice afin d'y apprendre la peinture. Elle s'inscrit à l'académie Colarossi à Paris. Durant l'été 1911, elle s'inscrit à ses cours de Phelan Gibb et s'installe à Crécy en Brie, auprès de lui. Elle y réalisera de nombreuses toiles, aujourd'hui dispersées dans des collections particulières et des musées canadiens.
De retour au Canada en 1912, elle conçoit un projet ambitieux : faire une collection de peintures et de mâts totémiques de la côte nord-ouest dont les territoires ont été occupés par des colons en 1886 suite à la construction du chemin de fer. En 1912, elle fait un grand voyage parmi les Kwakwaka'wakw, les Haida et les Tsimshian et réalise deux cents toiles et esquisses pour faire connaitre l'héritage et les traditions des Autochtones. Avant-gardiste, elle n'a que très peu de succès, et gagne sa vie autrement.
Sa carrière reprend en 1927, alors que la Galerie nationale du Canada s'intéressait à l'art traditionnel des Autochtones. Emily Carr participe alors à une exposition présentée à Ottawa, Toronto, et Montréal.
Elle fait apparaitre des liens entre l'art autochtone et celui des peintres modernes du Canada, menés par le groupe des Sept, pour établir un patrimoine national.
Après 1932, elle s'ouvre à la stylisation de l'art autochtone et au pinceau fluide de l'art chinois. Elle reste fidèle, néanmoins, à la vision de Lawren Harris, chef du groupe des Sept : la peinture de paysage est destinée à donner un sens d'identité nationale aux Canadiens, et que ce sens comprend une certaine spiritualité.
Elle décède le 2 mars 1945 à Victoria, Colombie-Britannique.
Emily Carr part en France en 1910 avec sa sœur Alice afin d'y apprendre la peinture. Elle s'inscrit à l'académie Colarossi à Paris. Durant l'été 1911, elle s'inscrit à ses cours de Phelan Gibb et s'installe à Crécy en Brie, auprès de lui. Elle y réalisera de nombreuses toiles, aujourd'hui dispersées dans des collections particulières et des musées canadiens.
De retour au Canada en 1912, elle conçoit un projet ambitieux : faire une collection de peintures et de mâts totémiques de la côte nord-ouest dont les territoires ont été occupés par des colons en 1886 suite à la construction du chemin de fer. En 1912, elle fait un grand voyage parmi les Kwakwaka'wakw, les Haida et les Tsimshian et réalise deux cents toiles et esquisses pour faire connaitre l'héritage et les traditions des Autochtones. Avant-gardiste, elle n'a que très peu de succès, et gagne sa vie autrement.
Sa carrière reprend en 1927, alors que la Galerie nationale du Canada s'intéressait à l'art traditionnel des Autochtones. Emily Carr participe alors à une exposition présentée à Ottawa, Toronto, et Montréal.
Elle fait apparaitre des liens entre l'art autochtone et celui des peintres modernes du Canada, menés par le groupe des Sept, pour établir un patrimoine national.
Après 1932, elle s'ouvre à la stylisation de l'art autochtone et au pinceau fluide de l'art chinois. Elle reste fidèle, néanmoins, à la vision de Lawren Harris, chef du groupe des Sept : la peinture de paysage est destinée à donner un sens d'identité nationale aux Canadiens, et que ce sens comprend une certaine spiritualité.
Elle décède le 2 mars 1945 à Victoria, Colombie-Britannique.
Le peintre canadien Robert Harris nait dans le Pays de Galles en Grande Bretagne. Peintre, aquarelliste, illustrateur et poète, troisième d’une famille de neuf enfants, il vit sur la ferme qu’exploite son père avant d’immigrer avec sa famille à Charlottetown, à l’Île du-Prince-Édouard en 1856 alors qu’il a 7 ans. Comme il est passionné du dessin, Il suit des cours d'art et de peinture à Boston en 1873 où il découvre l’art du portrait à la Slade School of Fine Art de Londres, à Paris avec Léon Bonnat et à Rome, avant de s'installer finalement à Montréal.
Il réalise des illustrations pour des publications de Boston, d’Halifax, de Montréal et de Toronto. En 1880, il croque les prisonniers accusés des meurtres sordides de cinq membres d’une famille d’immigrant irlandais, « les Donnellys ».
En 1883, il est choisi pour réaliser le très célèbre tableau « Les pères de la Confédération », œuvre qui est détruite lors de l’incendie qui dévaste les édifices du Parlement, à Ottawa, en 1916. Cette œuvre fait de lui le plus important portraitiste du Canada. Il est également un membre fondateur de l'Académie royale des arts du Canada dont il est président de 1893 à 1906.
Plusieurs de ses œuvres sont conservées au Centre des arts de la Confédération à Charlottetown, dans l'Île-du-Prince-Édouard. Son tableau, « A Meeting of the School Trustees », un de mes grands préférés, de la pionnière en éducation Kate Henderson a fait l'objet d'un timbre en 1980. Il immortalise la confrontation de la jeune femme avec les hommes
siégeant au conseil scolaire de Long Creek, à l’Ile du-Prince-Édouard, pour les persuader de ses méthodes pédagogiques modernes.
Robert Harris est le frère de l'architecte William Critchlow Harris et cousin de la peintre Kathleen Morris.
Il épouse Elizabeth Putnam en 1885 à Montréal, lieu où il mourra le 27 février 1919.
Il réalise des illustrations pour des publications de Boston, d’Halifax, de Montréal et de Toronto. En 1880, il croque les prisonniers accusés des meurtres sordides de cinq membres d’une famille d’immigrant irlandais, « les Donnellys ».
En 1883, il est choisi pour réaliser le très célèbre tableau « Les pères de la Confédération », œuvre qui est détruite lors de l’incendie qui dévaste les édifices du Parlement, à Ottawa, en 1916. Cette œuvre fait de lui le plus important portraitiste du Canada. Il est également un membre fondateur de l'Académie royale des arts du Canada dont il est président de 1893 à 1906.
Plusieurs de ses œuvres sont conservées au Centre des arts de la Confédération à Charlottetown, dans l'Île-du-Prince-Édouard. Son tableau, « A Meeting of the School Trustees », un de mes grands préférés, de la pionnière en éducation Kate Henderson a fait l'objet d'un timbre en 1980. Il immortalise la confrontation de la jeune femme avec les hommes
siégeant au conseil scolaire de Long Creek, à l’Ile du-Prince-Édouard, pour les persuader de ses méthodes pédagogiques modernes.
Robert Harris est le frère de l'architecte William Critchlow Harris et cousin de la peintre Kathleen Morris.
Il épouse Elizabeth Putnam en 1885 à Montréal, lieu où il mourra le 27 février 1919.
(English version follows)
Le peintre canadien Kenneth Harrison nait dans le sud de la Saskatchewan en 1951. Il est un artiste autodidacte qui grâce à la pratique et la détermination a développé son propre style . La passion de Kenneth pour le dessin et la peinture a été la quête de toute sa vie. Son amour du paysage canadien lui a permis de passer de l'impressionnisme au modernisme. Membre de l’« American Society of Plein Air Painters ». Il a développé un sens aigu de la beauté sauvage du paysage canadien. Son travail est influencé par des artistes canadiens du milieu du siècle. Il met l'accent sur l'importance de la composition, de la valeur et des bords. Son objectif est de caractériser le paysage, de capturer les souvenirs et de perpétuer le style de peinture authentique Canadiana. Les peintures de Harrison capturent une immobilité, un calme et une sérénité avec des formes orchestrées et un mouvement de couleur.
-----
Canadian painter Kenneth Harrison was born in southern Saskatchewan in 1951. He is a self-taught artist who through practice and determination has developed his own style. Kenneth's passion for drawing and painting has been a lifelong pursuit. His love of the Canadian landscape allowed him to move from Impressionism to Modernism. A member of the American Society of Plein Air Painters, he developed a keen sense of the rugged beauty of the Canadian landscape. His work is influenced by mid-century Canadian artists. It emphasizes the importance of composition, value and edges. Its goal is to characterize the landscape, capture memories and perpetuate the authentic Canadiana painting style. Harrison's paintings capture stillness, calm and serenity with orchestrated forms and movement of color.
Le peintre canadien Kenneth Harrison nait dans le sud de la Saskatchewan en 1951. Il est un artiste autodidacte qui grâce à la pratique et la détermination a développé son propre style . La passion de Kenneth pour le dessin et la peinture a été la quête de toute sa vie. Son amour du paysage canadien lui a permis de passer de l'impressionnisme au modernisme. Membre de l’« American Society of Plein Air Painters ». Il a développé un sens aigu de la beauté sauvage du paysage canadien. Son travail est influencé par des artistes canadiens du milieu du siècle. Il met l'accent sur l'importance de la composition, de la valeur et des bords. Son objectif est de caractériser le paysage, de capturer les souvenirs et de perpétuer le style de peinture authentique Canadiana. Les peintures de Harrison capturent une immobilité, un calme et une sérénité avec des formes orchestrées et un mouvement de couleur.
-----
Canadian painter Kenneth Harrison was born in southern Saskatchewan in 1951. He is a self-taught artist who through practice and determination has developed his own style. Kenneth's passion for drawing and painting has been a lifelong pursuit. His love of the Canadian landscape allowed him to move from Impressionism to Modernism. A member of the American Society of Plein Air Painters, he developed a keen sense of the rugged beauty of the Canadian landscape. His work is influenced by mid-century Canadian artists. It emphasizes the importance of composition, value and edges. Its goal is to characterize the landscape, capture memories and perpetuate the authentic Canadiana painting style. Harrison's paintings capture stillness, calm and serenity with orchestrated forms and movement of color.
Le peintre du Yukon, territoire du nord-canadien, Ted Harrison naît à Wingate, County Durham, en Angleterre, en 1926.
Harrison commence à peindre à la West Hartlepool School of Art en Angleterre. Bien qu'interrompu par la guerre, il continue ses études et obtient un diplôme national en design du Collège en 1949, un certificat d'enseignement de l'Université de Durham et un baccalauréat en éducation de l'Université de l'Alberta. Sa carrière d'enseignant dure près de trois décennies.
Puis, à partir de 1968, il réside au Yukon, au Canada, un endroit qu’il marque par plusieurs de ses œuvres. Il y reste jusqu'en 1993. Son travail de cette période reflète les couleurs et la culture du Yukon et son amour pour ce coin du Canada.
Il travaille, à partir des années 1970, dans sa capacité post-académique non seulement en tant qu'artiste mais aussi en tant qu'illustrateur et auteur. Grâce à son travail sur le terrain, il obtient la sélection pour l'Exposition internationale du livre pour enfants à Bologne, en Italie. Une de ses illustrations s’inspire du poème de Robert Service "La crémation de Sam McGee".
En 1987, Harrison est nommé membre de l'Ordre du Canada pour sa contribution à la culture canadienne. Il reçoit également des doctorats honorifiques de l'Université Athabasca (1991), de l'Université de Victoria (1998) et de l'Université de l'Alberta (2005). Il est fait membre de l'Académie royale des arts.
Ted Harrison meurt dans son sommeil à l'âge de 88 ans le 16 janvier 2015.
Harrison commence à peindre à la West Hartlepool School of Art en Angleterre. Bien qu'interrompu par la guerre, il continue ses études et obtient un diplôme national en design du Collège en 1949, un certificat d'enseignement de l'Université de Durham et un baccalauréat en éducation de l'Université de l'Alberta. Sa carrière d'enseignant dure près de trois décennies.
Puis, à partir de 1968, il réside au Yukon, au Canada, un endroit qu’il marque par plusieurs de ses œuvres. Il y reste jusqu'en 1993. Son travail de cette période reflète les couleurs et la culture du Yukon et son amour pour ce coin du Canada.
Il travaille, à partir des années 1970, dans sa capacité post-académique non seulement en tant qu'artiste mais aussi en tant qu'illustrateur et auteur. Grâce à son travail sur le terrain, il obtient la sélection pour l'Exposition internationale du livre pour enfants à Bologne, en Italie. Une de ses illustrations s’inspire du poème de Robert Service "La crémation de Sam McGee".
En 1987, Harrison est nommé membre de l'Ordre du Canada pour sa contribution à la culture canadienne. Il reçoit également des doctorats honorifiques de l'Université Athabasca (1991), de l'Université de Victoria (1998) et de l'Université de l'Alberta (2005). Il est fait membre de l'Académie royale des arts.
Ted Harrison meurt dans son sommeil à l'âge de 88 ans le 16 janvier 2015.
Le peintre canadien Randy Hayashi naît en 1968 à Edmonton, en Alberta, et fréquente le Grant MacEwan College où il complète un programme de deux ans aux beaux-arts. Il poursuit ses études à l'Université de l'Alberta et obtient un baccalauréat en beaux-arts, spécialité design industriel, en 1990. En 2000, il reçoit un baccalauréat en éducation.
Graphiste à Edmonton depuis plus de 15 ans. Il est directeur artistique de l'édition inaugurale du magazine Avenue à Edmonton et son travail de conception est reproduit dans de nombreuses publications.
À l'automne 2007, Hayashi choisit de mettre de côté son travail dans le design et de poursuivre son amour pour la peinture. Randy aime passer du temps avec sa famille et de poursuivre des activités de plein air comme la randonnée, le vélo ou le canotage. Ses expériences dans la vallée de la rivière Edmonton et dans les montagnes Rocheuses inspirent sa créativité. Qu'il s'agisse d'illustrations, de peintures ou de sculptures, il continue à apprendre de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux. Il choisit de travailler en acrylique lui permettant de créer des couches de couleurs et de textures.
Le style de Hayashi est lâche, pictural et s'adapte à chaque sujet unique avec une approche fraîche et créative. «Une partie de l'attrait de créer de l'art est qu'il peut être partagé avec les autres et, de façon mystérieuse, il crée un lien significatif pour le spectateur ».
Hayashi travaille principalement en acrylique et décrit son style comme «représentatif-impressionniste». Même s’il peint beaucoup les montagnes, il aime aussi produire des scènes rues urbaines.
Graphiste à Edmonton depuis plus de 15 ans. Il est directeur artistique de l'édition inaugurale du magazine Avenue à Edmonton et son travail de conception est reproduit dans de nombreuses publications.
À l'automne 2007, Hayashi choisit de mettre de côté son travail dans le design et de poursuivre son amour pour la peinture. Randy aime passer du temps avec sa famille et de poursuivre des activités de plein air comme la randonnée, le vélo ou le canotage. Ses expériences dans la vallée de la rivière Edmonton et dans les montagnes Rocheuses inspirent sa créativité. Qu'il s'agisse d'illustrations, de peintures ou de sculptures, il continue à apprendre de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux. Il choisit de travailler en acrylique lui permettant de créer des couches de couleurs et de textures.
Le style de Hayashi est lâche, pictural et s'adapte à chaque sujet unique avec une approche fraîche et créative. «Une partie de l'attrait de créer de l'art est qu'il peut être partagé avec les autres et, de façon mystérieuse, il crée un lien significatif pour le spectateur ».
Hayashi travaille principalement en acrylique et décrit son style comme «représentatif-impressionniste». Même s’il peint beaucoup les montagnes, il aime aussi produire des scènes rues urbaines.
(English version follows)
JEH nait à Etobicoke, Ontario, le 1er mars 1961. À 12 ans, en tant que scout, il escorte en fauteuil roulant A. Y. Jackson. du groupe des 7, à travers le terrain du C.N.E. Il est profondément touché. Puis, Hergel est diplômé du Conservatoire de Musique. Pour ses études secondaires, il étudie au Musée des beaux-arts de l'Ontario et suit des cours d'artistes canadiens. Son tableau "Sans titre" est exposé au Musée des beaux-arts de l'Ontario. En 1985, il est diplômé de l'U of T avec un bac en sciences et, en 1988, en gemmologie. Il étudie l'art en privé sous la tutelle d'artistes dont Nutt, Britton, Schaefer, Lismer et rencontre, par hasard, A. J. Casson, membre du Groupe des 7, qui lui donne une leçon de dessin. Au milieu des années 1990, il est à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris. Au cours de son séjour de 18 mois, Hergel visite d'autres grands musées, galeries d'art et expositions européennes
-----
JEH was born in Etobicoke, Ontario, on March 1st, 1961. At the age of 12, as a Boy Scout, he escorted a wheelchair-bound A. Y. Jackson, of the group of 7, through the grounds of the C.N.E. He was profoundly impacted. Hergel graduated from the Conservatory of Music. For his secondary education, he studied at the Art Gallery of Ontario and took instruction from Canadian artists. His painting "Untitled" was exhibited at the Art Gallery of Ontario. In 1985, he graduated from the U of T with a Bachelor of Science and in 1988, has a gemmologist. He studied art privately under the tutelage of senior artists including Nutt, Britton, Schaefer, Lismer and met on a chance A. J. Casson, member of the Group of 7, who gave him a sketching lesson. In the mid 1990's Hergel was at the Ecole Nationale Superieure des Beaux Arts in Paris. During his 18-month stay, Hergel visited other major European museums, art galleries and exhibitions.
JEH nait à Etobicoke, Ontario, le 1er mars 1961. À 12 ans, en tant que scout, il escorte en fauteuil roulant A. Y. Jackson. du groupe des 7, à travers le terrain du C.N.E. Il est profondément touché. Puis, Hergel est diplômé du Conservatoire de Musique. Pour ses études secondaires, il étudie au Musée des beaux-arts de l'Ontario et suit des cours d'artistes canadiens. Son tableau "Sans titre" est exposé au Musée des beaux-arts de l'Ontario. En 1985, il est diplômé de l'U of T avec un bac en sciences et, en 1988, en gemmologie. Il étudie l'art en privé sous la tutelle d'artistes dont Nutt, Britton, Schaefer, Lismer et rencontre, par hasard, A. J. Casson, membre du Groupe des 7, qui lui donne une leçon de dessin. Au milieu des années 1990, il est à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris. Au cours de son séjour de 18 mois, Hergel visite d'autres grands musées, galeries d'art et expositions européennes
-----
JEH was born in Etobicoke, Ontario, on March 1st, 1961. At the age of 12, as a Boy Scout, he escorted a wheelchair-bound A. Y. Jackson, of the group of 7, through the grounds of the C.N.E. He was profoundly impacted. Hergel graduated from the Conservatory of Music. For his secondary education, he studied at the Art Gallery of Ontario and took instruction from Canadian artists. His painting "Untitled" was exhibited at the Art Gallery of Ontario. In 1985, he graduated from the U of T with a Bachelor of Science and in 1988, has a gemmologist. He studied art privately under the tutelage of senior artists including Nutt, Britton, Schaefer, Lismer and met on a chance A. J. Casson, member of the Group of 7, who gave him a sketching lesson. In the mid 1990's Hergel was at the Ecole Nationale Superieure des Beaux Arts in Paris. During his 18-month stay, Hergel visited other major European museums, art galleries and exhibitions.
Le peintre canadien Dave Hoddinott naît et grandit à Terre-Neuve sur la côte Est du Canada. En 1995, il quitte sa carrière de 20 ans dans le domaine de la conception architecturale et de l'illustration pour poursuivre son rêve de devenir un artiste-peintre à temps plein.
Travaillant principalement en acrylique, Dave est surtout connu pour ses peintures de paysages dramatiques et lumineuses. Il devient l'un des artistes les plus populaires à Terre-Neuve avec un grand nombre de collectionneurs canadiens.
Dave dit:«J'ai toujours eu un crayon et du papier dans mes mains partout où je suis allé ». La relation entre la terre et l'eau est évidente dans beaucoup de ses peintures. Stylistiquement, ses peintures portent une qualité réaliste définie par l'éclairage dramatique, les ombres et les couleurs. «J'aime particulièrement peindre des paysages de nuit » dit-il.
Depuis 1982, Dave expose ses œuvres dans de nombreuses galeries, seul ou en groupe. Artiste primé, il voit ses peintures et ses reproductions affichées dans de nombreuses collections corporatives et privées à travers le Canada, les États-Unis et l'Europe.
Aujourd'hui, Dave vit et peint à St. John, Terre-Neuve, la plus vieille ville d'Amérique du Nord ...et affirme « même si vous êtes dans une ville de 175 000 habitants, vous n'êtes qu'à quelques minutes de l'océan et de la campagne. L'héritage et la beauté de Terre-Neuve demeurent ma principale source d'inspiration ».
Travaillant principalement en acrylique, Dave est surtout connu pour ses peintures de paysages dramatiques et lumineuses. Il devient l'un des artistes les plus populaires à Terre-Neuve avec un grand nombre de collectionneurs canadiens.
Dave dit:«J'ai toujours eu un crayon et du papier dans mes mains partout où je suis allé ». La relation entre la terre et l'eau est évidente dans beaucoup de ses peintures. Stylistiquement, ses peintures portent une qualité réaliste définie par l'éclairage dramatique, les ombres et les couleurs. «J'aime particulièrement peindre des paysages de nuit » dit-il.
Depuis 1982, Dave expose ses œuvres dans de nombreuses galeries, seul ou en groupe. Artiste primé, il voit ses peintures et ses reproductions affichées dans de nombreuses collections corporatives et privées à travers le Canada, les États-Unis et l'Europe.
Aujourd'hui, Dave vit et peint à St. John, Terre-Neuve, la plus vieille ville d'Amérique du Nord ...et affirme « même si vous êtes dans une ville de 175 000 habitants, vous n'êtes qu'à quelques minutes de l'océan et de la campagne. L'héritage et la beauté de Terre-Neuve demeurent ma principale source d'inspiration ».
Le peintre canadien Frederick Varley, membre du "Groupe des sept" est né en Angleterre, le 2 janvier 1881, et mort à Toronto, le 8 septembre 1969.
Il a étudié à l'académie royale des Beaux-Arts à Antwerp, Belgique et immigra au Canada en 1912 à la suggestion d'un ami Arthur Lismer qui deviendra aussi membre du "Groupe des sept". Il trouva un travail dans un entreprise de design de Toronto.
En janvier 1918 il est dans l'armée et est désigné, par lord Beaverbrook, "artiste de guerre". Il accompagne les troupes à Amiens en France et à Mons en Belgique. Ses tableaux de guerre viennent du front. Il sera marqué toute sa vie par les images du drame atroce et cruel de cette guerre.
Après avoir vécu en Ontario, il est à Vancouver où il dirige une école de décoration et d'arts appliqués. Il parcoure et peint les Rocheuses.
Déprimé, il quitte la CB et retourne à Toronto. Deux ans plus tard, en 1938, il visite l'Arctique. Plus tard, il est touriste en l'Union Soviétique durant la guerre froide.
Il est enterré près d'autres membres du "Groupe des sept" dans le cimetière de Kleinburg en Ontario.
Il a étudié à l'académie royale des Beaux-Arts à Antwerp, Belgique et immigra au Canada en 1912 à la suggestion d'un ami Arthur Lismer qui deviendra aussi membre du "Groupe des sept". Il trouva un travail dans un entreprise de design de Toronto.
En janvier 1918 il est dans l'armée et est désigné, par lord Beaverbrook, "artiste de guerre". Il accompagne les troupes à Amiens en France et à Mons en Belgique. Ses tableaux de guerre viennent du front. Il sera marqué toute sa vie par les images du drame atroce et cruel de cette guerre.
Après avoir vécu en Ontario, il est à Vancouver où il dirige une école de décoration et d'arts appliqués. Il parcoure et peint les Rocheuses.
Déprimé, il quitte la CB et retourne à Toronto. Deux ans plus tard, en 1938, il visite l'Arctique. Plus tard, il est touriste en l'Union Soviétique durant la guerre froide.
Il est enterré près d'autres membres du "Groupe des sept" dans le cimetière de Kleinburg en Ontario.
(English version follows)
ALEX JANVIER
Le peintre amérindien canadien Alex Janvier, Denesuline, de la Première nation de Cold Lake, territoire du Traité 6, est un artiste professionnel depuis plusieurs décennies. Il est réputé pour ses lignes courbes distinctes et son utilisation de combinaisons de couleurs vives. Son style abstrait unique et ses idées artistiques ont ouvert la voie à de nombreuses Premières nations et au Canada. À partir de 1964, plusieurs galeries ont exposé ses peintures aux niveaux national et international. Il a reçu de nombreux prix prestigieux, notamment le Prix du distingué artiste (2017) et l'Ordre du Canada (2007). Ses peintures sont pleines de thèmes et d’histoire importants sur le plan culturel.
The canadian painter Alex Janvier, Denesuline, from the Cold Lake First Nations, Treaty 6 Territory, has been a professional artist for several decades. He is renowned for his distinct curved lines and use of bright color combinations. His unique abstract style and his artistic ideas have blazed the trail for many First Nations and Canada. Starting in 1964, numerous galleries have exhibited Janvier paintings in solo and group shows, both nationally and internationally. He is the recipient of many prestigious awards including the Distinguished Artist Award (2017), the Order of Canada (2007). His paintings are full of culturally significant themes and history.
ALEX JANVIER
Le peintre amérindien canadien Alex Janvier, Denesuline, de la Première nation de Cold Lake, territoire du Traité 6, est un artiste professionnel depuis plusieurs décennies. Il est réputé pour ses lignes courbes distinctes et son utilisation de combinaisons de couleurs vives. Son style abstrait unique et ses idées artistiques ont ouvert la voie à de nombreuses Premières nations et au Canada. À partir de 1964, plusieurs galeries ont exposé ses peintures aux niveaux national et international. Il a reçu de nombreux prix prestigieux, notamment le Prix du distingué artiste (2017) et l'Ordre du Canada (2007). Ses peintures sont pleines de thèmes et d’histoire importants sur le plan culturel.
The canadian painter Alex Janvier, Denesuline, from the Cold Lake First Nations, Treaty 6 Territory, has been a professional artist for several decades. He is renowned for his distinct curved lines and use of bright color combinations. His unique abstract style and his artistic ideas have blazed the trail for many First Nations and Canada. Starting in 1964, numerous galleries have exhibited Janvier paintings in solo and group shows, both nationally and internationally. He is the recipient of many prestigious awards including the Distinguished Artist Award (2017), the Order of Canada (2007). His paintings are full of culturally significant themes and history.
Alfred Joseph Casson naît à Toronto en 1898. Sa famille déménage ensuite à Guelph et à Hamilton. Il quitte l’école à quinze ans pour devenir apprenti lithographe tout en suivant des cours à l’Ontario College of Art. Il tient sa première exposition à Toronto à l’Exposition nationale canadienne
Lorsque Frank Johnston quitte le "Groupe des Sept", Casson se rapproche du groupe, avant d’être, en 1926, officiellement invité par Franklin Carmichael à devenir un des membres. Le groupe cesse cependant ses activités quelques années plus tard.
Casson affectionne peindre les villages et les maisons de campagne, témoignage d’un monde en voie de disparition, qu'il représente avec des couleurs vives et des effets de lumière accentués.
Alfred Joseph Casson, meurt le 20 février 1992.
Lorsque Frank Johnston quitte le "Groupe des Sept", Casson se rapproche du groupe, avant d’être, en 1926, officiellement invité par Franklin Carmichael à devenir un des membres. Le groupe cesse cependant ses activités quelques années plus tard.
Casson affectionne peindre les villages et les maisons de campagne, témoignage d’un monde en voie de disparition, qu'il représente avec des couleurs vives et des effets de lumière accentués.
Alfred Joseph Casson, meurt le 20 février 1992.
Paul Kelley est un artiste canadien né en 1955 en Nouvelle-Écosse. Il a étudié à l'Université Mount Allison de Sackville, au Nouveau-Brunswick, de 1973 à 1975.
Paul vit à LaHave, en Nouvelle-Écosse, avec sa femme et sa famille. Il aime passer du temps avec sa famille et ses amis, courir, faire du kayak et travailler sur leur maison et leur propriété centenaires.
Pour Paul,l’image sensuelle signifie simplement qu'elle fait appel à l'œil et au cœur. Cette compréhension, combinée à l'expertise de Paul dans la composition des éléments de ses peintures dans les paramètres de sa toile, rend l'art de Paul Kelley, unique et puissant.
L'art de Paul est un travail d'amour. Chaque peinture réaliste est le résultat de centaines d'heures de travail impliquant une manipulation minutieuse de la lumière et de la forme, de la couleur et de la composition. Il vise à créer une image passionnée et séduisante.
Qu'il s'agisse d'un art marin ou d'une jeune femme en talons hauts, le résultat similaire est une image équilibrée et à la fois puissante et sereine, mystérieuse mais invitante. Que la pièce soit ou non un art sensuel par sujet, le résultat est une peinture qui est l'art sensuel dans sa forme essentielle.
Paul vit à LaHave, en Nouvelle-Écosse, avec sa femme et sa famille. Il aime passer du temps avec sa famille et ses amis, courir, faire du kayak et travailler sur leur maison et leur propriété centenaires.
Pour Paul,l’image sensuelle signifie simplement qu'elle fait appel à l'œil et au cœur. Cette compréhension, combinée à l'expertise de Paul dans la composition des éléments de ses peintures dans les paramètres de sa toile, rend l'art de Paul Kelley, unique et puissant.
L'art de Paul est un travail d'amour. Chaque peinture réaliste est le résultat de centaines d'heures de travail impliquant une manipulation minutieuse de la lumière et de la forme, de la couleur et de la composition. Il vise à créer une image passionnée et séduisante.
Qu'il s'agisse d'un art marin ou d'une jeune femme en talons hauts, le résultat similaire est une image équilibrée et à la fois puissante et sereine, mystérieuse mais invitante. Que la pièce soit ou non un art sensuel par sujet, le résultat est une peinture qui est l'art sensuel dans sa forme essentielle.
Cornelius Krieghoff est né le 19 juin 1815 à Amsterdam. Il étudie la musique et la peinture avant de se mettre à voyager à 18 ans. Il s'enrôle dans l'armée américaine à New York, en 1837 ! Il déserte quelques années plus tard et traverse la frontière du Bas-Canada, le pays d'origine de sa femme Émilie Gauthier.
Krieghoff vit de petits boulots et de quelques commandes de portraits. Il peint et ses sujets de prédilection sont la nature, les premières nations et les paysans canadiens-français.
Il consacre également une partie de sa production à des personnages amérindiens, fidèle témoignage de leurs habillements. Progressivement, il diminue la taille des personnages pour laisser place à des paysages grandioses, peints avec minutie.
Avec le temps il devient un des plus importants peintres canadiens. Il est mort en 1872.
Krieghoff vit de petits boulots et de quelques commandes de portraits. Il peint et ses sujets de prédilection sont la nature, les premières nations et les paysans canadiens-français.
Il consacre également une partie de sa production à des personnages amérindiens, fidèle témoignage de leurs habillements. Progressivement, il diminue la taille des personnages pour laisser place à des paysages grandioses, peints avec minutie.
Avec le temps il devient un des plus importants peintres canadiens. Il est mort en 1872.
(English version followsl
Le peintre canadien William Kurelek est né près de Whitford en Alberta en 1927, dernier d'une famille immigrée ukrainienne de sept enfants. Plus tard, sa famille déménage au Manitoba. Dans son art, il compose avec la dure réalité de la vie sur une ferme pendant l’ère de la Grande Dépression et sonde les sources de son écrasante souffrance mentale. Dès le milieu des années 1960, il a beaucoup de succès sur le marché de l’art canadien. Il meurt en 1977. Ses tableaux constituent une archive non conventionnelle, perturbante et controversée de l’anxiété globale du vingtième siècle. Kurelek, comme nul autre artiste, combine le nostalgique et l’apocalyptique, son œuvre étant une vision simultanée de l’Éden et des Enfers.
-----
Canadian painter William Kurelek was born near Whitford, Alberta in 1927, the last of a Ukrainian immigrant family of seven children. His family later moved to Manitoba. In his art, he deals with the harsh reality of life on a farm during the era of the Great Depression and probes the sources of his crushing mental suffering. By the mid-1960s he was very successful in the Canadian art market. He died in 1977. His paintings constitute an unconventional, disturbing and controversial archive of the global anxiety of the twentieth century. Kurelek, like no other artist, combines the nostalgic and the apocalyptic, his work being a simultaneous vision of Eden and the Underworld.
Le peintre canadien William Kurelek est né près de Whitford en Alberta en 1927, dernier d'une famille immigrée ukrainienne de sept enfants. Plus tard, sa famille déménage au Manitoba. Dans son art, il compose avec la dure réalité de la vie sur une ferme pendant l’ère de la Grande Dépression et sonde les sources de son écrasante souffrance mentale. Dès le milieu des années 1960, il a beaucoup de succès sur le marché de l’art canadien. Il meurt en 1977. Ses tableaux constituent une archive non conventionnelle, perturbante et controversée de l’anxiété globale du vingtième siècle. Kurelek, comme nul autre artiste, combine le nostalgique et l’apocalyptique, son œuvre étant une vision simultanée de l’Éden et des Enfers.
-----
Canadian painter William Kurelek was born near Whitford, Alberta in 1927, the last of a Ukrainian immigrant family of seven children. His family later moved to Manitoba. In his art, he deals with the harsh reality of life on a farm during the era of the Great Depression and probes the sources of his crushing mental suffering. By the mid-1960s he was very successful in the Canadian art market. He died in 1977. His paintings constitute an unconventional, disturbing and controversial archive of the global anxiety of the twentieth century. Kurelek, like no other artist, combines the nostalgic and the apocalyptic, his work being a simultaneous vision of Eden and the Underworld.
Le peintre canadien, religieux, intimiste, de la cité et enseignant Ozias Leduc, naît le 8 octobre 1864 à Saint-Hilaire de Rouville. Fils de menuisier d'une famille de 10 enfants, il devient un des plus importants peintre de l'histoire du Québec et le maître d'artistes tels Paul-Émile Borduas et Gabrielle Messier.
À l'âge de 7 ans, son professeur remarque ses aptitudes en dessin. En 1883, il est employé par Carli, un fabricant de statues à Montréal. En 1886, il devient apprenti de Luigi Capello, un peintre italien, sur des décorations d'église. En 1889, il travaille avec Adolphe Rho pour la décoration de l'église de Yamachiche au Québec. Vers 1890. Il installe un atelier de Montréal.
Peintre religieux, Il travaille d'abord à la décoration de l'intérieur de l'église St-Paul-l'Ermite (1892) et il obtient son premier contrat important pour la cathédrale de Joliette, pour laquelle il peint un groupe de 23 tableaux religieux. Vers 1896, il retourne à Saint-Hilaire et œuvre pour l'église de St-Hilaire. Leduc est en rupture avec ce qui se fait alors au Québec. Ambitieux, Il glisse quelques éléments discrets se référent à la vie quotidienne des fidèles. Grâce à ce contrat, Leduc voyage à Paris et à Londres en 1897 avec Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté, pendant lequel il est marqué par quelques impressionnistes. Mais c'est surtout le courant symbolisme qui stimule son intérêt au niveau pictural.
Pendant sa carrière, il décore plus de 30 églises et chapelles au Québec, en Nouvelle-Écosse et dans l'Est des États-Unis dont la cathédrale de St-Ninian d'Antigonish, le baptistère de la Basilique Notre-Dame de Montréal (1927-1928) et l'église Notre-Dame-de-la-Présentation à Shawinigan-Sud (1943-1955), un projet qui lui demande treize ans de travail. Peintre intimiste, il répond à plusieurs commandes de portraits. Il dessine les paysages notamment "Cumulus bleu", "Fin de journée", "Effet gris (neige)", "Pommes vertes"... , et la série « Imaginations ». Sans aucun doute, la région d'origine du peintre Saint-Hilaire, la montagne, la rivière Richelieu et le rang des Trente est son univers à explorer, le cadre où il trouve son inspiration.
Leduc se lie à l'intelligentsia canadienne-française conservatrice comme libérale du début du xxe siècle. Il compte parmi ses relations de grands écrivains, des poètes exotiques, d'importants architectes; des politiciens... Il participe notamment à la revue avant-gardiste Le Nigog en 1918. Il crée également avec Paul-Émile Borduas les décors pour la pièce de Choquette, Madeleine, en 1928 et encore.
Profondément ancré dans son village natal, Leduc s'implique également dans la vie communautaire québécoise et canadienne en étant tour à tour président de la commission scolaire puis conseiller municipal. Voyant déjà Saint-Hilaire enlaidie par une urbanisation rapide et massive, il cherche à embellir son village en faisant planter des arbres et en planifiant la construction de parcs.
Comme maître, dès 1899, Leduc enseigne le dessin au couvent de Saint-Hilaire. Il fera de même dans divers couvents de la région de Montréal.
Il meurt le 16 juin 1955 à Saint-Hyacinthe.
À l'âge de 7 ans, son professeur remarque ses aptitudes en dessin. En 1883, il est employé par Carli, un fabricant de statues à Montréal. En 1886, il devient apprenti de Luigi Capello, un peintre italien, sur des décorations d'église. En 1889, il travaille avec Adolphe Rho pour la décoration de l'église de Yamachiche au Québec. Vers 1890. Il installe un atelier de Montréal.
Peintre religieux, Il travaille d'abord à la décoration de l'intérieur de l'église St-Paul-l'Ermite (1892) et il obtient son premier contrat important pour la cathédrale de Joliette, pour laquelle il peint un groupe de 23 tableaux religieux. Vers 1896, il retourne à Saint-Hilaire et œuvre pour l'église de St-Hilaire. Leduc est en rupture avec ce qui se fait alors au Québec. Ambitieux, Il glisse quelques éléments discrets se référent à la vie quotidienne des fidèles. Grâce à ce contrat, Leduc voyage à Paris et à Londres en 1897 avec Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté, pendant lequel il est marqué par quelques impressionnistes. Mais c'est surtout le courant symbolisme qui stimule son intérêt au niveau pictural.
Pendant sa carrière, il décore plus de 30 églises et chapelles au Québec, en Nouvelle-Écosse et dans l'Est des États-Unis dont la cathédrale de St-Ninian d'Antigonish, le baptistère de la Basilique Notre-Dame de Montréal (1927-1928) et l'église Notre-Dame-de-la-Présentation à Shawinigan-Sud (1943-1955), un projet qui lui demande treize ans de travail. Peintre intimiste, il répond à plusieurs commandes de portraits. Il dessine les paysages notamment "Cumulus bleu", "Fin de journée", "Effet gris (neige)", "Pommes vertes"... , et la série « Imaginations ». Sans aucun doute, la région d'origine du peintre Saint-Hilaire, la montagne, la rivière Richelieu et le rang des Trente est son univers à explorer, le cadre où il trouve son inspiration.
Leduc se lie à l'intelligentsia canadienne-française conservatrice comme libérale du début du xxe siècle. Il compte parmi ses relations de grands écrivains, des poètes exotiques, d'importants architectes; des politiciens... Il participe notamment à la revue avant-gardiste Le Nigog en 1918. Il crée également avec Paul-Émile Borduas les décors pour la pièce de Choquette, Madeleine, en 1928 et encore.
Profondément ancré dans son village natal, Leduc s'implique également dans la vie communautaire québécoise et canadienne en étant tour à tour président de la commission scolaire puis conseiller municipal. Voyant déjà Saint-Hilaire enlaidie par une urbanisation rapide et massive, il cherche à embellir son village en faisant planter des arbres et en planifiant la construction de parcs.
Comme maître, dès 1899, Leduc enseigne le dessin au couvent de Saint-Hilaire. Il fera de même dans divers couvents de la région de Montréal.
Il meurt le 16 juin 1955 à Saint-Hyacinthe.
Le peintre canadien Lionel Lemoyne FitzGerald naît à Winnipeg, Manitoba, le 17 mars 1899.
Son père est d'origine irlandaise, né aux Antilles et élevé au Québec. En tant que garçon, Lionel passe les mois de vacances d'été à la ferme de sa grand-mère, où il explore avec son frère aîné les bois et les prairies. Il quitte l'école à 14 ans, avec une huitième année et travaille comme garçon de bureau, puis commis pour diverses entreprises.
Il dessine et peint régulièrement utilisant les éléments des cours de dessin de John Ruskin (1857) comme guide pour son auto-étude, puis il s’inscrit à l'école des Beaux-Arts pour des cours d'hiver. Il dira plus tard « je me demande encore comment j’ai pu découvrir tellement en si peu de temps ».
Lionel épouse Felicia Wright en 1912 et ils ont deux enfants. Il décide alors de travailler en tant qu'artiste tout en prenant une variété d'emplois pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille. Il agence des vitrines, fait de la décoration intérieure et peint des toiles de fond. Parallèlement, son travail artistique connaît un certain succès. En 1913, il expose à l'Académie royale du Canada à Montréal. En 1918, le Musée des Beaux-Arts du Canada rachète sa peinture « Fall Fall » au Manitoba, et en 1921, Lionel tient sa première exposition personnelle à la Winnipeg Art Gallery. Il expose deux fois avec le Groupe des Sept et en 1932 est invité à se joindre à ce Groupe après le décès de J. E. H. MacDonald.
Il décède d'une crise cardiaque à Winnipeg le 7 août 1956.
Son père est d'origine irlandaise, né aux Antilles et élevé au Québec. En tant que garçon, Lionel passe les mois de vacances d'été à la ferme de sa grand-mère, où il explore avec son frère aîné les bois et les prairies. Il quitte l'école à 14 ans, avec une huitième année et travaille comme garçon de bureau, puis commis pour diverses entreprises.
Il dessine et peint régulièrement utilisant les éléments des cours de dessin de John Ruskin (1857) comme guide pour son auto-étude, puis il s’inscrit à l'école des Beaux-Arts pour des cours d'hiver. Il dira plus tard « je me demande encore comment j’ai pu découvrir tellement en si peu de temps ».
Lionel épouse Felicia Wright en 1912 et ils ont deux enfants. Il décide alors de travailler en tant qu'artiste tout en prenant une variété d'emplois pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille. Il agence des vitrines, fait de la décoration intérieure et peint des toiles de fond. Parallèlement, son travail artistique connaît un certain succès. En 1913, il expose à l'Académie royale du Canada à Montréal. En 1918, le Musée des Beaux-Arts du Canada rachète sa peinture « Fall Fall » au Manitoba, et en 1921, Lionel tient sa première exposition personnelle à la Winnipeg Art Gallery. Il expose deux fois avec le Groupe des Sept et en 1932 est invité à se joindre à ce Groupe après le décès de J. E. H. MacDonald.
Il décède d'une crise cardiaque à Winnipeg le 7 août 1956.
La peintre canadienne Maud Lewis naît le 7 mars 1903 dans le village de South Ohio en Nouvelle-Écosse, au Canada. Elle souffre d'une polyarthrite rhumatoïde pendant sa jeunesse qui la rend infirme. Sa mère lui enseigne l'aquarelle dans le but de créer et vendre des cartes de Noël.
A la mort de ses parents, elle déménage chez sa tante à Digby en Nouvelle-Écosse où à 34 ans, elle épouse Everett Lewis, vendeur itinérant de poissons. Ils vivent dans sa petite maison d'une seule pièce qui devient le studio de Maud. Everett lui achète son premier ensemble de couleurs à l'huile. Elle l’accompagne et vend ses cartes de Noël au prix 25 cents. Elle peint sur toutes les surfaces de leur petite maison et même sur le poêle. Sa réputation se répand et entre 1945 et 1950, des touristes s'arrêtent pour acheter ses toiles au prix de 2 ou 3 dollars canadiens, puis de 7 à 10 dollars.
En 1964-65, elle fait l'objet d'une attention médiatique nationale dans un épisode de Télescope, une série télévisée de la CBC..
Elle meurt à Digby le 30 juillet 1970. La même année, la Maison-Blanche commande deux toiles. Dans les années 2010, deux autres de ses toiles sont vendues pour un prix supérieur à 16 000 $canadiens. Une autre toile est vendue au prix de 22 200 $.
Le musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse possède une grande collection de ses œuvres. Après la mort de son mari, la maison se détériore. Des citoyens de la région de Digby fondent la Maud Lewis Painted House Society dans le but d’en faire un monument historique. Elle est déplacée au musée où elle fait partie de l'exposition permanente Maud Lewis.
A la mort de ses parents, elle déménage chez sa tante à Digby en Nouvelle-Écosse où à 34 ans, elle épouse Everett Lewis, vendeur itinérant de poissons. Ils vivent dans sa petite maison d'une seule pièce qui devient le studio de Maud. Everett lui achète son premier ensemble de couleurs à l'huile. Elle l’accompagne et vend ses cartes de Noël au prix 25 cents. Elle peint sur toutes les surfaces de leur petite maison et même sur le poêle. Sa réputation se répand et entre 1945 et 1950, des touristes s'arrêtent pour acheter ses toiles au prix de 2 ou 3 dollars canadiens, puis de 7 à 10 dollars.
En 1964-65, elle fait l'objet d'une attention médiatique nationale dans un épisode de Télescope, une série télévisée de la CBC..
Elle meurt à Digby le 30 juillet 1970. La même année, la Maison-Blanche commande deux toiles. Dans les années 2010, deux autres de ses toiles sont vendues pour un prix supérieur à 16 000 $canadiens. Une autre toile est vendue au prix de 22 200 $.
Le musée des beaux-arts de la Nouvelle-Écosse possède une grande collection de ses œuvres. Après la mort de son mari, la maison se détériore. Des citoyens de la région de Digby fondent la Maud Lewis Painted House Society dans le but d’en faire un monument historique. Elle est déplacée au musée où elle fait partie de l'exposition permanente Maud Lewis.
(English version follows)
ARTHUR LISMER, (Groupe des sept)
Le peintre canadien Arthur Lismer arrive au Canada à 26 ans. Né en 1885 à Sheffield, en Angleterre, Il quitte l’école à 13 ans, entame des études en art et devient apprenti. En 1906, il s’inscrit aux Beaux-Arts d’Anvers. En 1911, il œuvre chez des firmes de dessin publicitaire de Toronto, rencontre Tom Thomson, MacDonald et Carmichael et définit la connection spirituelle avec le paysage qui marquera le travail du groupe. En 1912, il épouse Esther Ellen. Il dessine à la baie Georgienne, au parc Algonquin, à Halifax où il dirige la Victoria School of Art and Design de 1916-19. Puis, Il est directeur adjoint de l’Ontario College of Art, et superviseur à l’Art Gallery of Toronto. Il établit, de 1940 à 1967, une école de peinture en Afrique du Sud et enseigne aux Beaux-Arts de Montréal où il meurt en 1969..
Canadian painter Arthur Lismer arrived in Canada at age 26. Born in 1885 in Sheffield, England, he left school at the age of 13, began studying art and became an apprentice. In 1906 he enrolled at the Beaux-Arts in Antwerp. In 1911, in Canada, he worked for advertising design firms in Toronto. He met Tom Thomson, MacDonald and Carmichael and exhibits the spiritual connection with the landscape that would embody the Group’s work. In 1912, he married Esther Ellen. He drew at Georgian Bay, in Algonquin Park and moved to Halifax to direct from 1916 to 1919 the Victoria School of Art and Design. He is also Assistant Director of the Ontario College of Art and Supervisor at the Art Gallery of Toronto. He established a painting school in South Africa from 1960 to 1967 and taught at the Beaux-Arts in Montreal where he died in 1969.
ARTHUR LISMER, (Groupe des sept)
Le peintre canadien Arthur Lismer arrive au Canada à 26 ans. Né en 1885 à Sheffield, en Angleterre, Il quitte l’école à 13 ans, entame des études en art et devient apprenti. En 1906, il s’inscrit aux Beaux-Arts d’Anvers. En 1911, il œuvre chez des firmes de dessin publicitaire de Toronto, rencontre Tom Thomson, MacDonald et Carmichael et définit la connection spirituelle avec le paysage qui marquera le travail du groupe. En 1912, il épouse Esther Ellen. Il dessine à la baie Georgienne, au parc Algonquin, à Halifax où il dirige la Victoria School of Art and Design de 1916-19. Puis, Il est directeur adjoint de l’Ontario College of Art, et superviseur à l’Art Gallery of Toronto. Il établit, de 1940 à 1967, une école de peinture en Afrique du Sud et enseigne aux Beaux-Arts de Montréal où il meurt en 1969..
Canadian painter Arthur Lismer arrived in Canada at age 26. Born in 1885 in Sheffield, England, he left school at the age of 13, began studying art and became an apprentice. In 1906 he enrolled at the Beaux-Arts in Antwerp. In 1911, in Canada, he worked for advertising design firms in Toronto. He met Tom Thomson, MacDonald and Carmichael and exhibits the spiritual connection with the landscape that would embody the Group’s work. In 1912, he married Esther Ellen. He drew at Georgian Bay, in Algonquin Park and moved to Halifax to direct from 1916 to 1919 the Victoria School of Art and Design. He is also Assistant Director of the Ontario College of Art and Supervisor at the Art Gallery of Toronto. He established a painting school in South Africa from 1960 to 1967 and taught at the Beaux-Arts in Montreal where he died in 1969.
Mabel Lockerby commence sa formation artistique à l'école de l'Art Association of Montreal (AAM) de 1900 jusqu'en 1916, étudiant avec William Brymner et Murice Cullen.
Elle participe assidument aux Salons du Printemps de l'AAM de 1914 à 1956, et à neuf reprises aux expositions de l'Académie royale des arts du Canada, soit en 1915 et pendant les années 1920. Elle est membre du Groupe des peintres canadiens (1939) et du groupe Beaver Hall de Montréal et de la société d'art contemporain de Montréal (1939).
Son travail est sélectionné pour représenter le Canada à la British Empire Exhibition de Londres (1924 et 1925) et à l'exposition du 400e anniversaire de Sao Paulo, au Brésil.
Elle participe assidument aux Salons du Printemps de l'AAM de 1914 à 1956, et à neuf reprises aux expositions de l'Académie royale des arts du Canada, soit en 1915 et pendant les années 1920. Elle est membre du Groupe des peintres canadiens (1939) et du groupe Beaver Hall de Montréal et de la société d'art contemporain de Montréal (1939).
Son travail est sélectionné pour représenter le Canada à la British Empire Exhibition de Londres (1924 et 1925) et à l'exposition du 400e anniversaire de Sao Paulo, au Brésil.
(English version follows)
Sheryl Luxenburg est une peintre hyperréaliste canadienne basée à Ottawa qui utilise l'aquarelle sur papier et l'acrylique sur lin avec pinceau ordinaire pour capturer des sujets ultra réalistes. Sa formation académique et ses deux décennies d'expérience professionnelle concernant la psyché humaine turbulente ont influencé son travail. Elle est surtout connue pour accentuer avec de la peinture un aspect tridimensionnel aplati. Elle est devenue fascinée par ce style il y a 40 ans alors qu'elle étudiait dans un programme de résidence universitaire. Elle a étudié l'art à l'Université Concordia, à l'École d'art et de design du musée de Montréal, au Banff Centre For The Arts et au Keene State College, New Hampshire, États-Unis.
-----
Sheryl Luxenburg is a Canadian hyperrealist painter based in Ottawa who uses watercolour on paper and acrylic on linen with airbrush and regular brush to capture ultra realistic subject matter. Her academic training and her two decades professional experience concerning the turbulent human psyche has influenced her work. She is most widely known for accentuating with paint a flattened 3 dimensional look. She became fascinated with this style 40 years ago when studying in a residency program. Her art education was at Concordia University, The School of Art & Design of Montreal Museum, The Banff Centre For The Arts and at Keene State College, New Hampshire, U.S.
Sheryl Luxenburg est une peintre hyperréaliste canadienne basée à Ottawa qui utilise l'aquarelle sur papier et l'acrylique sur lin avec pinceau ordinaire pour capturer des sujets ultra réalistes. Sa formation académique et ses deux décennies d'expérience professionnelle concernant la psyché humaine turbulente ont influencé son travail. Elle est surtout connue pour accentuer avec de la peinture un aspect tridimensionnel aplati. Elle est devenue fascinée par ce style il y a 40 ans alors qu'elle étudiait dans un programme de résidence universitaire. Elle a étudié l'art à l'Université Concordia, à l'École d'art et de design du musée de Montréal, au Banff Centre For The Arts et au Keene State College, New Hampshire, États-Unis.
-----
Sheryl Luxenburg is a Canadian hyperrealist painter based in Ottawa who uses watercolour on paper and acrylic on linen with airbrush and regular brush to capture ultra realistic subject matter. Her academic training and her two decades professional experience concerning the turbulent human psyche has influenced her work. She is most widely known for accentuating with paint a flattened 3 dimensional look. She became fascinated with this style 40 years ago when studying in a residency program. Her art education was at Concordia University, The School of Art & Design of Montreal Museum, The Banff Centre For The Arts and at Keene State College, New Hampshire, U.S.
(English version follows)
JEH MACDONALD, (Groupe des sept)
Le peintre canadien James Edward Hervey MacDonald, naît à Durham en Angleterre le 12 mai 1873. Il étudie à la Hamilton Art School à compter de 1887 et à la Central Ontario School of Art and Design. Il est un des fondateurs du Groupe des Sept. En 1895, il encourage Tom Thomson à développer son talent de peintre. Vers 1913, il introduit de nouvelles couleurs à sa sombre palette. Le nord du lac Supérieur devient son lieu de prédilection où il réalise ses meilleurs tableaux de panoramas dans un style tumultueux, bigarré. En 1924, il fait le premier de 7 voyages dans les Rocheuses. Il est le plus grand calligraphe de cette période, un concepteur-graphiste important tout en enseignant au Collège des beaux-arts de l'Ontario. Il meurt à Toronto, le 26 novembre 1932.
--------------------
The Canadian painter James Edward Hervey MacDonald was born in Durham, England on May 12, 1873. He studied at the Hamilton Art School in 1887 and at the Central Ontario School of Art and Design. He is one of the founders of the Group of Seven. In 1895, he encouraged Tom Thomson to develop his talent as a painter. Around 1913, he introduced new colors to his dark palette. The north of Lake Superior becomes his favorite place where he makes his best panoramas in a tumultuous, colorful style. In 1924, he makes the first of seven trips to the Rockies. He is the greatest calligrapher of this period, an important graphic designer while teaching at the Art Gallery of Ontario. He died in Toronto on November 26, 1932.
JEH MACDONALD, (Groupe des sept)
Le peintre canadien James Edward Hervey MacDonald, naît à Durham en Angleterre le 12 mai 1873. Il étudie à la Hamilton Art School à compter de 1887 et à la Central Ontario School of Art and Design. Il est un des fondateurs du Groupe des Sept. En 1895, il encourage Tom Thomson à développer son talent de peintre. Vers 1913, il introduit de nouvelles couleurs à sa sombre palette. Le nord du lac Supérieur devient son lieu de prédilection où il réalise ses meilleurs tableaux de panoramas dans un style tumultueux, bigarré. En 1924, il fait le premier de 7 voyages dans les Rocheuses. Il est le plus grand calligraphe de cette période, un concepteur-graphiste important tout en enseignant au Collège des beaux-arts de l'Ontario. Il meurt à Toronto, le 26 novembre 1932.
--------------------
The Canadian painter James Edward Hervey MacDonald was born in Durham, England on May 12, 1873. He studied at the Hamilton Art School in 1887 and at the Central Ontario School of Art and Design. He is one of the founders of the Group of Seven. In 1895, he encouraged Tom Thomson to develop his talent as a painter. Around 1913, he introduced new colors to his dark palette. The north of Lake Superior becomes his favorite place where he makes his best panoramas in a tumultuous, colorful style. In 1924, he makes the first of seven trips to the Rockies. He is the greatest calligrapher of this period, an important graphic designer while teaching at the Art Gallery of Ontario. He died in Toronto on November 26, 1932.
(English version follows)
La peintre canadienne Pegi Nicol Macleod nait en 1904 à Listowel, Ontario. Elle déménage avec sa famille à l'âge de quatre ans à Ottawa. En 1921, elle étudie la peinture à la toute nouvelle « Art Association of Ottawa », puis étudie à l'École des beaux-arts de Montréal. Encouragé par Marius Barbeau, elle voyage pour peindre les paysages et les peuples autochtones de l'Ouest Canadien. Ses premiers tableaux reflètent l’influence du Groupe des Sept. Puis, elle développe son style expressionniste dynamique. Elle est aussi rédactrice en chef du Forum canadien et, pendant la Seconde Guerre mondiale, artiste de guerre officielle. À partir des années 1940, elle enseigne chaque année aux côtés de Lucy Jarvis au Observatory Art Centre de l'Université du Nouveau-Brunswick, à Fredericton. Son dernier grand projet, connu sous le nom de Manhattan Cycle, représentait des scènes autour de son appartement de la 88e rue East à New York, où elle résidait parfois avec son mari Norman Macleod au début des années 1940. Elle décède d'un cancer à l'âge de 45 ans.
-----
Canadian painter Pegi Nicol Macleod was born in 1904 in Listowel, Ontario. She moved with her family at the age of four to Ottawa. In 1921, she studied painting at the brand new “Art Association of Ottawa”, then studied at the École des beaux-arts de Montréal. Encouraged by Marius Barbeau, she traveled to paint the landscapes and indigenous peoples of Western Canada. Her early paintings reflect the influence of the Group of Seven. She then developed her dynamic expressionist style. She was also editor-in-chief of the Canadian Forum and, during World War II, an official war artist. Beginning in the 1940s, she taught annually alongside Lucy Jarvis at the Observatory Art Center at the University of New Brunswick in Fredericton. Her last big project, known as Manhattan Cycle, featured scenes around her apartment on 88th Street East in New York City, where she sometimes resided with her husband Norman Macleod in the early 1940s. She died of cancer. at the age of 45.
La peintre canadienne Pegi Nicol Macleod nait en 1904 à Listowel, Ontario. Elle déménage avec sa famille à l'âge de quatre ans à Ottawa. En 1921, elle étudie la peinture à la toute nouvelle « Art Association of Ottawa », puis étudie à l'École des beaux-arts de Montréal. Encouragé par Marius Barbeau, elle voyage pour peindre les paysages et les peuples autochtones de l'Ouest Canadien. Ses premiers tableaux reflètent l’influence du Groupe des Sept. Puis, elle développe son style expressionniste dynamique. Elle est aussi rédactrice en chef du Forum canadien et, pendant la Seconde Guerre mondiale, artiste de guerre officielle. À partir des années 1940, elle enseigne chaque année aux côtés de Lucy Jarvis au Observatory Art Centre de l'Université du Nouveau-Brunswick, à Fredericton. Son dernier grand projet, connu sous le nom de Manhattan Cycle, représentait des scènes autour de son appartement de la 88e rue East à New York, où elle résidait parfois avec son mari Norman Macleod au début des années 1940. Elle décède d'un cancer à l'âge de 45 ans.
-----
Canadian painter Pegi Nicol Macleod was born in 1904 in Listowel, Ontario. She moved with her family at the age of four to Ottawa. In 1921, she studied painting at the brand new “Art Association of Ottawa”, then studied at the École des beaux-arts de Montréal. Encouraged by Marius Barbeau, she traveled to paint the landscapes and indigenous peoples of Western Canada. Her early paintings reflect the influence of the Group of Seven. She then developed her dynamic expressionist style. She was also editor-in-chief of the Canadian Forum and, during World War II, an official war artist. Beginning in the 1940s, she taught annually alongside Lucy Jarvis at the Observatory Art Center at the University of New Brunswick in Fredericton. Her last big project, known as Manhattan Cycle, featured scenes around her apartment on 88th Street East in New York City, where she sometimes resided with her husband Norman Macleod in the early 1940s. She died of cancer. at the age of 45.
(English version follows)
Le peintre Inuit canadien Qavavau est né en 1959 à Brandon, au Manitoba. Très jeune, Il est rentré à Cape Dorset. Il a toujours démontré des capacités stylistiques qui représente des légendes de la mythologie, de la faune arctique et des aspects contemporains de la vie inuite. Acclamé par la critique dans le magazine Winnipeg, Border Crossings, il s'est rendu à Toronto en juin 2008 pour sa première exposition solo de dessins originaux et en 2009 à Vancouver. Il a travaillé longtemps pour les studios Kinngait en tant que graveur de lithographie et de pierre. Il aime démontré ses techniques aux jeunes artistes et aux visiteurs de son atelier. Qavavau vit avec sa femme et son fils Peter à Cape Dorset.
------
Canadian Inuit painter Qavavau Manumie was born in 1959 in Brandon, Manitoba. Very young, he returned to Cape Dorset. He has always demonstrated stylistic abilities that represent legends from mythology, arctic wildlife and contemporary aspects of Inuit life. Critically acclaimed in Winnipeg magazine Border Crossings, he traveled to Toronto in June 2008 for his first solo exhibition of original drawings and in 2009 in Vancouver. He worked for a long time for the Kinngait studios as a lithography and stone engraver. He enjoys demonstrating his techniques to young artists and visitors to his studio. Qavavau lives with his wife and son Peter in Cape Dorset.
Le peintre Inuit canadien Qavavau est né en 1959 à Brandon, au Manitoba. Très jeune, Il est rentré à Cape Dorset. Il a toujours démontré des capacités stylistiques qui représente des légendes de la mythologie, de la faune arctique et des aspects contemporains de la vie inuite. Acclamé par la critique dans le magazine Winnipeg, Border Crossings, il s'est rendu à Toronto en juin 2008 pour sa première exposition solo de dessins originaux et en 2009 à Vancouver. Il a travaillé longtemps pour les studios Kinngait en tant que graveur de lithographie et de pierre. Il aime démontré ses techniques aux jeunes artistes et aux visiteurs de son atelier. Qavavau vit avec sa femme et son fils Peter à Cape Dorset.
------
Canadian Inuit painter Qavavau Manumie was born in 1959 in Brandon, Manitoba. Very young, he returned to Cape Dorset. He has always demonstrated stylistic abilities that represent legends from mythology, arctic wildlife and contemporary aspects of Inuit life. Critically acclaimed in Winnipeg magazine Border Crossings, he traveled to Toronto in June 2008 for his first solo exhibition of original drawings and in 2009 in Vancouver. He worked for a long time for the Kinngait studios as a lithography and stone engraver. He enjoys demonstrating his techniques to young artists and visitors to his studio. Qavavau lives with his wife and son Peter in Cape Dorset.
Henriette May est née d'Evelyn Henrietta Walker et Edward May, un « self-made man » devenu maire de Verdun et un grand promoteur immobilier. Prospère, il déménage sa famille vers le prestigieux Westmount.
May joint l'Association des arts de Montréal en 1902. Agée d'une vingtaine d'années, elle retarde ses études pour aider ses neuf frères et sœurs plus jeunes. En 1912, après avoir terminé ses études avec William Brymner à l'Art Association (1909-1912), elle et Emily Coonan voyagent en France, en Angleterre et en Hollande, où elles visitent des galeries, étudient et peignent. Elle est influencée par les impressionnistes.
À son retour à Montréal, elle vit avec sa famille, établit un studio au 745, rue Sainte-Catherine Ouest et passe ses étés à peindre au chalet familial de Hudson.
La dépression créée des problèmes financiers à la famille et May enseigne pour subvenir à ses besoins. Elle expose régulièrement, organise des cours de dessin dans les Cantons-de-l'Est. Finalement, elle trouve un poste permanent d'enseignante en histoire de l'art à Elwood, école privée pour filles à Ottawa. De 1938 à 1947, elle suit le fameux«Happy Art Class» du samedi matin à la National Gallery.
En 1948, elle retourne à Montréal, où elle continue à enseigner en privé jusqu'en 1950 et déménage à Vancouver pour être près de ses sœurs. À l'époque, le Toronto Star la surnomme Emily Carr de Montréal. Elle loue un studio, enseigne et vit une vie calme et isolée. May meurt à Vancouver à l'âge de 94 ans le 8 octobre 1971.
May joint l'Association des arts de Montréal en 1902. Agée d'une vingtaine d'années, elle retarde ses études pour aider ses neuf frères et sœurs plus jeunes. En 1912, après avoir terminé ses études avec William Brymner à l'Art Association (1909-1912), elle et Emily Coonan voyagent en France, en Angleterre et en Hollande, où elles visitent des galeries, étudient et peignent. Elle est influencée par les impressionnistes.
À son retour à Montréal, elle vit avec sa famille, établit un studio au 745, rue Sainte-Catherine Ouest et passe ses étés à peindre au chalet familial de Hudson.
La dépression créée des problèmes financiers à la famille et May enseigne pour subvenir à ses besoins. Elle expose régulièrement, organise des cours de dessin dans les Cantons-de-l'Est. Finalement, elle trouve un poste permanent d'enseignante en histoire de l'art à Elwood, école privée pour filles à Ottawa. De 1938 à 1947, elle suit le fameux«Happy Art Class» du samedi matin à la National Gallery.
En 1948, elle retourne à Montréal, où elle continue à enseigner en privé jusqu'en 1950 et déménage à Vancouver pour être près de ses sœurs. À l'époque, le Toronto Star la surnomme Emily Carr de Montréal. Elle loue un studio, enseigne et vit une vie calme et isolée. May meurt à Vancouver à l'âge de 94 ans le 8 octobre 1971.
De l'Antarctique au pôle Nord, l'artiste David McEown célèbre certains des plus beaux, mais fragiles, patrimoine naturel de notre planète à travers l'acte créatif de la peinture.
Diplômé de l'Ordre des arts et du design de l'Ontario en 1992, il poursuit des études indépendantes à l'École Algoma des arts du paysage dans le désert du Nord de l'Ontario. En 1999, il est membre de la Société canadienne des peintres en aquarelle et devient l'un des aquarellistes paysagistes les plus accomplis et les plus fréquentés au Canada.
À partir de 2005, David concentre son art sur les régions polaires.Il fait le tour de l'Arctique et de l'Antarctique à bord de navires de recherche et de brise-glaces, en randonnée et même en ski au pôle Nord.
Par la spontanéité de l'aquarelle et la participation des forces de la nature au processus pictural, ses peintures soulignent le sens de l'impermanence et du changement.David aime peindre sur placeet partager son art en studio en enseignantDepuis 2002, il dirige des ateliers au Musée royal de l'Ontario et est recherché par de prestigieux clubs d'art au Canada.
« Le processus de peinture me donne le sentiment d'être connecté à quelque chose de plus grand que nous, un sentiment d'amour qui traverse la nature ».
Diplômé de l'Ordre des arts et du design de l'Ontario en 1992, il poursuit des études indépendantes à l'École Algoma des arts du paysage dans le désert du Nord de l'Ontario. En 1999, il est membre de la Société canadienne des peintres en aquarelle et devient l'un des aquarellistes paysagistes les plus accomplis et les plus fréquentés au Canada.
À partir de 2005, David concentre son art sur les régions polaires.Il fait le tour de l'Arctique et de l'Antarctique à bord de navires de recherche et de brise-glaces, en randonnée et même en ski au pôle Nord.
Par la spontanéité de l'aquarelle et la participation des forces de la nature au processus pictural, ses peintures soulignent le sens de l'impermanence et du changement.David aime peindre sur placeet partager son art en studio en enseignantDepuis 2002, il dirige des ateliers au Musée royal de l'Ontario et est recherché par de prestigieux clubs d'art au Canada.
« Le processus de peinture me donne le sentiment d'être connecté à quelque chose de plus grand que nous, un sentiment d'amour qui traverse la nature ».
(English version follows)
HELEN McNICOLL
Helen McNicoll (1879-1915), née à Toronto a grandi, étudié et travaillé à Montréal. Elle est l'une des artistes féminines les plus remarquables au Canada et a connu un succès international considérable au cours de sa carrière, qui a duré dix ans. McNicoll, sourde depuis l'âge de deux ans, était réputée pour ses représentations impressionnistes ensoleillées de paysages ruraux, de sujets d'enfants intimes et de figures féminines modernes. Elle a joué un rôle important dans la vulgarisation de l'impressionnisme au Canada à une époque où il était encore relativement inconnu. Avant sa mort prématurée, elle fut élue à la Royal Society of British Artists en 1913 et à l'Académie royale des arts du Canada en 1914.
-------
One of the most notable female artists in Canada, Helen McNicoll (1879–1915) was born in Toronto, brought up, studied and worked in Montreal. She achieved considerable international success during her decade-long career. Deaf from the age of two, McNicoll was esteemed for her sunny Impressionist representations of rural landscapes, intimate child subjects, and modern female figures. She played an important role in popularizing Impressionism in Canada at a time when it was still relatively unknown. Before her early death, she was elected to the Royal Society of British Artists in 1913 and the Royal Canadian Academy of Arts in 1914.
HELEN McNICOLL
Helen McNicoll (1879-1915), née à Toronto a grandi, étudié et travaillé à Montréal. Elle est l'une des artistes féminines les plus remarquables au Canada et a connu un succès international considérable au cours de sa carrière, qui a duré dix ans. McNicoll, sourde depuis l'âge de deux ans, était réputée pour ses représentations impressionnistes ensoleillées de paysages ruraux, de sujets d'enfants intimes et de figures féminines modernes. Elle a joué un rôle important dans la vulgarisation de l'impressionnisme au Canada à une époque où il était encore relativement inconnu. Avant sa mort prématurée, elle fut élue à la Royal Society of British Artists en 1913 et à l'Académie royale des arts du Canada en 1914.
-------
One of the most notable female artists in Canada, Helen McNicoll (1879–1915) was born in Toronto, brought up, studied and worked in Montreal. She achieved considerable international success during her decade-long career. Deaf from the age of two, McNicoll was esteemed for her sunny Impressionist representations of rural landscapes, intimate child subjects, and modern female figures. She played an important role in popularizing Impressionism in Canada at a time when it was still relatively unknown. Before her early death, she was elected to the Royal Society of British Artists in 1913 and the Royal Canadian Academy of Arts in 1914.
(English version follows)
( La biographie de Monkman est suivi de tableaux du peintre montrant des enfants indiens arrachés de force à leurs parents par des religieux, au Manitoba, et par les officiers de la Gendarmerie Royale du Canada pour les amener au pensionnat. Histoire horrible et vraie partout au Canada. Et autres œuvres! )
Le peintre amérindien Kent Monkman d’origine Cri et Irlandaise naît en 1965 à Fisher River dans le territoire du “Traité 5 (Manitoba)” au Canada. il vit et travaille dans le territoire de “Dish With One Spoon” (Toronto). Son art explore les thèmes de la colonisation, de la sexualité, des expériences autochtones historiques et contemporaines. Son alter ego fluide, Miss Chief Eagle Testickle, apparaît souvent dans son travail comme un être surnaturel voyageant dans le temps et renversant le regard colonial pour remettre en question les notions reçues de l'histoire et des peuples autochtones. Ses œuvres ont été exposées aux Metropolitan Museum of Art; Musées des Beaux-Arts de Montréal, du Canada, de Tokyo et nombreux autres. Il a créé des performances in situ dans plusieurs musées importants. Monkman est le récipiendaire de Prix importants.
-----
Native American painter Kent Monkman of Cree and Irish origin was born in 1965 in Fisher River in “Treaty 5 (Manitoba)” territory in Canada. he lives and works in “Dish With One Spoon” (Toronto) territory. His art explores themes of colonization, sexuality, historical and contemporary Indigenous experiences. His fluid alter ego, Miss Chief Eagle Testickle, often appears in his work as a supernatural being traveling through time and reversing the colonial gaze to question received notions of history and Indigenous peoples. His works have been exhibited at the Metropolitan Museum of Art; Montreal Museums of Fine Arts; others in Canada, Tokyo, etc.... He has created in situ performances in several important museums. Monkman is the recipient of important Awards.
( La biographie de Monkman est suivi de tableaux du peintre montrant des enfants indiens arrachés de force à leurs parents par des religieux, au Manitoba, et par les officiers de la Gendarmerie Royale du Canada pour les amener au pensionnat. Histoire horrible et vraie partout au Canada. Et autres œuvres! )
Le peintre amérindien Kent Monkman d’origine Cri et Irlandaise naît en 1965 à Fisher River dans le territoire du “Traité 5 (Manitoba)” au Canada. il vit et travaille dans le territoire de “Dish With One Spoon” (Toronto). Son art explore les thèmes de la colonisation, de la sexualité, des expériences autochtones historiques et contemporaines. Son alter ego fluide, Miss Chief Eagle Testickle, apparaît souvent dans son travail comme un être surnaturel voyageant dans le temps et renversant le regard colonial pour remettre en question les notions reçues de l'histoire et des peuples autochtones. Ses œuvres ont été exposées aux Metropolitan Museum of Art; Musées des Beaux-Arts de Montréal, du Canada, de Tokyo et nombreux autres. Il a créé des performances in situ dans plusieurs musées importants. Monkman est le récipiendaire de Prix importants.
-----
Native American painter Kent Monkman of Cree and Irish origin was born in 1965 in Fisher River in “Treaty 5 (Manitoba)” territory in Canada. he lives and works in “Dish With One Spoon” (Toronto) territory. His art explores themes of colonization, sexuality, historical and contemporary Indigenous experiences. His fluid alter ego, Miss Chief Eagle Testickle, often appears in his work as a supernatural being traveling through time and reversing the colonial gaze to question received notions of history and Indigenous peoples. His works have been exhibited at the Metropolitan Museum of Art; Montreal Museums of Fine Arts; others in Canada, Tokyo, etc.... He has created in situ performances in several important museums. Monkman is the recipient of important Awards.
(English version follows)
MARK MONKMAN
Le peintre amérindien canadien Kent Monkman, né en 1965, est de la Nation Crie et explore les thèmes de la colonisation, de la sexualité... et les complexités des expériences autochtones historiques et contemporaines à travers de nombreux médiums. L’alter ego fluide de Monkman, Mademoiselle Chief Eagle Testickle, apparaît souvent dans son travail comme un être surnaturel qui renverse le regard colonial pour contester les notions reçues d'histoire et de peuples autochtones. Il a exposé au musée des beaux-arts de Montréal; Musée d’art contemporain de Montréal, etc ... et aux grands musées à travers le Canada ...
--------------------
The native canadian painter Kent Monkman, born in 1965, is from the Cree Nation and explores the themes of colonization, sexuality ... and the complexities of historical and contemporary Indigenous experiences across many mediums. Monkman's fluid alter ego, Miss Chief Eagle Testickle, often appears in his work as a supernatural being who overturns the colonial gaze to challenge accepted notions of history and indigenous peoples. He exhibited at the Montreal Museum of Fine Arts; Museum of Contemporary Art of Montreal, etc ... and at great museums across Canada ...
MARK MONKMAN
Le peintre amérindien canadien Kent Monkman, né en 1965, est de la Nation Crie et explore les thèmes de la colonisation, de la sexualité... et les complexités des expériences autochtones historiques et contemporaines à travers de nombreux médiums. L’alter ego fluide de Monkman, Mademoiselle Chief Eagle Testickle, apparaît souvent dans son travail comme un être surnaturel qui renverse le regard colonial pour contester les notions reçues d'histoire et de peuples autochtones. Il a exposé au musée des beaux-arts de Montréal; Musée d’art contemporain de Montréal, etc ... et aux grands musées à travers le Canada ...
--------------------
The native canadian painter Kent Monkman, born in 1965, is from the Cree Nation and explores the themes of colonization, sexuality ... and the complexities of historical and contemporary Indigenous experiences across many mediums. Monkman's fluid alter ego, Miss Chief Eagle Testickle, often appears in his work as a supernatural being who overturns the colonial gaze to challenge accepted notions of history and indigenous peoples. He exhibited at the Montreal Museum of Fine Arts; Museum of Contemporary Art of Montreal, etc ... and at great museums across Canada ...
(English version follows)
NORVAL MORRISSEAU
Le peintre canadien autochtone anishinaabe Norval Morrisseau naît le 14 mars 1932 à Beardmore, en Ontario. Il connait un succès national considérable tout au long de sa carrière artistique remportant d'importantes commandes dont une grande peinture murale réalisée pour Expo 67 en 1967 qui exprimait le mécontentement politique des membres des Premières Nations du Canada. Morrisseau expose dans diverses galeries canadiennes jusqu'à son décès à Toronto le 4 décembre 2007. Aujourd'hui, son travail se trouve dans les collections du Musée royal de l'Ontario, du Musée des beaux-arts du Canada, du Dennos Museum Centre, et la galerie d'art de Windsor, parmi beaucoup d'autres.
--------------------
Anishinaabe Native Canadian painter Norval Morrisseau was born on March 14, 1932 in Beardmore, Ontario. He enjoyed considerable national success throughout his artistic career winning major commissions, including a large 1967 Expo 67 mural depicting the political discontent of Canada's First Nations people. Morrisseau regularly exhibited and sold his work in various Canadian galleries until his death in Toronto on December 4, 2007. Today, his work is in the collections of the Royal Ontario Museum, National Gallery of Canada, the Dennos Museum Center, and the Windsor Art Gallery, among many others.
NORVAL MORRISSEAU
Le peintre canadien autochtone anishinaabe Norval Morrisseau naît le 14 mars 1932 à Beardmore, en Ontario. Il connait un succès national considérable tout au long de sa carrière artistique remportant d'importantes commandes dont une grande peinture murale réalisée pour Expo 67 en 1967 qui exprimait le mécontentement politique des membres des Premières Nations du Canada. Morrisseau expose dans diverses galeries canadiennes jusqu'à son décès à Toronto le 4 décembre 2007. Aujourd'hui, son travail se trouve dans les collections du Musée royal de l'Ontario, du Musée des beaux-arts du Canada, du Dennos Museum Centre, et la galerie d'art de Windsor, parmi beaucoup d'autres.
--------------------
Anishinaabe Native Canadian painter Norval Morrisseau was born on March 14, 1932 in Beardmore, Ontario. He enjoyed considerable national success throughout his artistic career winning major commissions, including a large 1967 Expo 67 mural depicting the political discontent of Canada's First Nations people. Morrisseau regularly exhibited and sold his work in various Canadian galleries until his death in Toronto on December 4, 2007. Today, his work is in the collections of the Royal Ontario Museum, National Gallery of Canada, the Dennos Museum Center, and the Windsor Art Gallery, among many others.
(English version follows)
DAPHNE ODJIG
L’artiste-peintre amérindienne du Canada Daphne Odjig origine de la nation Odawa-Potawatomi. Plusieurs de ses œuvres explorent l'identité autochtone et les paysages du Canada rural. Née le 11 septembre 1919 en la réserve Wikwemikong, elle développe un intérêt pour les arts dès son plus jeune âge. Au début de la 2e guerre elle oeuvre à Toronto, travaille dans des usines, apprend son art au Musée royal de l'Ontario et dans les galeries d'art locales. À la fin de la guerre, elle déménage au Manitoba où elle travaille sur des croquis de membres de la nation Cri. Elle fonde la « Professional Native Indian Artists Association ». Odjid décède le 1er octobre 2016 à Kelowna, CB, Canada.
--------------------
The canadian First Nations artist Daphne Odjig is a from the Odawa-Potawatomi nation. Many of her works explore indigenous identity and landscapes of rural Canada. Born on September 11, 1919 on Wikwemikong Unceded Indian Reserve, Canada, she developed an interest in the arts from a young age. At the outbreak of World War II she moved to Toronto to work in factories, learning of her art at the Royal Ontario Museum and local art galleries in her spare time. After the end of the war, she relocated to Manitoba where she worked on sketches of members of the Cree nation and founded the Professional Native Indian Artists Association. Odjig died on October 1, 2016 in Kelowna, BC, Canada.
DAPHNE ODJIG
L’artiste-peintre amérindienne du Canada Daphne Odjig origine de la nation Odawa-Potawatomi. Plusieurs de ses œuvres explorent l'identité autochtone et les paysages du Canada rural. Née le 11 septembre 1919 en la réserve Wikwemikong, elle développe un intérêt pour les arts dès son plus jeune âge. Au début de la 2e guerre elle oeuvre à Toronto, travaille dans des usines, apprend son art au Musée royal de l'Ontario et dans les galeries d'art locales. À la fin de la guerre, elle déménage au Manitoba où elle travaille sur des croquis de membres de la nation Cri. Elle fonde la « Professional Native Indian Artists Association ». Odjid décède le 1er octobre 2016 à Kelowna, CB, Canada.
--------------------
The canadian First Nations artist Daphne Odjig is a from the Odawa-Potawatomi nation. Many of her works explore indigenous identity and landscapes of rural Canada. Born on September 11, 1919 on Wikwemikong Unceded Indian Reserve, Canada, she developed an interest in the arts from a young age. At the outbreak of World War II she moved to Toronto to work in factories, learning of her art at the Royal Ontario Museum and local art galleries in her spare time. After the end of the war, she relocated to Manitoba where she worked on sketches of members of the Cree nation and founded the Professional Native Indian Artists Association. Odjig died on October 1, 2016 in Kelowna, BC, Canada.
Dawn Oman est née à Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest canadien. Elle est directement descendante du chef Snuff, qui a signé le Traité 8 avec le gouvernement canadien.
Dawn a commencé à dessiner pour s'amuser silencieusement afin de passer inaperçu dans sa famille. Depuis lors, Dawn a exposé à travers l'Amérique du Nord et a ouvert sa propre galerie d’art. Elle a remporté des prix et des commandes importantes pour ses œuvres dont le design de la pièce de 50 cents pour les collectionneurs en édition limitée de la Monnaie royale canadienne commémorant le Great Northern Arts Festival.
Le thème principal de Dawn est l'hiver. Ses images claires et enneigées pleines de couleurs capturent l'essence du Nord dans le temps sombre et froid. Son utilisation de couleurs tourbillonnantes représentant les aurores boréales est un thème reconnaissable et récurrent tout au long de ses œuvres, tout comme son utilisation audacieuse de la couleur et des combinaisons brillantes.
Ce qui a commencé comme une façon de se rendre silencieusement invisible a apporté une présence exubérante et joyeuse à la scène artistique canadienne contemporaine.
Dawn a commencé à dessiner pour s'amuser silencieusement afin de passer inaperçu dans sa famille. Depuis lors, Dawn a exposé à travers l'Amérique du Nord et a ouvert sa propre galerie d’art. Elle a remporté des prix et des commandes importantes pour ses œuvres dont le design de la pièce de 50 cents pour les collectionneurs en édition limitée de la Monnaie royale canadienne commémorant le Great Northern Arts Festival.
Le thème principal de Dawn est l'hiver. Ses images claires et enneigées pleines de couleurs capturent l'essence du Nord dans le temps sombre et froid. Son utilisation de couleurs tourbillonnantes représentant les aurores boréales est un thème reconnaissable et récurrent tout au long de ses œuvres, tout comme son utilisation audacieuse de la couleur et des combinaisons brillantes.
Ce qui a commencé comme une façon de se rendre silencieusement invisible a apporté une présence exubérante et joyeuse à la scène artistique canadienne contemporaine.
Le peintre canadien académique et impressionniste Paul Peel naît le 7 novembre 1860 à London, Ontario. Il est l'un des premiers artistes canadiens à bénéficier d'une reconnaissance internationale de son vivant.
Il reçoit de son père John Robert Peel, professeur de dessin et marbrier, sa première formation artistique et étudie ensuite avec William Lees Judson à la Pennsylvania Academy of Fine Arts sous la direction de Thomas Eakins. Plus tard, il s'installe à Paris où il est l'élève de Jean-Léon Gérôme à l'École des beaux-arts de Paris et de Jean-Joseph Benjamin-Constant, Henri Doucet et Jules Lefebvre à l'Académie Julian. Il séjourne un temps à Pont-Aven.
Peel voyage beaucoup au Canada et en Europe, exposant en tant que membre de la Ontario Society of Artists et de l'Académie royale des arts du Canada. Il expose aussi à des salons internationaux comme le Salon de peinture et de sculpture à Paris, où il remporte une médaille de bronze en 1890 pour sa peinture Après le bain.
Il est connu pour ses nus sentimentaux et ses images d'enfants, parmi lesquels des portraits de son fils Robert André et de sa fille Émilie Margueritte. Il est l'un des premiers peintres canadiens à aborder le nu. Suivant l'exemple de Gérôme, il élabore certains de ses tableaux à partir de photographies soigneusement composées. Ses dernières œuvres sont plus lumineuses et manifestent l'influence de l'impressionnisme.
À la suite d'une infection pulmonaire, il meurt dans son sommeil à l'âge de 32 ans, le 3 octobre 1892 à Paris.
Il reçoit de son père John Robert Peel, professeur de dessin et marbrier, sa première formation artistique et étudie ensuite avec William Lees Judson à la Pennsylvania Academy of Fine Arts sous la direction de Thomas Eakins. Plus tard, il s'installe à Paris où il est l'élève de Jean-Léon Gérôme à l'École des beaux-arts de Paris et de Jean-Joseph Benjamin-Constant, Henri Doucet et Jules Lefebvre à l'Académie Julian. Il séjourne un temps à Pont-Aven.
Peel voyage beaucoup au Canada et en Europe, exposant en tant que membre de la Ontario Society of Artists et de l'Académie royale des arts du Canada. Il expose aussi à des salons internationaux comme le Salon de peinture et de sculpture à Paris, où il remporte une médaille de bronze en 1890 pour sa peinture Après le bain.
Il est connu pour ses nus sentimentaux et ses images d'enfants, parmi lesquels des portraits de son fils Robert André et de sa fille Émilie Margueritte. Il est l'un des premiers peintres canadiens à aborder le nu. Suivant l'exemple de Gérôme, il élabore certains de ses tableaux à partir de photographies soigneusement composées. Ses dernières œuvres sont plus lumineuses et manifestent l'influence de l'impressionnisme.
À la suite d'une infection pulmonaire, il meurt dans son sommeil à l'âge de 32 ans, le 3 octobre 1892 à Paris.
Le peintre canadien Wilf Perreault de la Saskatchewan reconnu pour ses peintures de « ruelles » a toujours été d’abord motivé par l’art et par sa communauté. Perreault est un artiste fransaskoi qui revendique son appartenance à la communauté saskatchewannaise au sein de laquelle il est engagé. « Ma vie est motivée par le fait de faire du bon travail et de prendre part à la communauté. Je n’ai jamais pensé que j’étais un grand artiste».
L’Ordre du mérite de la Saskatchewan a souligné l’engagement de cet homme qui a mis son art au bénéfice des autres, comme la « Cystic Fibrosis Foundation », la Croix rouge canadienne ou la « Food Banks de la Saskatchewan ». Wilf Perreault met régulièrement ses toiles aux enchères dans le but de ramasser des fonds pour les gens dans le besoin.
Wilf Perreault a commencé à peindre des « ruelles » parce que selon lui personne ne le faisait et que cela lui paraissait unique.
Questionné sur son identification à la communauté francophone, Wilf Perreault reconnaît être plus à l’aise dans la langue de Shakespeare que dans celle de Molière qu’il a perdue avec le temps. « Quand j’étais jeune, je me suis rebellé contre le français même si j’ai été élevé dans cette langue. J’ai cessé de le parler quand j’ai quitté la maison. Mon plus grand regret a été d'abandonner le français », a-t-il confié. Wilf Perreault affirme pourtant avoir un grand attachement à l’égard de la communauté francophone de la Saskatchewan, sa mère et plusieurs membres de sa famille parlant encore couramment le français.
L’Ordre du mérite de la Saskatchewan a souligné l’engagement de cet homme qui a mis son art au bénéfice des autres, comme la « Cystic Fibrosis Foundation », la Croix rouge canadienne ou la « Food Banks de la Saskatchewan ». Wilf Perreault met régulièrement ses toiles aux enchères dans le but de ramasser des fonds pour les gens dans le besoin.
Wilf Perreault a commencé à peindre des « ruelles » parce que selon lui personne ne le faisait et que cela lui paraissait unique.
Questionné sur son identification à la communauté francophone, Wilf Perreault reconnaît être plus à l’aise dans la langue de Shakespeare que dans celle de Molière qu’il a perdue avec le temps. « Quand j’étais jeune, je me suis rebellé contre le français même si j’ai été élevé dans cette langue. J’ai cessé de le parler quand j’ai quitté la maison. Mon plus grand regret a été d'abandonner le français », a-t-il confié. Wilf Perreault affirme pourtant avoir un grand attachement à l’égard de la communauté francophone de la Saskatchewan, sa mère et plusieurs membres de sa famille parlant encore couramment le français.
(English version follows)
Le peintre canadien Gordon Edward Pfeiffer est né à Québec en 1899. Après ses études en arts avec A. Bonham à Québec, il a poursuivi ses études à Paris. Sa carrière artistique fut influencée par les peintres québécois Horatio Walker, André Bieler et Robert Pilot. Il a voyagé et peint en Angleterre, en Irlande, à Terre-Neuve. Au Québec, il a peint particulièrement dans la région de Charlevoix et à l'île d'Orléans. Utilisant plusieurs techniques picturales, il est connu spécialement pour ses paysages, ses scènes de la ville de Québec et ses scènes de nus. En 1943, il déménagea à Montréal. Entre 1927 et 1952, il exposa avec RCA ainsi qu'avec AAM/MMFA, entre 1928 et 1954. Ses œuvres font partie de nombreuses collections de musées, galeries, mais aussi de collections privées. Il est mort en 1983.
-----
Canadian painter Gordon Edward Pfeiffer was born in Quebec in 1899. After studying arts with A. Bonham in Quebec, he continued his studies in Paris. His artistic career was influenced by Quebec painters Horatio Walker, André Bieler and Robert Pilot. He traveled and painted in England, Ireland, Newfoundland. In Quebec, he painted particularly in the Charlevoix region and on Île d'Orléans. Using several pictorial techniques, he is known especially for his landscapes, his scenes of Quebec City and his nude scenes. In 1943 he moved to Montreal. Between 1927 and 1952, he exhibited with RCA as well as with AAM / MMFA, between 1928 and 1954. His works are part of numerous collections of museums, galleries, but also of private collections. He died in 1983.
Le peintre canadien Gordon Edward Pfeiffer est né à Québec en 1899. Après ses études en arts avec A. Bonham à Québec, il a poursuivi ses études à Paris. Sa carrière artistique fut influencée par les peintres québécois Horatio Walker, André Bieler et Robert Pilot. Il a voyagé et peint en Angleterre, en Irlande, à Terre-Neuve. Au Québec, il a peint particulièrement dans la région de Charlevoix et à l'île d'Orléans. Utilisant plusieurs techniques picturales, il est connu spécialement pour ses paysages, ses scènes de la ville de Québec et ses scènes de nus. En 1943, il déménagea à Montréal. Entre 1927 et 1952, il exposa avec RCA ainsi qu'avec AAM/MMFA, entre 1928 et 1954. Ses œuvres font partie de nombreuses collections de musées, galeries, mais aussi de collections privées. Il est mort en 1983.
-----
Canadian painter Gordon Edward Pfeiffer was born in Quebec in 1899. After studying arts with A. Bonham in Quebec, he continued his studies in Paris. His artistic career was influenced by Quebec painters Horatio Walker, André Bieler and Robert Pilot. He traveled and painted in England, Ireland, Newfoundland. In Quebec, he painted particularly in the Charlevoix region and on Île d'Orléans. Using several pictorial techniques, he is known especially for his landscapes, his scenes of Quebec City and his nude scenes. In 1943 he moved to Montreal. Between 1927 and 1952, he exhibited with RCA as well as with AAM / MMFA, between 1928 and 1954. His works are part of numerous collections of museums, galleries, but also of private collections. He died in 1983.
(English version follows)
ADAM SHERIFF SCOTT, (Groupe de Beaver Hall)
Le peintre canadien Adam Sherriff Scott est né à Perth en Écosse en 1887. Il étudie l’art à l’école d’art d’Édinbourg et immigre au Canada en 1911 ou 1912. Il peint des portraits et des paysages et devient membre du « Groupe de Beaver Hall » à la première exposition du groupe en 1921. Il est surtout connu pour ses séries de peintures historiques du Canada pour la Canadian Pacific, la Banque royale du Canada et les Archives publiques du Canada. Il produit des peintures à l’huile sur la vie de Champlain, des autoportraits et des portraits d’Inuits. Il reçoit également une commission de la Banque royale du Canada en commémoration du centenaire de la navigation transatlantique à vapeur. Il décède à Montréal en 1980.
The Canadian painter Adam Sherriff Scott was born in Perth, Scotland in 1887. He studied art at the Edinburgh School of Art and immigrated to Canada in 1911 or 1912. He painted portraits and landscapes and became a member of « the Beaver Hall Group » at the group's first exhibition in 1921. He is best known for his series of Canadian historical paintings that he performed for Canadian Pacific, the Royal Bank of Canada and the Public Archives of Canada. He produced oil paintings on Champlain's life as well as self-portraits and portraits of Inuits. He also receives a commission from the Royal Bank of Canada commemorating the centenary of transatlantic steam navigation. He died in Montreal in 1980.
ADAM SHERIFF SCOTT, (Groupe de Beaver Hall)
Le peintre canadien Adam Sherriff Scott est né à Perth en Écosse en 1887. Il étudie l’art à l’école d’art d’Édinbourg et immigre au Canada en 1911 ou 1912. Il peint des portraits et des paysages et devient membre du « Groupe de Beaver Hall » à la première exposition du groupe en 1921. Il est surtout connu pour ses séries de peintures historiques du Canada pour la Canadian Pacific, la Banque royale du Canada et les Archives publiques du Canada. Il produit des peintures à l’huile sur la vie de Champlain, des autoportraits et des portraits d’Inuits. Il reçoit également une commission de la Banque royale du Canada en commémoration du centenaire de la navigation transatlantique à vapeur. Il décède à Montréal en 1980.
The Canadian painter Adam Sherriff Scott was born in Perth, Scotland in 1887. He studied art at the Edinburgh School of Art and immigrated to Canada in 1911 or 1912. He painted portraits and landscapes and became a member of « the Beaver Hall Group » at the group's first exhibition in 1921. He is best known for his series of Canadian historical paintings that he performed for Canadian Pacific, the Royal Bank of Canada and the Public Archives of Canada. He produced oil paintings on Champlain's life as well as self-portraits and portraits of Inuits. He also receives a commission from the Royal Bank of Canada commemorating the centenary of transatlantic steam navigation. He died in Montreal in 1980.
(English version follows)
La peintre canadienne Marian Dale Scott naît à Montréal le 26 juin 1906. Elle sera aussi muraliste, dessinatrice et graphiste. Elle étudie avec William Brymner à l'école de l'Art Association, à l'École des Beaux-Arts de Montréal et à la Slade School of Art de Londres en 1926. Son travai est influencé par John Lyman, Modigliani, Le Corbusier et Juan Gris. Ses sujets comprennent des paysages organisés géométriquement, des études végétales formelles, des figures semi-abstraites dans l'environnement urbain et des natures mortes. Son style évolue vers le non figuratif des années 1960 et le travail gestuel des années 1980. Elle est morte le 28 novembre 1993 à Montréal.
------
Canadian painter Marian Dale Scott was born in Montreal on June 26, 1906. She was also a muralist, designer and graphic designer. She studied with William Brymner at the School of the Art Association, at the École des Beaux-Arts in Montreal and at the Slade School of Art in London in 1926. Her work was influenced by John Lyman, Modigliani, Le Corbusier and Juan Gris. Her subjects include geometrically organized landscapes, formal plant studies, semi-abstract figures in the urban environment, and still lifes. Her style evolved towards the non-figurative of the 1960s and the gestural work of the 1980s. She died on November 28, 1993 in Montreal.
La peintre canadienne Marian Dale Scott naît à Montréal le 26 juin 1906. Elle sera aussi muraliste, dessinatrice et graphiste. Elle étudie avec William Brymner à l'école de l'Art Association, à l'École des Beaux-Arts de Montréal et à la Slade School of Art de Londres en 1926. Son travai est influencé par John Lyman, Modigliani, Le Corbusier et Juan Gris. Ses sujets comprennent des paysages organisés géométriquement, des études végétales formelles, des figures semi-abstraites dans l'environnement urbain et des natures mortes. Son style évolue vers le non figuratif des années 1960 et le travail gestuel des années 1980. Elle est morte le 28 novembre 1993 à Montréal.
------
Canadian painter Marian Dale Scott was born in Montreal on June 26, 1906. She was also a muralist, designer and graphic designer. She studied with William Brymner at the School of the Art Association, at the École des Beaux-Arts in Montreal and at the Slade School of Art in London in 1926. Her work was influenced by John Lyman, Modigliani, Le Corbusier and Juan Gris. Her subjects include geometrically organized landscapes, formal plant studies, semi-abstract figures in the urban environment, and still lifes. Her style evolved towards the non-figurative of the 1960s and the gestural work of the 1980s. She died on November 28, 1993 in Montreal.
La peintre montréalaise Ethel Seath nait le 5 février 1879 et commence sa vie professionnelle dans le domaine des arts commerciaux. Elle est illustratrice pour d'importants journaux, dont le Witness et The Montréal Star. Seule femme dans un milieu réservé aux hommes, sa présence est due à sa ténacité.
On l'a dit conservatrice et réservée, on pourrait croire que cette attitude cache une volonté et une adaptabilité qui lui permettent de s'intégrer à l'équipe d'artistes journalistiques du milieu montréalais pendant vingt ans. Des qualités qui lui permettent aussi de devenir un professeur respecté par de nombreuses artistes que sont certaines de ses étudiantes, et de poursuivre simultanément des études à l'Association d'Art de Montréal (AAM).
Elle quitte sans regret le monde de l'illustration pour devenir professeur d'art et ce, pendant 45 ans, à l'école privée The Study School. De 1917 à 1962, année de sa retraite, elle développe avec Margaret Gascogne une méthodologie d'enseignement des arts, basée sur la créativité présente en chaque enfant.
À la même période, Ethel quitte le monochrome pour s'adonner à la couleur. Passée maître du dessin par le biais de son ancienne profession, l'expérimentation des couleurs lui donne l'opportunité de laisser aller son imagination. Les lignes s'arrondissent, les couleurs sont contrastantes, peu à peu son style devient plus libre, plus 'abstrait', et fera sa marque de commerce.
Elle se rend en de multiples occasions à Knowlton, Québec. La « Grande Octogonale », tout en représentant bien le style d'Ethel Seath, est probablement un témoignage de ces visites estivales.
Outre ces escapades estriennes, elle partage plusieurs moments avec ses consœurs du Beaver Hall, soit pour pratiquer ou exposer son travail artistique, dans différentes régions du Canada.
Cette survivante d'une période victorienne rigide sait s'adapter au monde artistique en changement. Malgré ses nombreuses préoccupations familiales, elle persévère dans un domaine peu ouvert aux femmes, et encore moins celles d'origine modeste. Heureusement pour nous, et pour toutes les personnes qui l'ont côtoyé, sa ténacité nous a permis d'apprécier son immense talent et la rencontre d'une femme exceptionnelle.
Ethel Steath décède le 10 avril 1963.
On l'a dit conservatrice et réservée, on pourrait croire que cette attitude cache une volonté et une adaptabilité qui lui permettent de s'intégrer à l'équipe d'artistes journalistiques du milieu montréalais pendant vingt ans. Des qualités qui lui permettent aussi de devenir un professeur respecté par de nombreuses artistes que sont certaines de ses étudiantes, et de poursuivre simultanément des études à l'Association d'Art de Montréal (AAM).
Elle quitte sans regret le monde de l'illustration pour devenir professeur d'art et ce, pendant 45 ans, à l'école privée The Study School. De 1917 à 1962, année de sa retraite, elle développe avec Margaret Gascogne une méthodologie d'enseignement des arts, basée sur la créativité présente en chaque enfant.
À la même période, Ethel quitte le monochrome pour s'adonner à la couleur. Passée maître du dessin par le biais de son ancienne profession, l'expérimentation des couleurs lui donne l'opportunité de laisser aller son imagination. Les lignes s'arrondissent, les couleurs sont contrastantes, peu à peu son style devient plus libre, plus 'abstrait', et fera sa marque de commerce.
Elle se rend en de multiples occasions à Knowlton, Québec. La « Grande Octogonale », tout en représentant bien le style d'Ethel Seath, est probablement un témoignage de ces visites estivales.
Outre ces escapades estriennes, elle partage plusieurs moments avec ses consœurs du Beaver Hall, soit pour pratiquer ou exposer son travail artistique, dans différentes régions du Canada.
Cette survivante d'une période victorienne rigide sait s'adapter au monde artistique en changement. Malgré ses nombreuses préoccupations familiales, elle persévère dans un domaine peu ouvert aux femmes, et encore moins celles d'origine modeste. Heureusement pour nous, et pour toutes les personnes qui l'ont côtoyé, sa ténacité nous a permis d'apprécier son immense talent et la rencontre d'une femme exceptionnelle.
Ethel Steath décède le 10 avril 1963.
(English version follows)
Le peintre canadien Shawn Serfas nait à Prince Albert, en Saskatchewan, au centre de la province, où les terres agricoles des Prairies convergent avec la forêt boréale, près d’Emma Lake, qu’on connaît pour ses célèbres ateliers d’été où séjournèrent plusieurs artistes connus. Aujourd’hui, Shawn Serfas habite dans la région du Niagara en Ontario avec sa femme et ses enfants. Il est professeur agrégé au département d’arts visuels de l’Université Brock. Il a obtenu des diplômes en arts visuels et histoire en Saskatchewan, ainsi qu’une maîtrise en arts visuels en Alberta. Enseignant à l’Université d’Alberta et l’Université de Colombie-Britannique. Ses intérêts de recherche portent sur la peinture contemporaine, le dessin, la gravure, l’abstraction relationnelle, l’esthétique environnementale, la religion, le paysage, ainsi que les limites de la représentation et de l’abstraction.
-----
Canadian painter Shawn Serfas was born in Prince Albert, Saskatchewan, where prairie farmland converges with the boreal forest, near Emma Lake, known for its famous summer workshops where several well-known artists stayed. Today Shawn Serfas lives in the Niagara region of Ontario with his wife and children. He is an Associate Professor in the Department of Visual Art at Brock University. He obtained degrees in visual arts and history in Saskatchewan, as well as a master's degree in visual arts in Alberta. Teacher at the University of Alberta and the University of British Columbia. His research interests include contemporary painting, drawing, printmaking, relational abstraction, environmental aesthetics, religion, landscape, as well as the limits of representation and abstraction.
Le peintre canadien Shawn Serfas nait à Prince Albert, en Saskatchewan, au centre de la province, où les terres agricoles des Prairies convergent avec la forêt boréale, près d’Emma Lake, qu’on connaît pour ses célèbres ateliers d’été où séjournèrent plusieurs artistes connus. Aujourd’hui, Shawn Serfas habite dans la région du Niagara en Ontario avec sa femme et ses enfants. Il est professeur agrégé au département d’arts visuels de l’Université Brock. Il a obtenu des diplômes en arts visuels et histoire en Saskatchewan, ainsi qu’une maîtrise en arts visuels en Alberta. Enseignant à l’Université d’Alberta et l’Université de Colombie-Britannique. Ses intérêts de recherche portent sur la peinture contemporaine, le dessin, la gravure, l’abstraction relationnelle, l’esthétique environnementale, la religion, le paysage, ainsi que les limites de la représentation et de l’abstraction.
-----
Canadian painter Shawn Serfas was born in Prince Albert, Saskatchewan, where prairie farmland converges with the boreal forest, near Emma Lake, known for its famous summer workshops where several well-known artists stayed. Today Shawn Serfas lives in the Niagara region of Ontario with his wife and children. He is an Associate Professor in the Department of Visual Art at Brock University. He obtained degrees in visual arts and history in Saskatchewan, as well as a master's degree in visual arts in Alberta. Teacher at the University of Alberta and the University of British Columbia. His research interests include contemporary painting, drawing, printmaking, relational abstraction, environmental aesthetics, religion, landscape, as well as the limits of representation and abstraction.
(English version follows)
Le peintre canadien Marc Séguin est né à Ottawa, Ontario, en 1970. Diplômé en arts visuels de l’Université Concordia de Montréal, Séguin est une étoile montante au firmament de la peinture canadienne. Ses expositions au Musée d’art contemporain et au Musée des beaux-arts de Montréal ont confirmé la notoriété de ce jeune artiste qui attire la faveur de nombreux collectionneurs publics et privés non seulement au Canada mais aussi à l’étranger. En plus d’être un peintre prolifique, l’artiste exploite la gravure à l’eau-forte et à la manière noire. Marc Séguin a installé son atelier à New York depuis novembre 2007. Il est aussi écrivain et romancier. Il publie son premier roman, La Foi du braconnier, en 2009, qui remporte le Prix littéraire des collégiens l'année suivante. Il a obtenu le prix artistique québécois Pierre-Ayot qui vise à souligner la qualité de la production des artistes de 35 ans et moins.
-----
Canadian painter Marc Séguin was born in Ottawa, Ontario, in 1970. A visual arts graduate from Concordia University in Montreal, Séguin is a rising star in the firmament of Canadian painting. His exhibitions at the Museum of Contemporary Art and the Montreal Museum of Fine Arts have confirmed the notoriety of this young artist who has attracted the favor of many public and private collectors not only in Canada but also abroad. In addition to being a prolific painter, the artist exploits etching and mezzotint. Marc Séguin has set up his studio in New York since November 2007. He is also a writer and novelist. He published his first novel, La Foi du braconnier, in 2009, which won the Middle School Literary Prize the following year. He was awarded the Pierre-Ayot Quebec Artistic Prize, which aims to highlight the quality of the production of artists aged 35 and under.
Le peintre canadien Marc Séguin est né à Ottawa, Ontario, en 1970. Diplômé en arts visuels de l’Université Concordia de Montréal, Séguin est une étoile montante au firmament de la peinture canadienne. Ses expositions au Musée d’art contemporain et au Musée des beaux-arts de Montréal ont confirmé la notoriété de ce jeune artiste qui attire la faveur de nombreux collectionneurs publics et privés non seulement au Canada mais aussi à l’étranger. En plus d’être un peintre prolifique, l’artiste exploite la gravure à l’eau-forte et à la manière noire. Marc Séguin a installé son atelier à New York depuis novembre 2007. Il est aussi écrivain et romancier. Il publie son premier roman, La Foi du braconnier, en 2009, qui remporte le Prix littéraire des collégiens l'année suivante. Il a obtenu le prix artistique québécois Pierre-Ayot qui vise à souligner la qualité de la production des artistes de 35 ans et moins.
-----
Canadian painter Marc Séguin was born in Ottawa, Ontario, in 1970. A visual arts graduate from Concordia University in Montreal, Séguin is a rising star in the firmament of Canadian painting. His exhibitions at the Museum of Contemporary Art and the Montreal Museum of Fine Arts have confirmed the notoriety of this young artist who has attracted the favor of many public and private collectors not only in Canada but also abroad. In addition to being a prolific painter, the artist exploits etching and mezzotint. Marc Séguin has set up his studio in New York since November 2007. He is also a writer and novelist. He published his first novel, La Foi du braconnier, in 2009, which won the Middle School Literary Prize the following year. He was awarded the Pierre-Ayot Quebec Artistic Prize, which aims to highlight the quality of the production of artists aged 35 and under.
(English version follows)
Le peintre figuratif canadien Philip Surrey utilise Montréal comme décor. Élève de Frederick Varley du Groupe des Sept, il est lié a plusieurs artistes et écrivains. À 16 ans, il suit les cours à la Winnipeg School of Art. En 1929, il est à la Vancouver School of Decorative and Applied Arts. En 1936, il est trois mois à l’Art Students League de NY. En 1937, à Montréal, Surrey peint, fréquente le milieu artistique et débute un travail qui durera 25 ans au journal Standard. En 1964, il peint avec salaire et le fera durant 12 ans. À la fin des années ´30, ses toiles se ressentent de la Dépression! Il reçoit la Médaille du Centenaire (1967), un doctorat honorifique de l’Université Concordia et l’Ordre du Canada.
-----
Canadian figurative painter Philip Surrey uses Montreal as a backdrop. Pupil of Frederick Varley (Group of 7) he is linked to several artists and writers from the 1930s and 1940s. At 16, he attended evening classes at the Winnipeg School of Art. In 1929, he was at the Vancouver School of Decorative and Applied Arts. In 1936 he was 3 months at the Art Students League in NY. In 1937, in Montreal, he painted, attended the artistic community and worked for 25 years at the Standard newspaper ... In 1964, he painted full time with salary and did it for 12 years. At the end of the 1930s, preoccupied with the Depression, his paintings were affected. He received the Centennial Medal (1967), an honorary doctorate from Concordia University and the Order of Canada.
Le peintre figuratif canadien Philip Surrey utilise Montréal comme décor. Élève de Frederick Varley du Groupe des Sept, il est lié a plusieurs artistes et écrivains. À 16 ans, il suit les cours à la Winnipeg School of Art. En 1929, il est à la Vancouver School of Decorative and Applied Arts. En 1936, il est trois mois à l’Art Students League de NY. En 1937, à Montréal, Surrey peint, fréquente le milieu artistique et débute un travail qui durera 25 ans au journal Standard. En 1964, il peint avec salaire et le fera durant 12 ans. À la fin des années ´30, ses toiles se ressentent de la Dépression! Il reçoit la Médaille du Centenaire (1967), un doctorat honorifique de l’Université Concordia et l’Ordre du Canada.
-----
Canadian figurative painter Philip Surrey uses Montreal as a backdrop. Pupil of Frederick Varley (Group of 7) he is linked to several artists and writers from the 1930s and 1940s. At 16, he attended evening classes at the Winnipeg School of Art. In 1929, he was at the Vancouver School of Decorative and Applied Arts. In 1936 he was 3 months at the Art Students League in NY. In 1937, in Montreal, he painted, attended the artistic community and worked for 25 years at the Standard newspaper ... In 1964, he painted full time with salary and did it for 12 years. At the end of the 1930s, preoccupied with the Depression, his paintings were affected. He received the Centennial Medal (1967), an honorary doctorate from Concordia University and the Order of Canada.
Armand Tatossian est un artiste peintre canadien d'origine arménienne. Il naît en 1951 à Alexandrie, en Égypte et est le descendant d'une longue lignée d'artistes. Son grand-père, dont il porte le prénom, est peintre et conservateur au Musée d'Alexandrie et il l'amène à la plage avec un bloc à dessiner pour l’aider lentement. C’est ainsi que Armand commence à dessiner.
Son oncle, Yeghiche Tatossian, est un peintre paysagiste qui après avoir étudié le style postimpressionnisme à Paris le ramène en Arménie. Enfin, son propre père, Charles Garo Tatossian, est peintre au Canada. Les premiers professeurs d’Armand au Canada croient à la force du dessin pour développer un talent. Il étudie en premier avec le Sculpteur Serbe José Majzner, ensuite avec le portraitiste respecté et muraliste, Adam Sherriff-Scott. Ce dernier est très en demande et a besoin d'un assistant. Il recherche un artiste qui l'aiderait a restauré les murales qu'il a peintes à une période antérieure. Il retient les services de Tatossian en lui disant « je ne pourrai pas vous payer. Je vous apprendrai ».
Il est artiste depuis 1965 et nommé professeur d'art au Collège Loyola de Montréal. Il s'engage à peindre systématiquement ce qu'il voit, surtout Montréal. Il peint la vie et n’a pas besoin d'aller très loin de son studio de Montréal, pour trouver ses sujets. Le tout Montréal lui donne pleine satisfaction. Je vais n'importe où, ou l'on retrouve de la verdure, me dit-il :" À la fin de la journée, je transporte à la maison mes tableaux humides dans ma camionnette jusqu’à la maison".
Le travail d'Armand Tatossian est une partie de nombreuses expositions et, dès 1968, ses toiles sont intégrées à des collections muséales dans le monde entier. Aujourd'hui, de nombreuses collections présidentielles et corporatives privées comportent ses œuvres.
Armand Tatossian est diplômé de l'Académie Royale du Canada, dans laquelle il est le plus jeune membre à jamais avoir été accepté, en 1973. Son tableau intitulé " Montebello, Québec ", rayonne de ses couleurs ombragées. Ses toiles peintes lors de son passage à New York deviennent la démonstration d’un travail environnemental de huit tableaux de grande qualité : New York, Taxis, etc… et se terminent dans un tourbillon, de mouvement et de lumière.
Il explique son travail en parlant d'une voix douce avec un léger accent arménien : "Vous naissez avec une technique et elle se développe avec le temps", dit-il. " Dessiné devient très important, je dessine tout le temps avec mes pinceaux". De plus, il est très concerné par la préparation de la toile qu’il commence par un dessin au charbon de bois.
La première chose pour lui est la couleur. Il est un des rares artistes, dont la palette n'inclue pas le noir. Il ne croit pas qu'il y a une telle chose, comme le noir dans la nature au Canada, il y a toujours une lumière même dans le noir, dit-il tout en ajoutant "et ne jamais utiliser de blanc absolument pur." Cela devient sa façon de faire et le résultat dans son travail est un éclat permanent, une clarté, la joie de vivre de la scène devant lui. La beauté est ce que l'oeil voit avec la plus grande facilité. Cette façon de percevoir le transforme en poète de la terre face à lui-même.
"Le but fondamental de peindre est de transporter le plaisir, d'élever l'esprit du spectateur, de recevoir l'image même de la sensibilité, de ressentir la beauté, l'humeur qu'il transporte en lui", dit-il.
Ses toiles ornent les murs du Musée du Québec, de la Galerie nationale d'Athènes, en Grèce, du Musée de Saint-Lazare, en Italie, du Musée des beaux-arts de la République d'Arménie, de la Bibliothèque présidentielle à Washington, aux États-Unis, et du Musée arménien d'Amérique, au Massachusetts. Plusieurs galeries nationales nord-américaines présentent ses créations, dont les galeries nationales du Canada, de Washington, de Chicago et de Boston.
Armand Tatossian décède subitement le 23 août 2012 à Montréall.
Son oncle, Yeghiche Tatossian, est un peintre paysagiste qui après avoir étudié le style postimpressionnisme à Paris le ramène en Arménie. Enfin, son propre père, Charles Garo Tatossian, est peintre au Canada. Les premiers professeurs d’Armand au Canada croient à la force du dessin pour développer un talent. Il étudie en premier avec le Sculpteur Serbe José Majzner, ensuite avec le portraitiste respecté et muraliste, Adam Sherriff-Scott. Ce dernier est très en demande et a besoin d'un assistant. Il recherche un artiste qui l'aiderait a restauré les murales qu'il a peintes à une période antérieure. Il retient les services de Tatossian en lui disant « je ne pourrai pas vous payer. Je vous apprendrai ».
Il est artiste depuis 1965 et nommé professeur d'art au Collège Loyola de Montréal. Il s'engage à peindre systématiquement ce qu'il voit, surtout Montréal. Il peint la vie et n’a pas besoin d'aller très loin de son studio de Montréal, pour trouver ses sujets. Le tout Montréal lui donne pleine satisfaction. Je vais n'importe où, ou l'on retrouve de la verdure, me dit-il :" À la fin de la journée, je transporte à la maison mes tableaux humides dans ma camionnette jusqu’à la maison".
Le travail d'Armand Tatossian est une partie de nombreuses expositions et, dès 1968, ses toiles sont intégrées à des collections muséales dans le monde entier. Aujourd'hui, de nombreuses collections présidentielles et corporatives privées comportent ses œuvres.
Armand Tatossian est diplômé de l'Académie Royale du Canada, dans laquelle il est le plus jeune membre à jamais avoir été accepté, en 1973. Son tableau intitulé " Montebello, Québec ", rayonne de ses couleurs ombragées. Ses toiles peintes lors de son passage à New York deviennent la démonstration d’un travail environnemental de huit tableaux de grande qualité : New York, Taxis, etc… et se terminent dans un tourbillon, de mouvement et de lumière.
Il explique son travail en parlant d'une voix douce avec un léger accent arménien : "Vous naissez avec une technique et elle se développe avec le temps", dit-il. " Dessiné devient très important, je dessine tout le temps avec mes pinceaux". De plus, il est très concerné par la préparation de la toile qu’il commence par un dessin au charbon de bois.
La première chose pour lui est la couleur. Il est un des rares artistes, dont la palette n'inclue pas le noir. Il ne croit pas qu'il y a une telle chose, comme le noir dans la nature au Canada, il y a toujours une lumière même dans le noir, dit-il tout en ajoutant "et ne jamais utiliser de blanc absolument pur." Cela devient sa façon de faire et le résultat dans son travail est un éclat permanent, une clarté, la joie de vivre de la scène devant lui. La beauté est ce que l'oeil voit avec la plus grande facilité. Cette façon de percevoir le transforme en poète de la terre face à lui-même.
"Le but fondamental de peindre est de transporter le plaisir, d'élever l'esprit du spectateur, de recevoir l'image même de la sensibilité, de ressentir la beauté, l'humeur qu'il transporte en lui", dit-il.
Ses toiles ornent les murs du Musée du Québec, de la Galerie nationale d'Athènes, en Grèce, du Musée de Saint-Lazare, en Italie, du Musée des beaux-arts de la République d'Arménie, de la Bibliothèque présidentielle à Washington, aux États-Unis, et du Musée arménien d'Amérique, au Massachusetts. Plusieurs galeries nationales nord-américaines présentent ses créations, dont les galeries nationales du Canada, de Washington, de Chicago et de Boston.
Armand Tatossian décède subitement le 23 août 2012 à Montréall.
(English version follows)
TOM THOMSON, 8e membre du Groupe des Sept!
Bien que le peintre canadien Tom Thomson fût associé au Groupe des Sept, il n'en était pas membre. Sa mort précoce a contribué à faire de lui une figure emblématique. Thomson, artiste commercial à Toronto en 1905 se rend pour la 1ère fois au parc Algonquin en 1911 pour peindre et travailler comme guide. Il y fait des croquis et durant l’hiver qu’il passe à Toronto, il les transpose sur de grandes toiles. Il partage des studios avec Jackson et Carmichael et ses tableaux reflètent leur influence sur lui. Vers la fin de 1915, il peint des paysages de mémoire. Son expérience de designer imprègne ses toiles. Le Musée des beaux-arts du Canada possède bon nombre de ses esquisses et peintures. Thomson s'est noyé dans le lac Canoe en 1917.
--------------------
Although the Canadian painter Tom Thomson was associated with the Group of Seven, he was not a member. His early death helped to make him an iconic figure. Thomson, a commercial artist in Toronto in 1905, went to Algonquin Park for the first time in 1911 to paint and work as a guide. He sketched there, spending the winter in Toronto where he transposed them onto larger canvases. He shared studios with Jackson and Carmichael and his paintings reflect his exposure to their work. Towards the end of 1915, he painted landscapes out of memory. His experience as a designer permeated his paintings. The National Gallery of Canada has many of his sketches and paintings. Thomson drowned in Canoe Lake in 1917.
TOM THOMSON, 8e membre du Groupe des Sept!
Bien que le peintre canadien Tom Thomson fût associé au Groupe des Sept, il n'en était pas membre. Sa mort précoce a contribué à faire de lui une figure emblématique. Thomson, artiste commercial à Toronto en 1905 se rend pour la 1ère fois au parc Algonquin en 1911 pour peindre et travailler comme guide. Il y fait des croquis et durant l’hiver qu’il passe à Toronto, il les transpose sur de grandes toiles. Il partage des studios avec Jackson et Carmichael et ses tableaux reflètent leur influence sur lui. Vers la fin de 1915, il peint des paysages de mémoire. Son expérience de designer imprègne ses toiles. Le Musée des beaux-arts du Canada possède bon nombre de ses esquisses et peintures. Thomson s'est noyé dans le lac Canoe en 1917.
--------------------
Although the Canadian painter Tom Thomson was associated with the Group of Seven, he was not a member. His early death helped to make him an iconic figure. Thomson, a commercial artist in Toronto in 1905, went to Algonquin Park for the first time in 1911 to paint and work as a guide. He sketched there, spending the winter in Toronto where he transposed them onto larger canvases. He shared studios with Jackson and Carmichael and his paintings reflect his exposure to their work. Towards the end of 1915, he painted landscapes out of memory. His experience as a designer permeated his paintings. The National Gallery of Canada has many of his sketches and paintings. Thomson drowned in Canoe Lake in 1917.
(English version follows)
FRÉDÉRICK H. VARLEY, (le Groupe des sept)
Originaire de Sheffield en Angleterre, où il naît en 1881, Frederick H. Varley fréquente la « Sheffield School of Art ». Il poursuit ses études à l’Académie Royale des Beaux-Arts d’Anvers, en Belgique. À l’incitation de son ami d’enfance Arthur Lismer, il s’installe au Canada en 1912, où il se trouve un emploi de dessinateur publicitaire. Après avoir servi comme artiste de guerre durant la Première Guerre mondiale, il s’intéresse à la figure humaine. Le paysage demeure cependant un de ses sujets de prédilection. Varley n’a rien d’un sédentaire et ses voyages le mènent dans des régions éloignées, dont l’Arctique et la Russie. En 1945, il se fixe définitivement à Toronto et est un des fondateurs du Groupe des Sept. Il meurt en 1969 et est enterré au cimetière McMichael près de Toronto.
--------------------
Originally from Sheffield, England, where he was born in 1881, Frederick H. Varley attended the Sheffield School of Art. He continued his studies at the Royal Academy of Fine Arts in Antwerp, Belgium. At the instigation of his childhood friend Arthur Lismer, he moved to Canada in 1912, where he found a job as a cartoonist. After serving as a war artist during the First World War, he became interested in the human figure. The landscape remains one of his favorite subjects. Varley is not a sedentary and his travels take him to remote areas, including the Arctic and Russia. In 1945, he settled permanently in Toronto and was one of the founders of the Group of Seven. He died in 1969 and is buried in McMichael Cemetery near Toronto.
FRÉDÉRICK H. VARLEY, (le Groupe des sept)
Originaire de Sheffield en Angleterre, où il naît en 1881, Frederick H. Varley fréquente la « Sheffield School of Art ». Il poursuit ses études à l’Académie Royale des Beaux-Arts d’Anvers, en Belgique. À l’incitation de son ami d’enfance Arthur Lismer, il s’installe au Canada en 1912, où il se trouve un emploi de dessinateur publicitaire. Après avoir servi comme artiste de guerre durant la Première Guerre mondiale, il s’intéresse à la figure humaine. Le paysage demeure cependant un de ses sujets de prédilection. Varley n’a rien d’un sédentaire et ses voyages le mènent dans des régions éloignées, dont l’Arctique et la Russie. En 1945, il se fixe définitivement à Toronto et est un des fondateurs du Groupe des Sept. Il meurt en 1969 et est enterré au cimetière McMichael près de Toronto.
--------------------
Originally from Sheffield, England, where he was born in 1881, Frederick H. Varley attended the Sheffield School of Art. He continued his studies at the Royal Academy of Fine Arts in Antwerp, Belgium. At the instigation of his childhood friend Arthur Lismer, he moved to Canada in 1912, where he found a job as a cartoonist. After serving as a war artist during the First World War, he became interested in the human figure. The landscape remains one of his favorite subjects. Varley is not a sedentary and his travels take him to remote areas, including the Arctic and Russia. In 1945, he settled permanently in Toronto and was one of the founders of the Group of Seven. He died in 1969 and is buried in McMichael Cemetery near Toronto.
(English version follows)
L'art est un mode de vie pour la canadienne Linda Wilder crée 24 heures sur 24…. Avec une énergie intuitive et l'utilisation de traits audacieux, de lumière et de texture, Linda s'efforce de capturer l'humeur et l'émotion de son environnement. Ses peintures sont très représentatives, mais avec des nuances intimes. Linda a beaucoup voyagé à travers le Canada et s’est installée en Alberta. Sa capacité créative lorsqu'elle était enfant a pu atteindre son destin. Son éducation consiste en une formation formelle au Red Deer College (Art & Design) et au programme de BFA de l'U of C ainsi que de nombreux ateliers avec des artistes de renom. Linda est une artiste prolifique et aime une variété de sujets et d'outils. Vivant à Calgary, elle participe activement à la communauté artistique. Les peintures de Linda sont appréciées dans les collections corporatives et privées partout au Canada et à l'étranger.
-----
Art is a way of life for Canadian Linda Wilder who creates 24 hours a day. With an intuitive energy and the use of bold strokes, light and texture, Linda strives to capture the mood and emotion of her surroundings. Her paintings are very representative, but with intimate nuances. Linda has traveled extensively across Canada and settled in Alberta. Her creative ability as a child could follow her destiny. Her education consists of formal training at Red Deer College (Art & Design) and the U of C's BFA program as well as numerous workshops with renowned artists. Linda is a prolific artist and enjoys a variety of subjects and tools. Living in Calgary, she is actively involved in the artistic community. Linda's paintings are appreciated in corporate and private collections across Canada and abroad.
L'art est un mode de vie pour la canadienne Linda Wilder crée 24 heures sur 24…. Avec une énergie intuitive et l'utilisation de traits audacieux, de lumière et de texture, Linda s'efforce de capturer l'humeur et l'émotion de son environnement. Ses peintures sont très représentatives, mais avec des nuances intimes. Linda a beaucoup voyagé à travers le Canada et s’est installée en Alberta. Sa capacité créative lorsqu'elle était enfant a pu atteindre son destin. Son éducation consiste en une formation formelle au Red Deer College (Art & Design) et au programme de BFA de l'U of C ainsi que de nombreux ateliers avec des artistes de renom. Linda est une artiste prolifique et aime une variété de sujets et d'outils. Vivant à Calgary, elle participe activement à la communauté artistique. Les peintures de Linda sont appréciées dans les collections corporatives et privées partout au Canada et à l'étranger.
-----
Art is a way of life for Canadian Linda Wilder who creates 24 hours a day. With an intuitive energy and the use of bold strokes, light and texture, Linda strives to capture the mood and emotion of her surroundings. Her paintings are very representative, but with intimate nuances. Linda has traveled extensively across Canada and settled in Alberta. Her creative ability as a child could follow her destiny. Her education consists of formal training at Red Deer College (Art & Design) and the U of C's BFA program as well as numerous workshops with renowned artists. Linda is a prolific artist and enjoys a variety of subjects and tools. Living in Calgary, she is actively involved in the artistic community. Linda's paintings are appreciated in corporate and private collections across Canada and abroad.
(English version follows)
Le peintre canadien Andy Wooldridge nait en 1949 à R.A.F. Abyad, Égypte. Il est élevé et éduqué à Birmingham et Hereford, en Angleterre. De 1952 à 1965, il est illustrateur au sein du Royal Army Medical Corps. En 1978, il vit en Israël où il expose à Jaffa. En 1979, il vit et peint en Australie pendant six mois. Puis, en 1980, il vend des paysages et des miniatures à Liberty & Co., Londres. Ensuite, il suit une formation formelle au Southampton College of Art and Design. En 1984, il immigre au Canada où en 1987, il conçoit de grandes peintures murales pour la Victoria Downtown Association. Plus tard en 1988, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, il peint une série sur la vie et les mythes de la région du fleuve Sepik. En 1995, en Australie, il débute sa «série Waterfront». En 1997, il est à la faculté d'art et de design du Victoria College. Enfin, en 2007, il est élu «Artiste en résidence» à vie au «Painters at Painters Lodge».
-----
Canadian painter Andy Wooldridge was born in 1949 at R.A.F. Abyad, Egypt. He was raised and educated in Birmingham and Hereford, England. From 1952 to 1965, he was an illustrator with the Royal Army Medical Corps. In 1978, he lived in Israel where he exhibited in Jaffa. In 1979 he lived and painted in Australia for six months. Then, in 1980, he sold landscapes and miniatures to Liberty & Co., London. Then he followed a formal training at Southampton College of Art and Design. In 1984, he immigrated to Canada where in 1987, he designed large murals for the Victoria Downtown Association. Later in 1988, in Papua New Guinea, he painted a series on the life and myths of the Sepik River region. In 1995, in Australia, he began his “Waterfront series”. In 1997 he was in the Faculty of Art and Design at Victoria College. Finally, in 2007, he was elected “Artist in Residence” for life at the “Painters at Painters Lodge”.
Le peintre canadien Andy Wooldridge nait en 1949 à R.A.F. Abyad, Égypte. Il est élevé et éduqué à Birmingham et Hereford, en Angleterre. De 1952 à 1965, il est illustrateur au sein du Royal Army Medical Corps. En 1978, il vit en Israël où il expose à Jaffa. En 1979, il vit et peint en Australie pendant six mois. Puis, en 1980, il vend des paysages et des miniatures à Liberty & Co., Londres. Ensuite, il suit une formation formelle au Southampton College of Art and Design. En 1984, il immigre au Canada où en 1987, il conçoit de grandes peintures murales pour la Victoria Downtown Association. Plus tard en 1988, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, il peint une série sur la vie et les mythes de la région du fleuve Sepik. En 1995, en Australie, il débute sa «série Waterfront». En 1997, il est à la faculté d'art et de design du Victoria College. Enfin, en 2007, il est élu «Artiste en résidence» à vie au «Painters at Painters Lodge».
-----
Canadian painter Andy Wooldridge was born in 1949 at R.A.F. Abyad, Egypt. He was raised and educated in Birmingham and Hereford, England. From 1952 to 1965, he was an illustrator with the Royal Army Medical Corps. In 1978, he lived in Israel where he exhibited in Jaffa. In 1979 he lived and painted in Australia for six months. Then, in 1980, he sold landscapes and miniatures to Liberty & Co., London. Then he followed a formal training at Southampton College of Art and Design. In 1984, he immigrated to Canada where in 1987, he designed large murals for the Victoria Downtown Association. Later in 1988, in Papua New Guinea, he painted a series on the life and myths of the Sepik River region. In 1995, in Australia, he began his “Waterfront series”. In 1997 he was in the Faculty of Art and Design at Victoria College. Finally, in 2007, he was elected “Artist in Residence” for life at the “Painters at Painters Lodge”.
(English version follows)
Le peintre des Maritimes canadiennes Adam Young est connu pour ses représentations fantaisistes et colorées de Terre-Neuve. Né à Halifax, en Nouvelle-Écosse, il grandit à Moncton, au Nouveau-Brunswick. Il obtient son bac en Beaux Arts à l'Université Mount Allison au NB, et complète ses études aux universités de Moncton et de St.John. Il commence sa carrière comme illustrateur puis devient peintre à sa 1ère visite à Terre-Neuve en 2005. L'inspiration pour le travail d'Adam vient de la beauté austère du paysage, de l'architecture du milieu et de la chaleur des gens qui y vivent. La pêche, la petite maison de poche est un thème commun de ses peintures. Ses petites cabanes colorées se balancent sur le littoral de l’Atlantique Nord. Adam vit sur l'île Fogo, à Terre-Neuve-et-Labrador, avec sa femme Jennifer, leurs filles et le chien depuis 2008.
-----
Canadian Maritime painter Adam Young is known for his whimsical and colorful representations of Newfoundland. Born in Halifax, Nova Scotia, he grew up in Moncton, New Brunswick. He graduated in Fine Arts from Mount Allison University in NB, and completed his studies at the Universities of Moncton and St. John. He began his career as an illustrator, then became a painter on his first visit to Newfoundland in 2005. The inspiration for Adam's work came from the austere beauty of the landscape, the architecture of the environment and the warmth of the people who lived there. Fishing, the salt box house is a common theme in his paintings. His small, colorful huts sway on the North Atlantic coast. Adam lives on Fogo Island, Newfoundland and Labrador, with his wife Jennifer, their daughters and the dog since 2008.
Le peintre des Maritimes canadiennes Adam Young est connu pour ses représentations fantaisistes et colorées de Terre-Neuve. Né à Halifax, en Nouvelle-Écosse, il grandit à Moncton, au Nouveau-Brunswick. Il obtient son bac en Beaux Arts à l'Université Mount Allison au NB, et complète ses études aux universités de Moncton et de St.John. Il commence sa carrière comme illustrateur puis devient peintre à sa 1ère visite à Terre-Neuve en 2005. L'inspiration pour le travail d'Adam vient de la beauté austère du paysage, de l'architecture du milieu et de la chaleur des gens qui y vivent. La pêche, la petite maison de poche est un thème commun de ses peintures. Ses petites cabanes colorées se balancent sur le littoral de l’Atlantique Nord. Adam vit sur l'île Fogo, à Terre-Neuve-et-Labrador, avec sa femme Jennifer, leurs filles et le chien depuis 2008.
-----
Canadian Maritime painter Adam Young is known for his whimsical and colorful representations of Newfoundland. Born in Halifax, Nova Scotia, he grew up in Moncton, New Brunswick. He graduated in Fine Arts from Mount Allison University in NB, and completed his studies at the Universities of Moncton and St. John. He began his career as an illustrator, then became a painter on his first visit to Newfoundland in 2005. The inspiration for Adam's work came from the austere beauty of the landscape, the architecture of the environment and the warmth of the people who lived there. Fishing, the salt box house is a common theme in his paintings. His small, colorful huts sway on the North Atlantic coast. Adam lives on Fogo Island, Newfoundland and Labrador, with his wife Jennifer, their daughters and the dog since 2008.